Hava, Ildirim & Djomir

Hello 8D

Je fais un petit concours pour avancer un peu la description de l'Archipel d'Aeden.

Objectif
- Faire la description des îles d'Hava (l'air), Ildirim (l'électricité) et Djomir (le métal).
- Vous devez tailler une image pour chaque île en 600x200
- Vous devez faire une description de minimum 300 mots par île
- Cette description doit être inspirée des caractéristiques des Lyrienns en question (l'élément + le caractère dominant)
- Vous devez faire les trois îles [genre vous ne faites pas que Hava]

Pour un exemple de ce que j'ai commencé pour les autres îles > Ici

Deadline
- Le 9 mai 2019
- On votera pendant une semaine et les descriptions des îles du gagnant seront placées dans la description du lieu ^^

Gains
- 1er : Le métier d'architecte + 2 points de spécialité + 5 points de rp
- 2ème : Le métier d'architecte + 1 point de spécialité + 4 points de rp
- 3ème : Le métier d'architecte + 3 points de rp

Participation : 2 points de rp et ma reconnaissance 8D /sbaf

Hava est l’île de l’air. Les habitations se situent sur les plus haut reliefs des montagnes, dans des vastes bâtiments en marbre. Le vent y est omniprésent et il n’est pas rare pour certains visiteurs imprudents de perdre la vie en voulant regarder vers le sol lointain. L’île est cependant réputée pour avoir les meilleures écoles où le savoir des Lyrienns y est transmis de générations en générations. La plus célèbre est sûrement celle située au beau milieu de l’île sous une grande coupole. Des centaines d’étudiants y sont accueillis pour parfaire leurs éducations.
Aussi, les architectures ont été réellement pensées, pour répondre aux contraires du vent et de l’altitude, mais il est possible pour les touristes de se laisser surprendre par les va-et-vient des immeubles sous les contraintes météorologiques.
A l’image de ses habitants, les logements y sont nombreux et de tous types. Il est même courant de voir s’amonceler de grandes habitations onéreuses à côtés d’autres plus modestes. L’entre-aide est un des principes fondateurs de l’île, c’est pourquoi les associations pullulent allant de la soupe populaire à la récolte de vêtements en passant par des dons aux écoles et hôpitaux.
Certains hospices sont aussi réputés pour permettre des retraites paisibles et revigorantes. Ceux-ci accueillent régulièrement des personnes de tout les territoires du Yin et du Yang. Il n’y a aucune différence dans la prise en charge d’un souverain ou d’un mendiant.
Ainsi, le peuple de l’île de Hava est ouvert envers chacun et la différence est tolérée voire appréciée. C’est pourquoi les Lyrienns de l’air entretiennent des relations pacifiques avec les Lyrienns d’autres éléments.
D’un autre côté, l’anarchie n’est absolument pas tolérée, si bien que l’on peut voir jour et nuit circuler des gardes dans les rues pour rappeler à l’ordre les semeurs de trouble. Ainsi, si un garde vous accoste, ne prenez pas peur. Mais n’oubliez pas que la prison de l’île est elle aussi réputée …

Ildirim est l’île de l’électricité. Tout comme ses habitants, l’île possèdent plusieurs visages. Il est courant d’observer des logements encastrés les uns sur les autres pouvant atteindre des hauteurs vertigineuses contre toute logique. Cependant, il n’est pas rare de constater quelques mètres plus loin de vastes étendues sauvages dans lesquels les Lyrienns de l’électricité s’adonnent à de nombreux exercices physiques. Il ne faut pas oublier que de certains sportifs renommés sont issus de cette île.
Quoiqu’il en soit, tout le monde s’accorde à dire qu’il s’agit d’une île mystérieuse alliant puissance, beauté et excentricité. De nombreux artistes aiment y s’installer, que ce soit pour quelques jours ou plusieurs années, afin d’utiliser à bon escient, l’inspiration ressentie face à cette originalité. En outre, les plus loufoques se sentiront également à leur aise, car à l'emplacement de certains points clefs de l’île, les lois de la gravité semblent s’inverser, ce qui peut rendre chèvre quelques scientifiques. Ainsi, des aventuriers aiment parcourir l’île afin d’en découvrir tous les recoins, car l’île cache de nombreux secrets. Certains disent même que des morceaux entiers de l’île disparaissent en une nuit ou que d’autres changent mystérieusement de place. Ces rumeurs sont d’autant plus écoutées quant à l’apparition d’orages locaux inexpliqués.
De plus, sur une des côtes de l’île, se trouve un labyrinthe qui ne cesse de changer d’aspect. Beaucoup y ont laissé leur vie, mais il est toujours de coutume locale d’envoyer un Lyrienn par année pour essayer de trouver ce qu’il se cache au centre du labyrinthe. La plupart ne vont pas très loin : beaucoup pensent que Vëtëtimë s’amuse à changer le chemin ; mais les courageux ramèneront certains présents trouvés. Certaines légendes disent même qu’un Lyrienn y aurait volé un cheveux de l’ Ӕther, entraînant alors le courroux de cette dernière, qui non seulement tua le malotru sur le champ mais laissa également une partie du labyrinthe sous un constant orage.

