Nom : X
Prénom : Ssyi'hæ
Prénom d'esclave : Alma
Surnom : X
Sexe : Féminin
Taille : 1,79 m
Âge apparent : La quinzaine
Apparence : Adolescente - Adulte
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race : Eversha
Type : Evergrim
Totem : Serpent [Mamba Noir]
Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 6 + 1 = 7
- Charisme : 3
- Intelligence : 6 + 1 = 7
- Magie : 5 + 1 = 6
Métier : X
Activité : Survivre
Armes :
- X
- X
Particularité : Esclave à Rhéa Latia ; souffre d'hypocondrie ; a une dépendance à l'opium

Pouvoirs de base :
- Esprit du Totem
- Règne Animal
- Colère des Anciens
- L'éternité du Phénix
- Localisation

Gain de niveau II :
- X

Empire | Rhéa Latia | En cours d'intégration :
- X

Pouvoirs :
- X

Armes :
- X

Artefacts :
- Un talisman de dragon qui assure à son porteur protection

Formes de magie :
- Magie d'Argent
- Magie Primitive

Patrimoine et réputation :
- X

Nom : X
Prénom : Jezeṃiās
Surnom : Jezz , Jezemiasme
Sexe : Masculin
Taille :  170cm adolescent - 183cm adulte
Âge apparent : 15 ans
Ère de naissance : Ère de la conciliation
Race : Démon
Métier : X
Thèmes :
- Bones UK - Beautiful Is Boring
- Palaye Royale - Nightmares
- Dead Poet Society - I hope you hate me

Niveau : I

Armes :  
- Son haleine foudroyante
- Ses mensonges

Spécialités :
- Agilité : 5 + 1 = 6
- Force : 5 + 1 + 1 = 7
- Charisme : 5 + 1 + 1 = 7
- Intelligence : 5
- Magie : 5

Pouvoirs :
- Le pacte démoniaque
- Le reflet de l'autre
- La tentation du Diable
- Le prix du mensonge : Chaque fois que Jezeṃiās ment, il perd un morceau de ses souvenirs qu'il ne récupérera jamais
- Invocation de charognes

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- Lire ce qu'on ne devrait pas : Toutes les lettres qu'écrivent les personnages jouant les personnages de ce volet de Narfas peuvent être lues par les autres. Il n'y a néanmoins pas de preuves : une fois la lecture terminée, la lettre copie disparaît. Ce pouvoir concerne donc les correspondances de : Aäron, Jil, Eméliana, Zeryel, Lysium, Sympan, Oriane, Lorcán, Lazare, Orenha, Hélène, Ikar, Dastan, Adriaen, Yngvild, Ilias, Jezeṃiās, Blu et Seiji.
- Votre personnage devient apte à créer, à l'aide de sa magie, des déguisements en rapport avec les contes dans lesquels il a joué un personnage.
- La possibilité de prendre l'apparence de tous les personnages des contes de Narfas et Lieugro. Le sort demande moins de magie qu'un changement d'apparence standard mais la transformation est capricieuse et peut rester active plus longtemps que prévu. Le caractère et les goûts dudit personnage peuvent également s'inviter à la fête indépendamment de la volonté du vôtre.

ARMES
- X

ARTEFACTS
- Un talisman de dragon qui assure à son porteur bonne fortune

~ Formes de magie
- La Magie des Ténèbres
- La Magie Pourpre

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Il suit un programme d'alternance à Basphel (au Charbon) afin de pouvoir travailler en parallèle en Enfer où il fait partie de l'équipe d'entretien des arènes du Royaume de Sēneya. Il suit un régime alimentaire à base de charognes. Souffrant de cauchemars depuis l'enfance, il éprouve des difficultés à distinguer la frontière entre le réel et le non réel. Il a grandi à l'orphelinat de Liluvel.

Roleplay :

