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 Enfin la vengeance! [Pv Enarion]

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Sam 22 Oct 2011, 20:07

J'avais enfin trouvé des informations sur lui. Lui que je haïssais au plus haut point, enfin, j'allais pouvoir assouvir ma vengeance...enfin, une partie car il n'était pas seul...Je marchai le long d'une plage, j'avais utilisé les trois quarts de mon argent pour savoir où allait apparaître cette Tour. Cette Tour qu'il cherchait pour je ne sais quelle raison, je savais de sources sûres qu'il serait présent. Oui. Je le savais, je le pressentait. Et l'excitation qui parcourait mes veines ne cessaient de me monter à la tête faisant ainsi ressurgir des milliers de souvenirs. Il allait payer, il devait payer. Je ne cessai de jouer avec mes griffes d'acier les faisant crisser sur la fine cotte de maille qui recouvrait mon corps, accrochée à mon corset. La tête de cet aristocrate ne cessait de me revenir à la tête. Je sentais l'envie de meurtre, de sang, de vengeance se répandre dans mon corps comme une drogue. J'aimais cette sensation, pourtant, il y a de cela quelques mois, je n'y pensait plus la rencontre avec Kagouri m'avait rendu folle amoureuse au point d'oublier ce jour...

Mais à présent, c'était différent, j'allai enfin pouvoir le tuer, non, j'allai d'abord le torturer, lui planter des milliers de fois, mes katars dans chacun de ses membres, mais pas dans ses organes vitaux, j'éviterai le cœur, le cou et les poumons afin qu'il ne meure pas tout de suite...Rien qu'à cette pensée, j'éclatai d'un rire mauvais suivit d'un grognement haineux de Kolio, après tout, lui aussi avait tout perdue ce jour là...Il souhaitait sa mort autant que moi et ses crocs ne se lasseront pas de sa chair! Le sable rendait mes pas plus lents que d'habitude mais l'énergie folle et mauvaise qui émanait de moi se moquait de ça. Peu à peu en marchant, je fis un effort pour me souvenir en détails de ce jour, ces souvenirs qui d'habitude m'arrachaient des larmes de tristesse, je me les remémoraient afin de pouvoir venger comme il se doit mes parents et mon petit frère...

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤
Deux petites fillettes de 8 ans jouaient tranquillement dans une petite chaumière à l'atmosphère chaleureuse. L'une avaient des cheveux courts verts pommes avec deux longues mèches qui encadraient son visage, ses yeux violets pétillaient de malice. L'autre avait de longs cheveux noirs parsemés de reflets rougeâtres, le rouge vif de ses pupilles brûlaient d'excitation et de joie. Les deux sœurs s'amusaient avec des petites figurines en bois tandis que leurs compagnons-un petit lynx au pelage blanc et un lionceau à la fourrure dorée- se chamaillaient avec entrain dans un coin de la pièce. Une voix maternelle interpella une des petites filles:

"Lykarale! Va chercher du pain au village s'il-te-plait!"

La fillette aux yeux violets se leva en un bond et descendit les escaliers avec agilité bientôt suivit par l'autre petite fille.

"Moi aussi je veux descendre au village!" se plaignit celle-ci, sa mère la regarda avec regret.

"Takias, soupira-t-elle, tu sais très bien que les villageois ont peur de toi à cause de tes yeux rouges!"

"Mais....c'est pas juste..." pleurnicha celle ci avant de remonter à contre cœur dans sa chambre.

Lykarale regarda sa sœur monter les escaliers. Puis elle sortit en prenant les quelques pièces de bronze que sa mère avait fourrée dans sa main, son lynx sur ses talons.
C'est vraiment pas juste pensa Takias en se blottissant contre son lion. Elle s'endormit dans cette position jusqu'à ce qu'elle fut réveillé par des bruits étranges. Un cri perça le silence et le coeur de la petite fille battit à tout rompre, que se passait-il en bas? Elle descendit silencieusement les escaliers et se figea en apercevant la scène. Ses parents étaient paralysés par une sorte de tornade verte qui les empêchaient de s'interposer entre ....Khénos et un homme à la cape noire. Il étendit les bras dans la direction de son petit frère, son sang ne fit qu'un tour, elle se rua entre la boule de feu et Khénos et sentit son corps brûler. Elle hurlait, elle se tordait sous la douleur puis plus rien, les flammes prenait son corps mais elle ne ressentait plus la douleur. Elle pleurait, elle vit une lame traversé le corps de son petit frère chéri, et des lianes pendre ses parent. Elle vit la monstruosité de l'espèce humaine, le sadisme de ces deux hommes, celui à la cape noire, le sorcier sourire et invoqua de nouveau les flammes en condamnant la petite chaumière quand à l'aristocrate, il plongea son regard dans celui de la petite fille et éclata d'un rire sadique. Takias hurlait, elle pleurait en criant son corps était sous les flammes mais il ne brûlait plus, c'est alors que quelque chose se figea dans sa mémoire, ce rire et le sourire du sorcier, ses images ne cessait de réapparaître sous ses yeux puis son frère transpercé par des lianes et ses parents, pendus....aucune trace de Lykarale...


¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

De grosse larmes brûlantes coulèrent sur mes joues d'une blancheur cadavérique. Mais ce n'était plus des larmes de tristesse ou de regret, non, c'était des larmes de rage. J'hurlai de toutes mes forces comme si cet acte puérile pourrait m'aider. Je pris ma tête entre mes mains et vida toutes les larmes de mon corps qu'il mes restait, je me promis que ce serait les dernières.

Enfin je l'aperçu, toujours dans ces habits de riches étoffes, cet aristocrate qui avait ruiner ma vie pour de l'argent dont il n'avait pas besoin. Je crachai de dégoût. Mon corps avait augmenté de température, il était brûlant. L'homme avait pris de l'âge mais il lui gardait de la vigueur, tant mieux, il tiendrait plus longtemps! Il était accompagné d'une dizaine de serviteurs et de trois gardes. Les serviteurs ne seraient pas dur à éliminer quand aux gardes, je m'occuperait d'eux en premiers. Je sentis Kolio frémir, un sourire se dessina sur mes lèvres, j'enfilai mes mitaines de cuir avec mes katars puis je saisit mon arc, je ne voulais pas torturer ses esclaves, je n'avais que faire de leurs misérables vies. Néanmoins, je ne pu me résoudre à mettre sur mes flèches un poison qui tuait immédiatement, je trempais la pointe de mes flèches dans le pire des poisons, le poison noir, celui qui torture avant de tuer qui s'infiltre dans vos veines en vous rongeant de l'intérieur, la destruction dure à peu près deux heures. Parfait, comme cependant sa torture, il pourra entendre, en plus de ses cris, ceux des ses esclaves, mon sourire s'élargit formant plus une grimace qu'autre chose.

J'encochai deux flèches visais et lâchais la corde. Les deux armes se fichèrent dans deux des gardes leur arrachant un cri. Puis petit à petit il tombèrent à terre en hurlant de douleur, leurs cris étaient pour moi comme la plus merveilleuse des mélodies. Non. Pas la plus merveilleuses, la plus merveilleuses sera la sienne, à l'aristocrate. Je m'avançai avec un sourire sadique aux lèvres et commençai le carnage en tuant d'un coup sec et rapide le dernier garde. Bien sûr j'avais évidemment pris soin de tremper mes katars dans le même poisons que mes flèches et je dégustait ses hurlements avec une joie animale. Kolio se jeta sur deux serviteurs en leur faisant connaître le même sorts que leurs camarades, lui aussi avaient les griffes induites de poison. Mais ce que nous ignorions, c'est que quelqu'un nous observais...


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Dim 06 Nov 2011, 18:05

Les choses sont parfois bien trompeuses… Une façade, un masque créé mentalement peut tromper n’importe qui. Quand on a une cible à éliminer mais que celle-ci fait montre d’une prudence exemplaire, mieux vaut laisser le temps filer, peu importe la durée que cela prends, il faut savoir être patient et attendre le bon moment. Le fait était que l’assassin avait cette fois ci une cible à sa hauteur, un gros poisson qui lui rapporterais maintes richesses une fois qu’il aurait fini son contrat. Les aristocrates étaient eux aussi partisans des complots et mieux valait s’en attirer les bonnes grâces pour savoir quand frapper. Affaiblir les défenses de son adversaire se faisait aussi avec le temps… Mais même ceux de sa caste n’arrivaient pas à la cheville d’un drow en matière de complots. Il avait appris que l’homme s’était lui-même mithridatisé, ce qui voulait dire que les poisons n’avaient pas grand effet sur sa personne. Il allait donc devoir trouver autre chose…

