| Styvan Khanis - Vampire |

Mer 19 Jan 2022, 15:12

Styvan Khanis

Nom : Khanis
Prénom : Styvan
Surnom : Sa grand-mère l'appelle titi.
Sexe : Masculin
Taille : Un mètre cinquante-sept
Âge apparent : Seize ans
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race : Vampire
Lignée : Lignée de Dalemir
Créateur : Lilia Khanis.
Métier : X
Activité : Il aide souvent le pâtissier de son village pendant ses vacances.
Armes :
- Arc
- Petit couteau
Particularité : A part des crocs ? Rien.

Compétences & Gains

Spécialités :
- Agilité : 7 + 3 + 1 = 11
- Force : 5 + 2 + 1 + 1 + 2 + 2 = 12
- Charisme : 3 + 1 + 1 + 5 + 2 = 12
- Intelligence : 6 + 3 + 2 = 11
- Magie : 4 + 3 = 7

Pouvoirs de base :
- Aliénation
- Contemple ton ombre
- Le lien du sang
- Révélation
- Vitesse accrue

Gain de niveau 2 :
- Points de spécialité

Pouvoirs :
- Création de gemme de couleur orange : Il s'agit d'un pouvoir qui permet à votre personnage de créer des gemmes similaires à celles qui sont apparues lors de l'Ère des Prophètes mais en plus petit. Lutte contre les infections.

Armes :
- La seringue du Fessetival : C'est une seringue contenant un liquide qui se régénère en fonction de la magie du possesseur. Se l'injecter ou l'injecter à quelqu'un rend heureux et désinhibe. Les effets sont dépendants de la force et de la magie des personnages.

Artefacts :
- Le Panier Garni de Mamie Bisous : il s'agit d'un petit coffret contenant quatre fioles. Une fois le contenu utilisé, il suffit de replacer les fioles dans le coffret pour que celles-ci se remplissent de nouveau. La première contient un masque pour la peau, qui permet de donner un teint éclatant, tellement que vous brillerez dans le noir - idéal pour une promenade en pleine nuit ou viber sur le dancefloor, tous les regards se tourneront vers vous. La seconde est un verni vert à paillettes rouges, qui permet de faire pousser les ongles et les durcir - il paraîtrait qu'avec une application régulière, cela donnerait des griffes robustes, les Eversha se l'arrachent, il n'y en a bientôt plus en stock. Le troisième est un parfum qui change d'odeur en fonction de saison ; dans tous les cas, il s'agit toujours de quelque chose de très fort et très fruité, avec une pointe de cannelle - de quoi dégager des phéromones qui attireront votre âme soeur à coup sûr ! Enfin, le dernier pot est rempli de crème de châtaignes (très utiles pour attirer des humains et les piéger pour boire leur sang.)

Formes de magie :
- Magie des Ténèbres
- Magie du Sang

~ Patrimoine et réputation :
- X

Role Play

La lumière du jour venait de se faufiler du trou dans les rideaux de la fenêtre de sa chambre jusqu’aux paupières de Styvan qui venait de se retourner encore à moitié endormi. Il n’était vraiment pas d’humeur à se réveiller. Ses vacances scolaires ne faisant que commencer, le jeune magicien se serait bien assoupi quelques heures de plus si ce rayon de soleil n’était pas venu interrompre son cycle du sommeil. Alors, dans un semi-élan de conscience, à l’aide de ses petits bras, il attrapa sa couette puis s'emmitoufla à l’intérieur pour dissimuler au mieux la lumière. Le garçon ressemblait à une sorte de chou farci, mais maintenant que l’obscurité avait repris le dessus, tout ce qu’il espérait c’était que sa grand-mère ne vienne pas le cuisiner. Malheureusement, les bruits de pas dans le couloir se dirigeaient déjà vers la porte de sa chambre. On ne peut pas rompre une promesse faîte à sa Mamie et il le savait, aujourd’hui il devait aider le pâtissier de son village pour la cérémonie de mariage du lendemain.

