Mitsu ♚ Fondatrice ♔ ◈ Parchemins usagés : 36206 ◈ YinYanisé(e) le : 07/07/2005 | Sam 06 Avr 2019, 16:23 | |
|  Isemli Isemli est l’Æther des Sports et de la Compétition ainsi que le Gardien du déroulement de la Coupe des Nations. Il est le Dieu qui guide les sportifs dans leurs ambitions et qui édicte les préceptes propres à chaque compétition. Connu sous la forme principale d’un hibou du fait de l’apparition répétée et constante de l’animal dans le ciel durant les épreuves de la Coupe des Nations, il est le Gardien de la volonté de ses semblables quant au déroulement du plus grand événement sportif des Terres du Yin et du Yang. Il est celui qui choisit les Champions, également appelés Isemssith, après délibération avec les Ætheri propres à chaque race, et qui souffle leurs noms aux religieux ou aux Souverains, dans leur sommeil ou par un autre procédé, plus ou moins établi selon les peuples. Considéré comme un Dieu sévère mais juste, la doctrine d’Isemli prône l’effort, dans un objectif de dépassement de soi. Il n’abhorre guère la faiblesse mais, au contraire, l’encourage à disparaître par le travail et la persévérance. Si la Divinité n’a guère d’objet spécifique lui étant attribué, il est de coutume que les individus lui vouant un culte s’entourent d’un bien fétiche, symbole de leur croyance, un bien dont ils ne se séparent que très peu souvent et vers lequel leurs prières vont. Ainsi, il n’est pas rare de voir des sportifs de haut niveau porter toujours le même collier par exemple, ou se promener avec une pièce très spécifique dans la poche. Isemli est un Æther prié indifféremment par tous les peuples des Terres du Yin et du Yang. Son culte est étonnement codifié, étant le même partout. En réalité, Isemli ne possède guère d’autres temples que les infrastructures sportives et de grands manoirs où vivent ses prêtresses, exclusivement féminines.
Rendre hommage et prier Isemli, en dehors du quotidien et de l’entraînement, consiste à pratiquer ce qui est appelé dans toutes les langues un « Isemliäth », ou un pèlerinage sportif, plus ou moins long suivant le niveau de l’individu. Quoi qu’il en soit, l’Isemliäth doit comporter plusieurs sports et est au minimum composé de marche à pied, de nage et d’escalade. S’il peut se pratiquer en solitaire, l’Isemliäth est le plus souvent accompli à plusieurs, chaque participant ayant pour objectif de finir la course le premier. Organisé généralement par les Prêtresses d’Isemli, elles en sont les seules juges, n’acceptant pas la tricherie. Tricher est d’ailleurs fortement déconseillé car la sentence est le plus souvent irrévocable. Le tricheur est banni et condamné à perdre soit ses doigts, soit ses orteils, soit ce qui lui permettait d’accomplir son sport favori. Le pardon est possible mais extrêmement rare car Isemli est un Æther rancunier. Celui qui le parjure en se disant au préalable adepte de son culte ne s’en sort jamais indemne.
Les Prêtresses d’Isemli, en plus de posséder un Manoir sur le territoire de chaque race afin de conseiller les arbitres et autres acteurs des sports et des compétitions, sont les annonciatrices des épreuves et des résultats de la Coupe des Nations. Appelées Isemlhyä, elles sont facilement reconnaissables par leur physique bleuté. Les plus grandes d’entre-elles sont des sportives accomplies dans différentes disciplines et, ce, quand bien même elles possèdent un handicap : le fait d’être aveugles. Peu importe leur peuple d’origine, les Isemlhyä se doivent de ne point évoluer dans leur hiérarchie raciale pour se consacrer exclusivement au sport. Souvent entraînées dès la naissance, de génération en génération, elles se doivent d’apprendre la magie susceptible de leur servir pour leur mission, à savoir tous les dons capables de transmettre des messages au plus grand nombre et de voir au-delà des yeux. Les Orishas sont donc particulièrement nombreuses parmi les Prêtresses de l’Æther, comme prédisposées à la tâche. Les Isemlhyä n’engendrent que des filles, qu’elles ont le plus souvent avec des sportifs ou sportives de haut niveau. Ceci est vécu comme un honneur par lesdits sportifs. En ce qui concerne les femmes, « l’acte charnel » est, bien sûr, réalisé sans pénétration mais ce n’est pas cette dernière qui fait tomber l’Isemlhyä enceinte mais bien la communion des corps et des esprits sportifs et compétitifs dans une étreinte portée par les mêmes valeurs. Une apprentie Isemlhyä prend la couleur bleutée et lumineuse au fur et à mesure de son apprentissage et perd la vue à la même vitesse. [Si vous voulez jouer une Isemlhyä apprentie, contactez-moi par mp ^^]
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