Djomir est l’île du métal. Elle contient de nombreuses habitations aux murs métalliques qui étincellent aux moindres rayons du soleil. Lorsqu’il pleut, le peuple de l’île peut constater l’effet miroir que provoque l’eau stagnante sur les parvis. On reconnaît d’ailleurs les étrangers à leur façon d’observer ce phénomène : certains sont admiratifs, alors que d’autres se figent sous l’emprise du vertige provoqué par l’illusion d’optique.
Aux intersections des ruelles, il est possible de voir des statues de toutes tailles (allant du monument imposant à la statuette décorative) représentant Hékur, l’ Ӕther du Métal avec ses nombreux bras métalliques portant un vase contenant la flamme dorée de Tokë. Certaines ont été taillées à même les bâtiments, d’autres ont été rajoutées par les habitants eux-mêmes pour décorer leur balcon, ou pour simplement faire acte de dévotion envers leur Ӕther.
Il s’agit d’une île réputée pour ces orateurs. Les meilleurs avocats sont souvent issus de cette île qui leur a permis d’acquérir de solides bases en matière de lois. De plus, toute une partie de l’île est réservée aux bâtiments législatifs dans lesquels sont jugés, décidés et écrits certains textes de lois. Un amphithéâtre à ciel-ouvert est d’ailleurs réservé pour les débats, car les habitants apprécient d’assister ou même d’intervenir lors des négociations publiques. Certains ne se gênent pas non plus pour y résoudre leurs problèmes familiaux ou de voisinage. Ici, tout le monde a le droit d’avoir sa propre opinion du moment qu’il l’exprime devant le plus grand nombre : chacun doit être fier de sa prise de position. Ce système de débat publique est d’ailleurs enseigné dès le plus jeune âge dans les écoles de la ville, et il est courant que des îles alliées demandent de l’aide aux habitants de Djomir pour statuer sur certains points critiques. Alors, la demande est proposée aux habitants qui se rassemblent et discutent longuement pour proposer leur avis sur la question posée. Les débats peuvent durer plusieurs heures à plusieurs jours pour certains sujets sensibles.

Hava est l’île de l’air. Unique, elle est située au milieu d’un phénomène météorologique particulier et fréquent, que l’on pourrait assimiler à une tornade. Régulièrement, le cyclone se forme autour des côtes, élevant les vagues et transformant l’horizon en un mur de nuages. Fort heureusement, les habitations sont épargnées : l’essentiel de l’île est situé au centre, le temps y est donc clément et les vents demeurent calmes. Bien évidemment, lorsque l’on s’approche du mur de l’œil, les conditions météorologiques deviennent extrêmes, orageuses et meurtrières. Malgré cet extérieur repoussant qui apparaît parfois, Hava est paisible, à l’image de la majorité des lyrienns qui y vivent. La tornade n’est, au final, qu’un léger défi d’Ajrov, et ses enfants s’en accommodent parfaitement.
L’agriculture n’y est pas très prolifique, mais la nature adaptative et sociale des habitants leur permet d’outrepasser ce fait. Quand le cyclone est faible, ils font importer des céréales, drupes et autres olives. Pendant la saison dure, ces matières premières seront moulues, pressées ou broyées dans des moulins à vent situés sur les côtes, afin d’en revendre une partie une fois le calme revenu.
L’argent obtenu n’est pas souvent utilisé pour créer d’immenses bâtisses rigides — exception faite des écoles et de la cité principale —. Les villes sont donc peu nombreuses, au profit de villages et autres hameaux disséminés à travers les prairies et les plateaux en hauteur. Par ailleurs, il existe des groupes qui se déplacent de communauté en communauté pour offrir leur aide en échange du gîte et du couvert. L’administration ne cherche pas à éliminer ces nomades, et laisse les résidents de Hava agir comme bon leur semble.
L’endroit le plus important de l’île est sans aucun doute la capitale, Qilgen. Ville prospère située dans les hauteurs, elle est peu dense et s’étale sur des kilomètres, ce qui peut compliquer la tâche d’éventuels bandits, mais aussi celle des gardes qui doivent parcourir de grandes distances. L’architecture y est variée, mais les tons clairs et cyan sont les bienvenus, comme si la cité se fondait dans le ciel.