Une petite voix douce émergeait de derrière sa porte. « Titi ? Titi tu es réveillé ? Une bonne partie de la matinée est déjà passée ». Un électrochoc traversa son corps. Sans s’en rendre compte, il était déjà debout à côté de son lit, mais à quel prix? Le blondinet ressemblait plus à un zombie qu’à un quelconque être humain capable de prendre une décision. « Oui, petit-déjeuner Mimie réveillé j’arrive. » ânonna-t-il encore dans les vapes sans se rendre compte que sa phrase n’avait aucun sens. Sa grand-mère partit en gloussant jusqu’à la cuisine tandis qu’il s’habillait avec les premiers vêtements trouvés sur une chaise à trois pieds qui tenait debout comme par magie. Il traîna ses pieds en marchant jusqu’à sa fenêtre pour ouvrir les rideaux en bois. Ses yeux noirs furent aveuglés par le flash soudain du soleil, il avait cependant eu son taux de lumen nécessaire pour se réveiller. En sortant de sa chambre, l’adolescent se rendit compte que sa grande sœur n’était pas dans la sienne. Elle a dû sortir dès l’aube pour aider le village, elle travaille tout le temps pensa-t-il. En effet, à l'école sa sœur était bien plus douée que lui, il ne faisait aucun doute quant à son avenir prometteur dans la société des magiciens. Dans la cuisine, sa grand-mère était déjà au fourneau, la vaisselle flottait toute seule au-dessus de l’évier et une brosse frottait énergiquement les salissures du dîner de la veille. Elle était petite en taille et toute recroquevillée sur elle mais c’était la personne qui aidait le plus Styvan depuis le décès de ses parents du moins après l’Ultimage. « Bonjour Mimie, comment allez-vous ? Je mangerai plus tard, j’avais proposé mon aide à Charles pour aller chercher du miel pour le gâteau de demain » dit-il avec un large sourire. La seule réponse qu’il eut en retour était un regard glaçant de sa mamie qu’il traduisit en t’as intérêt à manger ! Il faut croire que même dans ce village le mythe de la mamie poule intransigeante existait aussi.

Le glouton avait engloutit sa soupe et son pain de seigle en un temps records. Il embrassa sa mémé qui avait insisté pour coiffer sa chevelure blonde. «Que Sulis vous bénisse. » dit-il avant de s'en aller. Dehors, son petit village de retraités magiciens se préparait pour la cérémonie du lendemain. Il arriva comme prévu devant la maison de Charles, le pâtissier du village, avec qui il apprenait les bases de la pâtisserie lors de ses vacances. « Ah tu tombes à pic mon petit Styvan j’allais partir chercher le miel dans un village voisin, grimpe donc, on en aura surement pour la journée » dit Charles en tapotant sur le banc de sa charrette. « Oui Monsieur. » répondit l’adolescent. A cause de son petit mètre cinquante-sept, monter dans cette carriole était comme gravir un mur, heureusement pour lui Charles lui tendit sa main. « Merci Monsieur. » dit-il timidement en acceptant son aide. Styvan n’avait jamais été très à l’aise avec les personnes hors de son cercle proche, il faut dire que depuis la perte de ses parents il avait été très difficile pour lui de s’attacher. Lorsque la charrette démarra, le bruit des fers à cheval sur le chemin de pierre, les secousses du banc qui le faisait sautiller et le souffle du vent sur le visage de l’apprenti lui donnait l’envie de finir sa nuit sur le chemin. Plusieurs fois le poids de sa tête penchait vers l’avant, mais il ne voulait pas s’endormir sur le trajet, quelle image il donnerait à son mentor qui lui se doit de rester éveillé pour faire la route. « Hé petit, si tu as envie de dormir, n’hésite pas je te réveillerai une fois arrivé au village » son mentor avait parlé. Aussitôt cette phrase arrivée aux oreilles du jeune homme que celui-ci s'endormit, il n’avait presque pas fermé l'œil de la nuit, comme souvent quand il avait quelque chose à faire le lendemain il était beaucoup trop stressé. Cela faisait déjà plusieurs heures que Styvan rattrapait son insomnie, une voix apeurée était cependant venue le réveiller « Petit petit, réveille toi j’ai un mauvais pressentiment » chuchota Charles. Lorsqu’il émergea le crépuscule se dessinait déjà dans le ciel. J'ai dormi combien de temps ? pensa-t-il. Apparemment tout le trajet puisqu’à l’horizon on pouvait voir le pont du village dans lequel ils étaient censés se rendre. Une chose clochait, on pouvait apercevoir de la fumée par-dessus l’immensité des arbres qui constituaient la forêt autour d’eux. Styvan le savait, le village devant eux était détruit, l’angoisse commençait à prendre le dessus. « Charles.. Je me sens mal. Char..? » il tourna la tête vers le conducteur qui venait tout juste de recevoir une flèche en plein cœur. Le pâtissier le regardait. Une vision d’horreur, du sang, la mort devant ses yeux à nouveau, il plaça ses mains sur la blessure de son maître comme pour essayer de lancer un sort de soin qu’il apprenait à l’école. « Va t’en » pouvait-il lire dans son regard. Il était pétrifié mais conscient que s'il ne partait pas immédiatement de ce banc la deuxième flèche serait pour lui.