Et justement, il se trouvait que pour une raison qu’il apprit plus tard, cet homme avait besoin d’assassins et de mercenaires. D’une part parce qu’il préférait supprimer des rivaux par le biais d’hommes de main mais aussi parce qu’il était friand d’antiques reliques qu’il faisait chercher dans des lieux sombres et oubliés, remplis de pièges et de créatures sinistres. Justement, l’assassin s’intéressait de près à ces mêmes reliques, qui en plus d’avoir de la valeur, étaient pour la plus part sous les effets d’enchantements puissants. Revendre au marché noir de telles pièces revenait à s’assoir sur un tas d’or, un gros tas d’or… Et l’or, comme le pouvoir l’intéressait par-dessus tout. L’elfe noir avait déjà réussi à intégrer des membres de l’Aube Mythique, sa guilde d’assassins et de mercenaires, à la garde de ce riche homme. Qui n’en savait rien d’ailleurs, il pensait qu’Enarion était seul… Tout comme les autres assassins, qui s’étaient fait passer pour des loups solitaires. L’étau se resserrait petit à petit sur sa proie et le jour du meurtre venait d’arriver.

D’ailleurs, le hasard fit bien les choses… L’aristocrate avait tenu à lui-même participé à la recherche d’un objet rare. Quatre membres de l’Aube mythique, en comptant Enarion, se trouvaient parmi les personnes qu’il avait prises avec lui. Supprimer les huit autres personnes présentes, en plus de la cible, ne serait pas de tout repos mais un petit imprévu arriva, ce qui mit le feu aux poudres. Une jeune femme apparut en tuant les trois gardes qui entouraient l’aristocrate. Ce qu’elle ne sut pas, c’était que cinq autres se trouvaient non loin, en compagnie des quatre assassins sous les ordres d’Enarion qui marchait aux côtés de sa cible. Une mêlée confuse commença, les sombres partisans de l’Aube Mythique commençant à assassiner les gardes du corps de l’aristocrate. Celui-ci se retourna vers Enarion, esquivant de justesse un coup de dague qui lui aurait été fatal et hurlant à la trahison.
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Ven 11 Nov 2011, 13:54


    Des râles sourds venaient de ma droite, d'un bond, je me retournai. Ce que je vis me stoppa net. Des gardes du corps de l'aristocrate en tuaient d'autres tandis que l'aristocrate lui même hurlait le mot "trahison". Que faisait-il là? Je n'en avais aucune idée...Mais si il y avait bien une chose que je ne voulais pas c'était qu'ils tuent l'aristocrate! Il était à moi! Je ne savais plus qui je tuait, la mêlée sauvage dans laquelle j'étais entraîné ne m'aidait pas à comprendre quelque chose. Un homme se dirigeai d'ailleurs vers l'aristocrate.

    "NON!"

    Le mot sortit de ma bouche tout seul, je bondis avec aisance et me plaçai entre l'homme et l'aristocrate. C'était à moi de le tuer. J'avais survécu uniquement dans ce but, je m'étais entraîné avec cette seule idée en tête! Ils n'avaient pas le droit de me prendre ma proie, elle m'appartenait, c'était à moi de le tuer et à personne d'autre!!! Cette rage m'aveuglait et mes coups de griffes partaient sans que j'eusse le temps de réfléchir au pourquoi du comment.

    De son côté, Kolio faisait lui aussi un ravage, mais certains des homme de la garde semblait beaucoup plus entraînés que les autres. D'ailleurs je me retrouvai en combat singulier avec l'un deux, la tâche n'était pas facile, il évitait mes coups avec une rapidité plus qu'impressionnante et ses coups faillirent m'être fatals plus d'une fois! Mais la seule chose qui me faisait encore tenir debout était la rage, la rage de ne pouvoir tuer cet homme qui avait gâché ma vie. La rage de me sentir éloigné de lui et la peur de voir une épée ou une dague achever sa misérable existence. C'était pourquoi je me battait avec fougue et vigueur tel un lion au milieu des chasseurs, je n'abandonnerai jamais!

    Une dague vint se ficher dans mon épaule droite, je l'arrachai dans un râle de douleur et la jetai par terre. Peu à peu mes coups devenaient moins précis, l'homme savait se battre remarquablement mais lui aussi commençait à fatiguer visiblement. Je m'arrachai à ce combat par un cabriole qui me fit perdre plus de sang qu'autre chose, je roulai et finit par arriver près de l'aristocrate. Enfin!!! Mes yeux remplis de douleurs se ranimèrent d'une lueur sadique je levai mes griffes et les abattaient sur lui avec violence, quelqu'un aurait-il la force de le sauver, ou lui même aurait-il la force de les éviter? Rien qu'en y pensant, un sourire se dessina doucement sur mes lèvres.
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Lun 12 Déc 2011, 17:24