Ildirim est l’île de l’électricité. Si un lyrienn cherche à parler son insomnie, il utilisera probablement, à un moment de la conversation, l’expression populaire « avoir fait un somme à Ildirim ». Si l’image est parlante, c’est parce qu’un tonnerre constant hante les nuits sombres de cette île. Les locaux dormiront pour la plupart sans problème, pour être habitués au bruit, mais les nouveaux habitants seront incapables de fermer l’œil les premières semaines.
Capricieuse, cette terre est souvent la cible de changements topographiques, aux côtes. Il arrive donc que des îlots éphémères se créent, gravitant autour d’Ildirim pendant un temps avant de s’y raccrocher. En conséquence, les habitations sont pour la plupart au centre de l’île, endroit le plus calme. Cela n’empêche pas certains incidents d’arriver, mais ils sont plus rares.
Bien situées, les villes fleurissent, souvent particulièrement renforcées contre les crises occasionnelles de Vëtëtimë. Assez ouvertes, ces cités sont un lieu prisé de certains marchands, prêts à venir de loin pour acheter ou revendre des produits divers et variés. En effet, quelques familles profitèrent des relations assez pacifiques que l’Électricité entretient avec les autres éléments pour concentrer une partie de l’économie ici, et faire d’Ildirim un endroit phare.
Les métiers pratiqués sur l’île sont divers et variés, et il n’y a pas un grand nombre de spécialités régionales. Au contraire, les reconversions sont fréquentes, ce qui n’arrange pas forcément les affaires de l’administration. Alors, afin que les choses se passent au mieux, les adultes comme les enfants sont conseillés et assistés dans leurs choix de vie.
Si l’on devait trouver une capitale à Ildirim, ce serait Ülyas, souvent surnommée l’Azurée. La foudre ne tombe jamais sur ses habitations, comme si les nombreux temples de Vëtëtimë apaisaient ses crises de colère. Moins marchande que les autres villes, elle est pourtant forte en symbole, puisque construite sur les ruines d’un village datant d’avant la séparation de l’archipel.

Djomir est l’île du métal. Sans surprise, les métaux y sont communs, et on n’y verra que rarement des habitations recouvertes de bois. Cela étant dit, pour empêcher quiconque d’aller détruire une maison d’un geste de main, les intérieurs sont généralement construits en pierre. Surtout, la garde veille au grain, et n’hésitera pas à emprisonner toute personne malintentionnée. Aucun quiproquo culturel n’est possible, en Djomir : les lois sont clairement établies dès la seconde où l’on pose son pied dans un endroit un tant soit peu habité. Ces règles vont des interdictions les plus communes à des indications sur la manière dont il faut tenir un débat, ou s’adresser à telle ou telle personne.
En constant changement, la législation du lieu est souvent partiellement réécrite — à l’exception de certains points, notamment l’intransigeance vis-à-vis des Peyin —. Chaque nouveauté est annoncée depuis le balcon du Palais de Fer par le Mjeshtër en personne, ou l’un de ses associés.
Les villes se regroupent généralement en un gigantesque réseau, à l’exception de quelques hameaux. La majorité de l’île est donc vierge, les aménagements se limitant au nécessaire, c’est-à-dire les habitations, les infrastructures essentielles à la survie, les édifices religieux et les mines. Vous ne trouverez donc pas d’autel entre deux arbres : l’essentiel de l’action se déroule en milieu urbain. L’économie y est suffisamment pérenne — notamment grâce à la production d’argenterie, les lyrienns du métal étant assez autonomes et Djomir ne manquant pas de leur offrir ce dont ils ont besoin.
Résolument sécurisé, le réseau de cités est un endroit souvent vu comme magnifique. Les couleurs de la nature y contrastent avec des gris anthracite et quelques pointes dorées. Au centre de cette perfection millimétrée se trouve le Palais de Fer. Entre prison et château, ce bâtiment gouverne la ville principale, Ejtë. Ne cherchez pas à savoir ce qui se trouve dans les salles les plus reculées de ce lieu. C’est bien l’une des règles les plus importantes de l’île.