Jezeṃiās se hâta de descendre les escaliers. L'écho de sa course sur les marches grossièrement taillées dans la pierre résonnait désagréablement à ses oreilles. Les lieux déserts et silencieux l'avaient toujours mis mal à l'aise. Quand il y réfléchissait, il n'avait jamais véritablement vécu seul, pas un seul instant. La solitude était une dame terrifiante qu'il n'aimait pas côtoyer et il espérait que c'était réciproque. Le sous-sol, labyrinthique, était taillé comme un gâteau à plusieurs étages dont les galeries débouchaient sur des poches, plus ou moins grosses. Il trouva son chemin sans effort et fut soulagé quand la double porte s'ouvrit dans un bruit soyeux dès qu'il l'aperçut. Il pénétra dans un immense amphithéâtre. Le public se replia dans un silence lourd d'expectative. Ils peuplaient les gradins, si nombreux, et autant d'yeux rivés, non sur lui, mais sur la bouche ténébreuse qui venait de s'ouvrir au centre de l'arène sablonneuse. Une odeur musquée précéda l'arrivée de la Bête. Ses tentacules charbonneux hérissés de piques fouettèrent l'air avec violence et une vibration d'une puissance telle qu'elle faillit le jeter à terre fit gémir les pierres de toute l'architecture. Jezeṃiās repoussa ses boucles couleur d'encre, dévoilant un visage transcendé. Quand le corps volumineux se hissa enfin hors du monde d'où il s'extirpait, l'adolescent se laissa tomber sur les genoux, les jambes sciées par l'émotion. Des larmes roulèrent sur ses joues et l'assemblée sanglota en chœur avec lui. Ils priaient tous avec ardeur. Il leva les bras pour accueillir la gueule vorace mais c'est une botte cloutée qui fondit sur lui pour s'écraser sur son nez. Il poussa un cri de douleur et roula sur le côté pour tenter d'éviter, sans succès, un second coup de pied. « Tu dors au travail, maintenant ? » mugit la voix du contremaître. Le Démon pressentit l'arrivée d'un nouveau coup de pied. Au lieu de s'écarter, il se jeta en avant et entoura les jambes de l'homme de ses bras. La tactique eut l'effet escompté et, saisi par la surprise, son supérieur ne bougea pas. La situation n'était que temporaire et Jezeṃiās énuméra mentalement les options qui s'offraient à lui. Il leva ensuite les yeux sur l'homme bien que ces derniers soient à peine visibles, cachés par la masse emmêlée de ses cheveux. « C'est que j'ai pas dormi depuis une semaine, m'sieur. » commença-t-il à expliquer. « J'ai attrapé une intoxication alimentaire. La bouffe à Basphel est trop saine, vous comprenez, c'pas bon pour l'estomac, ça l'rend fragile. » « Qu'est-ce j'en ai à foutre de c'que tu grailles dans cette école de péteux ? T'auras qu'la moitié de ton salaire, j'en ai rien à foutre. Tout ce que j'veux, c'est que t'ailles nettoyer le merdier qu'ils ont foutu dans l'arène avec le dernier combat. J'arrive pas à croire que t'aies réussi à dormir avec ce vacarme. Incroyable ces jeunes putain, c'est à se demander si tes oreilles sont pas juste là pour faire décoration. Et lâche-moi la jambe, j'aime pas me faire sucer par des gosses au travail. » « Au fait, il y a une arène dans le sous-sol ? » « Quel sous-sol ? T'as la bouche pleine de merde à dire autant de conneries, c'est à ton école que t'apprends à inventer des trucs ? » Jezeṃiās fronça les sourcils, confus.

Un peu plus tard, l'adolescent franchit en courant le portail qui le ramènerait à Basphel. Ce n'était jamais très précis et cette fois, il trébucha dans une salle de classe, vide par chance. Il s'ébroua et se pinça le nez. Chaque fois, il avait l'impression de perdre l'odorat tant la pestilence de son lieu de travail contrastait avec les couloirs proprets de l'école. Il se passa une main dans les cheveux pour enlever le lien qui retenait ses cheveux de devant en un petit palmier, et fourragea dans sa frange pour la faire retomber sur ses yeux. Enfin, il sortit de la pièce et longea le couloir. Au début, il ne prêta pas attention aux regards étonnés qu'on lui jetait, occupé à se dépêcher de rejoindre son dortoir pour récupérer son sac et ne pas prendre plus de retard sur son cours qu'il n'en avait déjà. « Excuse-moi ? » Le ton polissé de certains congénères avait tendance à l'amuser, mais là, il était pressé, et cette fille le ralentissait. « Quoi ? » aboya-t-il. « Est-ce que tu es blessé ? Tu veux que je t'accompagne à l'infirmerie ? » « Hein ? » Il baissa les yeux et constata qu'il était couvert de sang et d'excréments. « C'est rien ça. » Il saisit une viscère qui pendait sur son épaule et la jeta distraitement sur le côté. Un garçon fit un bond de renard sur le côté pour éviter de se la prendre sur le nez. Jezeṃiās suçota le bout de ses doigts par réflexe et le regretta aussitôt. Ça allait lui ouvrir l'appétit et il n'avait vraiment pas le temps. La fille avait brusquement pâli et se mit à bégayer quelque chose qui ne l'intéressait pas vraiment. Il la poussa sur le côté pour poursuivre sa course. Ses méninges turbinaient, occupées à calculer quelle serait la plus grosse retenue qu'il gagnerait entre arriver propre mais avec un retard conséquent, ou s'y présenter maintenant, couvert de saletés. Lui, il savait que ça ne le dérangeait pas, mais ici, ils tenaient à faire respecter certaines règles de bienséance pour le bien de la communauté.