Alors que le chariot continuait d’être tiré par les chevaux, le garçon apeuré sauta dans un buisson sur le côté du chemin de pierre. Même si les feuilles avaient servi à ralentir sa chute, son genou droit avait quand même tapé sur une pierre à la réception. Il se releva fébrilement boitant à moitié, son genou le gênait, mais pas assez pour l’immobiliser. Le boiteux s'enfonça dans la forêt, se retournant tous les cinquante mètres pour vérifier si une silhouette ne le suivait pas. Est ce que l’archer le poursuivait ? Il n’en savait rien. Après plusieurs dizaines de minutes de marche il arriva en face d’une falaise et pour la première fois de sa vie il remercia son corps d’être aussi maigre, grâce à lui il avait réussi à s’enfoncer dans une crevasse qui menait à une grotte. Aussitôt à l'abri, il s’effondra en larme sur le sol, il venait d’assister à un meurtre et ne savait pas non plus comment rentrer dans son village. « Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire ?! » répéta-t-il frénétiquement, jusqu’à qu’une idée vint interrompre son monologue d’anxieux. Il doit y avoir des chevaux dans le village, et j’aurais juste à suivre les traces de roue de la charrette pour rentrer !

Son plan était clair dans son esprit. Alors le gamin sortit de sa grotte et se dirigea vers le pont pour voir si la charrette y était encore. En effet elle était toujours là, les chevaux écroulés sur le sol avaient également été tués égorgés. Devait-il passer par le pont ? Si jamais les assaillants étaient toujours là, il allait facilement être repéré et qui sait ce qu’ils lui auraient fait. Je vais essayer de passer le fossé que le pont permet de traverser.. pensa-t-il. Alors le disciple descendit la pente pour atteindre l’autre côté de la crevasse, seulement un fond d’eau stagnant arrivant au cheville remplissait le fond de cette dernière, aucun risque pour lui de se noyer. Lors de sa traversée un détail venait d’attirer son regard, il y avait une silhouette en dessous du pont, celle d’une petite fille qui avait l’air de se pelotonner. Il avança prudemment. « Petite ? » la gamine se retourna vers lui, elle pleurait sûrement apeurée par l’attaque qu’avait subi son village. « Je vais t’aider à remonter, tu vas te cacher dans la charrette au-dessus, je viendrais te chercher une fois que j’ai trouvé un cheval d’accord ? » il obtint un hochement de tête positif en réponse. Comme prévu, il aida l’enfant à se cacher dans la charrette et retourna à son plan initial : trouver un cheval ou même un âne. Une fois le fossé passé, le village était en ruine, plus rien ne tenait debout, les maisons étaient presque toutes en cendres, quelques-unes brûlaient encore et risquaient de s'effondrer à tout instant. Sur le sol, des corps, beaucoup trop de corps pour être capable de les compter. Le seul être vivant que Styvan avait remarqué était un chat noir devant une maison qui brûlait. Il cherchait désespérément des chevaux mais l’écurie était vide, peut-être que les pauvres bêtes avaient pris peur ou que les monstres qui avaient détruit le village étaient parti avec eux. Le bruit des flammes venaient d’être dérangé par des ricanements pas si éloignés d'où se situait l’adolescent, des caisses proches de l’écurie lui avaient permis de se cacher pour observer les survivants. Ils étaient cinq, aucune chance qu’ils soient de ce village, vu leurs habits et leurs lames encore pleines de sang. Soudains quelques choses se frotta à sa jambe, c’était le chat noir qu’il avait aperçu plus tôt, il ronronnait si fort qu’il eut peur que les hommes en face de lui l’entendent également. Ce chat était magnifique, son ronronnement sonnait comme un enchantement. L’envoûté était tellement concentré sur le félin qu’il n’entendait pas les brigands se rapprocher. Une poutre d’une maison venait de s’effondrer, le bruit que cela avait provoqué était assez surprenant pour que l’adolescent sorte de l'envoûtement criant de manière incontrôlé. Ce cri avait eu pour effet d’avertir les brigands. « Je t’avais dis que j’avais vu un enfant s’enfuir de la maison tout à l’heure, on a bien fait de faire un dernier tour » exclama un des hommes tout en pointant du doigt Styvan pétrifié à l’idée de ce que ces bandits pourraient lui faire. Il attrapa le chat, sans aucune idée de pourquoi et se mit à courir à toute vitesse dans la forêt, les bruits de pas derrière lui étaient lourds, il sentait bien qu’il n’arrivait pas à les distancer. Les branches d’arbres fouettaient son visage et ses bras. Le chat quant à lui, il était fermement protégé sous la chemise du magicien. Sa fuite était vaine, il savait qu’il n’y avait plus aucune distance entre lui et ses poursuivants. Il repéra une souche d’arbre avec un trou et cacha le chat à l’intérieur avant d’attraper un bâton pour intimider les hommes qui étaient à présent devant lui. « Allez-vous.. » tenta-t-il de dire avant de se prendre une flèche dans le ventre. La douleur était indescriptible, mais ça ne faisait que commencer. Les hommes se jetèrent sur lui, continuant de le marteler de coup et de le piquer avec leurs couteaux. Styvan sentait sa vie le quitter petit à petit, il devenait de plus en plus lourd et ne sentait même plus les coups, était-ce parce qu’il était au bord de la mort à cause de tout le sang qu’il avait perdu ou parce qu’ils avaient arrêté ? Il avait juré avoir entendu crier. « Le chat ? Comment va le chat ? » cracha-t-il en rampant jusqu’à la souche d’arbre. Le chat, devenu humain, n’était plus dans sa cachette et venait de tuer les cinq hommes. « Sérieusement, moi qui avais presque réussi à le charmer, il avait l’air si bon. Qu’est ce que…? » la femme regarda émue Styvan ramper jusqu’à la souche. « Tout compte fait j’ai d’autres plans pour toi. »