Evidemment, quand on commence à s’associer à un drow, il vaut mieux avoir de sérieuses raisons de ne pas être attaqué par surprise dans le dos… Cela, l’aristocrate n’y avait pas assez veillé et il devait maintenant en subir les conséquences. L’arrivée de la jeune femme était un imprévu qui avait permis d’amorcer le tout. L’homme allait mourir et il pourrait mettre la main sur les richesses que possédait son «employeur ». Il suffirait d’arriver à transporter tout les objets enchantés et l’or jusque dans son repaire. L’Aube Mythique avait les moyens de mener à bien un tel transport dans la plus grande discrétion. Toutefois, il était peut être imprudent pour elle de s’attaquer à l’un des assassins. Si elle ne s’en prenait qu’à la véritable garde de l’aristocrate, elle n’aurait pas de problèmes. Malheureusement, elle s’en prit effectivement à l’un des sbires d’Enarion qui répliqua avec tout le talent qu’il possédait. Les choses devenaient confuses, les gardes ne savaient pas qui étaient de leur côté et les assassins étaient bien coordonnés et préparés. La présence d’un lion dans la mêlée n’arrangeait pas le tableau, la situation tournait au chaos le plus total.

Le drow avait déjà tué deux gardes. L’un ayant reçu une dague de lancer dans l’œil et l’autre ayant péri sous ses coups de katars. Tout cela en tenant en respect l’aristocrate qui bien qu’étant âgé, était tout de même un bretteur d’exception. L’elfe noir avait bien du mal à trouver une ouverture mais il prenait son temps, frappant de taille et d’estoc tout en faisant des parades et en feintant sournoisement. Son adversaire baisserait sa garde d’un moment à l’autre et là, il saisirait l’occasion pour le tuer. Néanmoins, un imprévu se présenta de nouveau. Alors que l’elfe noir combattait sa cible, la jeune femme qui avait précipité les évènements se mit à entrer dans la danse. L’aristocrate avait donc à faire à deux adversaires à la fois et arrivait pour le moment à pouvoir gérer l’un et l’autre. L’homme devait avoir des protections magiques sur lui, notamment des artefacts sous formes d’habits. Le drow arrivait à se faire à cette idée en voyant la vitesse et la précision fulgurante de cet humain. Oui, car il s’agissait d’un humain. Par quel miracle les enchantements arrivaient à ne pas faiblir à cause de sa présence ? Sûrement parce qu’ils devaient être bien spécifiques et qu’il avait du faire des choix drastiques pour sa protection… Toujours était-il qu’il arrivait à tenir l’élémentale et le drow en respect. Du moins, pour le moment.
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Ven 16 Déc 2011, 17:54

    Une protection magique bloqua mon attaque pourtant parfaitement bien exécutée. Le combat continuai, l'homme qui combattait l'aristocrate avant moi m'attaqua, je ripostai avec fougue et continuais mes fentes sans pour autant toucher l'un des deux, celui que j'identifiai comme un assassin était fort habile, l'autre avait je ne sais combien de protections magiques sur lui, ce qui m'empêchais de le blesser, c'est alors que, d'un coup de maître- qui m'arracha un cri de douleur à l'épaule-je parvins à m'interposer entre l'assassin et l'aristocrate stoppant le combat. Je plantai mon regard couleur feu dans celui de l'elfe avant de dire:

    "Je ne sais pas ce que tu veux, si c'est son or, je ne ferai rien pour t'en empêcher mais laisse m'occuper de cette vermine!"

    Si le drow en voulait aussi à la vie de cet homme je ne tarderais pas à le savoir, c'est pourquoi je restai en garde, prête à parer une attaque fulgurante qui ne m'étonnerait pas de la part d'un assassin de sa trempe, mais c'était l'argent qu'il voulait, il pourrait peut-être me laisser l'aristocrate à ma plus grande joie. Bientôt Kolio se plaçai derrière moi son torse était souillé de sang, je ne savais de quel sang, si c'était de la garde du noble ou des assassins mais ce qui comptait c'était qu'il se tenait fièrement derrière moi, en un seul morceaux et sans grande blessure apparente, beaucoup de petits coups de dague par ci par là mais rien de grave.

    Autour de nous le carnage continuai, cela n'était pas bien difficile de discerner le camp qui sera vainqueur, les assassins beaucoup plus expérimenté que la garde de l'aristocrate tuait en un seul coup pour la plupart, les gardes, eux, semblaient tomber comme des mouches.

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