Nom : X
Prénom : Son vrai prénom est Hellébore mais elle n'est connue que sous le nom de Grendel
Surnom : X
Sexe : Féminin
Taille :  6,9 centimètres
Âge apparent : Un peu moins de vingt
Ère de naissance : Ère de la conciliation
Race : Fae
Métier : X
Thèmes : Sin Shake Sin - Can't Go To Hell
Niveau : I

Armes :  
- Son couteau de boucher (volé puis transformé en taille réduite)
- Son vocabulaire fleuri

Spécialités :
- Agilité : 7
- Force : 4
- Charisme : 5
- Intelligence : 10
- Magie : 11

Pouvoirs :
- Les Murmures de la Rose
- L'Éternel Secret
- Poussières Merveilleuses : Le Dédale des Imprudents
- Changer d'apparence
- Invocation d'insectes

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- Objectif : C'est un pouvoir qui permet au personnage de donner un objectif à un autre personnage en fonction de sa magie.

ARMES
- X

ARTEFACTS
- La boîte de Sendhar : C'est une boîte protectrice qui peut contenir de nombreux documents et objets. Elle ne s'ouvre que lorsque son propriétaire la touche, ce qui la rend particulièrement pratique pour tous ceux qui ont des choses à cacher.
- La Bénédiction des Prophètes : Il s'agit d'un anneau d'argent où une pierre blanche ayant les traits d'un flocon a été incrusté. Il attire la bienveillance d'autrui lorsque le personnage le revêt et lui permet également d'obtenir une faveur, toujours empreinte de gentillesse, de la part de quelqu'un d'autre [seulement une fois par RP, sur PNJ ou accord du Joueur préalable].

~ Formes de magie
- Magie de la Lumière
- Magie d'Argent

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Elle a vécu les premières années de sa vie avec un cirque itinérant avant de basculer en Enfer par un portail qu'elle a distraitement emprunté. Son apparence s'y modifia ce qui lui a occasionné un choc au départ et a été très mal vécu mais qu'elle a fini par accepter, notamment grâce aux Faes rencontrées sur place. Même s'il lui est arrivé de revenir dans le monde d'où elle vient, elle vit désormais en Enfer depuis plusieurs années, dans le jardin de Kitoe qu'elle entretient avec Ancolie, Gaillarde et Ortie. Elle se sert de Jezeṃiās pour se rendre à Basphel en catimini. Il ne s'est rendu compte que récemment de sa présence.

Roleplay :

« Il va bien falloir qu'on se décide. S'il te plaît, Grendel. » Ancolie se tordait les mains si fort que les coutures sur ses poignets se mirent à grincer. J'avais du mal à savoir si c'était d'agacement ou si elle avait mal digéré sa tartine au miel. C'était une Fae pleine de névroses et hypocrondritruc, j'avais du mal à suivre. « Quoi s'il te plaît ? T'es sourde en plus d'être conne ou t'as cru que la politesse allait me faire céder comme si j'étais une marguerite née ce matin ? J'ai déjà donné mon avis, et je n'en bougerai pas. Braille autant que tu voudras, pour c'que ça m'fait. » Le battement de mes ailes ralentit et je m'assis en tailleur sur un caillou, les bras croisés et le regard fixe. Je surpris néanmoins le regard que Gaillarde lança à Ancolie. Les deux étaient nées dans la même fleur et à elles deux, elles avaient le courage d'une crevette séchée. « Quoi ? » aboyai-je. « Si Ortie était là, tu te tiendrais bien, et on y serait déjà ! En plus, c'est de ta faute si on est en retard, tu exagères ! » Du cirque, j'avais conservé l'habitude de me maquiller même si mon visage n'était plus aussi vilain qu'autrefois. J'avais plutôt même tendance à l'enlaidir désormais. En Enfer, la beauté était de toute façon quelque chose de relatif. La survie, c'était le plus important. La survie, les copines, le nectar de pollen aromatisé à l'absinthe, et s'amuser surtout. « J'en ai rien à foutre de votre raccourci de merde, je refuse de passer par le champ des tournesols, ils hurlent si fort qu'y a pas un piaf qui vole au dessus ! En plus, tu sous-entends quoi avec Ortie ?! Ose me le dire en face, sale truie ! » Ortie, c'était ma meuf, alors c'était vrai que je faisais en sorte d'aller dans son sens, même quand elle racontait des conneries. Cependant, il était intolérable qu'on croit qu'elle me menait à la baguette. « On va être en retaaaard ! On va tout rater à cause de toi ! » gémit Ancolie qui semblait au bord des larmes, comme d'habitude. « Et alors ? De toute façon, au début, c'est que des combats nuls à chier. Le meilleur, c'est à la fin. » « C'est vrai, la dernière fois, un porcelet a gobé tout cru un Démon qui faisait au moins trois fois sa taille. Son rot a fait trembler les gradins. » se souvint Gaillarde en réprimant un petit frisson d'expectative à ce souvenir. Moi, je n'avais rien vu car j'avais perdu à la courte paille et ça avait été à moi de garder le jardin. Cette fois, c'était Ortie qui restait s'occuper des enfants. « Bon. On traverse le jardin et puis c'est tout. Et, non ! Tais-toi ! Parce que si tu refuses, je dis à Ortie que c'est toi qui a mis les oeufs de mouche dans son tiroir à lingerie. » « Quoi ! Mais c'était y a une éternité ! » couinai-je. Une semaine. « En plus, t'as pas de preuve ! Menteuse ! Menteuse ! » Mais Gaillarde ne m'écoutait plus. Elle avait pris le bras de sa sœur et elles s'étaient envolées. Je fis de même, mais juste pour m'assurer qu'elles puissent entendre les insultes que je leur adressai. Les hurlements aigus des tournesols eurent vite fait de recouvrir le son de ma voix. Elles étaient, de loin, les fleurs que je détestais le plus. Menteuses hors pair, elles nous prenaient pour leurs esclaves et exigeaient tout et n'importe quoi, et ce, toujours en hurlant car elles ne s'entendaient plus. Nous prenions soin de protéger nos tympans avec des bouchons mais cela ne faisait qu'atténuer les terribles plaintes de ces harpies. Je préférais de loin le jardin de Kitoe. Il possédait ses propres pestes mais au moins, je gardais mon audition intacte.