Qu’est-ce que c’est que ce goût dans ma bouche ? Du goût ? Je ne suis pas mort ? Où suis -je ? J’ai faim ! pensa-t-il en se réveillant. Il était dans une grotte illuminée par un feu de camps, une femme se tenait de l’autre côté des flammes. « Eh bah, six jours, je ne pensais pas que c’était possible, quand tu dors tu ne fais pas semblant. » dit-elle en souriant. « Les hommes.. Le chat.. La petite.. Tout ça n’était pas réel ? » « Si si tu es bien mort, enfin techniquement non mais ça je te l’expliquerai plus tard. » Styvan avait un goût de rouille dans la bouche, comme si il avait suçoté une plaie. Une petite flaque d’eau lui avait servi à s’essuyer le visage, il cria en ne voyant pas son reflet. « Qu’est ce qu’il m’est arrivé ? » bafouilla t-il. « Je t’expliquerai plus tard. » répéta-t-elle. Styvan pensait à une manière de pouvoir s’éclipser discrètement de la grotte. « Ne bouge plus. » ordonna la femme. Pourquoi il n’arrivait pas à se lever ? Il était comme bloqué. « On sortira ce soir, tu devras t’y habituer, tu ne pourras plus la voir, la lumière du jour. »

2410 mots.

HRP

Le thème de votre personnage : Yiruma - River flows in you
La mort : Un petit bain de soleil.
Votre fréquence de rp : Plusieurs fois par semaine (sauf si imprévu)
Comment avez-vous découvert le forum ? Un ancien ami qui était sur ce forum m'en a parlé.
Le code du règlement : Tartelette au citron (meringuée j’espère)

Jeu 20 Jan 2022, 11:51

La bienvenue officiellement | Styvan Khanis - Vampire | 1515

Trop contente de voir de nouveaux Vampires sur le forum | Styvan Khanis - Vampire | 002

Mar 25 Jan 2022, 23:59

Bienvenue officiellement <3
J'ai viré la fiche vide du compagnon, puisque de toute façon le jour où tu t'en fera un ce sera ce même code rempli qu'on validera x) (et tant que j'étais dans le mode édition j'en ai profité pour corriger des micro-détails, genre les chiffre qui doivent être en toute lettre et la partie Prénom Nom remplacée par, bah, le prénom et le nom de ton perso)

Et donc je t'annonce que c'est bon, tu es validé !!!

La fête va enfin commencer, Sortez les bouteilles, fini les ennuis

Vive les pionniers, Les rebelles et les révoltés

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