Pendant l'entracte, le temps que le public aille se ravitailler en boissons et grignotages, je m'envolai sans prévenir les filles qui s'étaient lancées dans des paris. Sans que quiconque remarque ma présence, je me faufilai dans une des bouches sombres bordant l'arène. Je passai aisément entre les épais barreaux. L'odeur de sang, de sueur et d'excréments me prit à la gorge. « Par les nichons de la Sailanie, c'que ça shlingue ! » Je progressai néanmoins plus en avant, curieuse de découvrir l'envers du décor. Au bout d'un moment, voir les combats s'enchaîner devenait lassant. Comme étouffé, un sifflotement joyeux flotta jusqu'à moi malgré le sifflement dans mon oreille interne après la torture sonore des tournesols. Un bras sur le nez, je longeai les longs couloirs en suivant le bruit et tombai alors sur un jeune garçon. Dos à moi, il balayait le sol en dandinant du fessier. Comme beaucoup de Démons, des cornes dépassaient d'une épaisse toison de boucles noires, et en m'approchant, je vis qu'il s'agissait plutôt de bois, plutôt courts d'ailleurs. « Salut. » Le garçon continua de siffloter, m'ignorant totalement. C'était quelque chose qui m'agaçait profondément. Quand j'étais petite, non, je commence mal cette histoire. Quand j'étais plus jeune, je n'avais aucun mal à me faire entendre des autres car j'étais bien plus grande que maintenant, en taille. « TU VAS M'REPONDRE GROS PIGNOUF ! » beuglai-je, de toute la force de mes poumons qui devaient faire la taille de la moitié de son ongle. « Hou hou ah ! Houwa ! » chantonna-t-il en se lançant dans un tango avec le manche du balais. Le pollen me monta au nez et mon visage prit les couleurs de tous les pétales. Une seconde plus tard, un vrombissement se fit entendre au plafond. Intrigué, le garçon leva le nez pour voir une nuée de gros cafards volants descendre comme jusqu'à lui. « Bien fait. » ricanai-je, ravie de mon petit tour. « Dément !!! » Mon sourire se décomposa quand je vis le brun attraper un cafard en plein vol. « Mais qu'est-ce qu'il... Hé ! Arrête ! » J'entendis distinctement le son croustillant que fit l'insecte entre les maxillaires du Démon. « Espèce de ! Mes bébés ! » « Pétard, je vais être en retard au cours encore. » fit-il soudainement après s'être régalé d'un autre cafard. Il se mit à courir et je le suivis, déterminée à avoir ma vengeance. Je ne sus trop comment, peut-être sa silhouette masquait-elle l'entrée du portail, mais soudain, nous n'étions plus dans les coulisses de l'arène mais dans un tout autre endroit. Il y avait des adolescents partout. Habillés de façon similaire. Je glapis d'horreur et attrapai le col du Démon à la dernière seconde alors qu'il reprenait sa course. Le cœur serré d'effroi, je me blottis dans l'espace entre le col du vêtement et la nuque du mangeur de cafards. La masse noire graisseuse de ses cheveux me dissimulait efficacement et j'attendis là que ma respiration retrouve son cours normal.