Hava est l'île de l'air et est la plus vaste de tout l'archipel. A l'image de ses habitants, elle semble être en harmonie avec tous les éléments et l'on retrouve ainsi de nombreux éléments leur étant liés, comme le majestueux Lac d'Oxyn au nord, le petit Volcan de Aebhoph à l'ouest ou tout simplement ses gigantesque parcelles boisées et ses plaines qui recouvrent toute l'île. Ses paysages sont harmonieux et paisible, inspirant le calme et la sérénité. Il n'est d'ailleurs pas rare d'apercevoir des habitants en train de méditer devant les vues magnifiques que peut offrir l'île des airs, bercé par la légère brise qui semble souffler en permanence sur les lieux vierges d'habitations. On retrouve de nombreux villages disséminés dans les campagnes où les habitants sont reconnus pour leur convivialité, mais les hameaux étant souvent éloignés les uns des autres on peut facilement trouver des refuges pour les voyageurs sans que ces habitats ne dégradent le décor naturel. Dhasasso, la capitale de l'île, est aussi connue sous le nom de Cité Suspendue : sa particularité est d'avoir été bâtie sous une falaise abrupte, ses toits pointant non pas vers les cieux mais vers la mer en contre-bas. La rumeur coure que l'on ne peut y accéder que grâce à la maîtrise de l'air ou en volant, mais il existe bel et bien des passages souterrains par lesquels on peut s'y rendre, ces derniers étant simplement difficiles d'accès. L'architecture est aérée et spacieuse, invitant chaque visiteur à la sérénité grâce à ses courbes et ses voûtes aériennes. Cité presque multiculturelle, des aménagements ont été construits pour accueillir temporairement les Lyrienns d'autres éléments sans qu'ils ne se sentent mal à l'aise. Chaque bâtiment est pensé pour pouvoir supporter les vents parfois violents qui peuvent se lever sans que la population ne soit dérangée. On peut également noter Tholneam, seconde ville la plus peuplée de l'île connue pour son temple en l'honneur d'Ajrov, ou encore Oephagne réputée pour les couloirs d'airs traversant la ville et permettant aux habitants de s'y déplacer rapidement. Ce principe a d'ailleurs été repris dans de nombreuses villes et même à plus grande échelle, certains courants d'airs traversant l'île de part en part et permettant les échanges. .

Djomir est l'île du métal. Île avec le plus de territoires sauvages non entretenus, elle est loin de figurer comme étant une destination de plaisance. Les voyageurs peuvent parcourir plusieurs jours de marche sans parvenir à trouver la moindre habitation, l'île d'Hekur possédant le moins de métropoles de tout l'archipel. En effet, les lyrienns du métal préfèrent généralement se regrouper en petit villages ou hameaux éparpillés ci et là. L'île possède néanmoins de nombreuses clairières d'où sont extraits des métaux rares et précieux. On dit d'ailleurs que Djomir est la source de tous les trésors, l'endroit d'où seraient issus toutes les richesses qui se déversent désormais dans le monde. L'île n'est traversée que par un unique fleuve, appelé Geyrin, et d'où découlent toutes les rivières pour abreuver les cités. L'architecture des villes est toujours la droite, stricte, épurée, avec des angles durs sans fioriture, à l'image des habitants de Djomir. Chacune des grandes cités met en l'honneur l'un des métaux principaux. On retrouve ainsi Veltorm, le cité de l'or, Lundar la ville du cuivre, Hlymrek la métrople de l'argent, Dalalond l'adoratrice du fer et Fyllarloek, la capitale qui honore le platine. La capitale regroupe toutes les structures administratives et économiques, et est connue pour son immense place centrale où sont exposés les statues des lyrienns de métal les plus prestigieux. Si l'on y trouve peu de lieux de loisirs, elle est réputée pour ses nombreux musés d'Histoire et ses centres culturels ainsi que pour ses salons de débats. Fyllarloek possède également le surnom de ville Fantôme, à cause de la morosité qui y règne et du peu de badauds qui traînent dans les rues. C'est à Veltorm que l'on retrouve le plus de voyageurs car la cité est dite la plus ouverte, avec ses grands palais de marbres et d'or, son architecture légèrement moins abrupte et les nombreuses bijouteries qui parcourent les rues marchandes. Quand à Hlymrek, il s'agit de la cité des orateurs et des débats, et l'on retrouve notamment le plus grand palais de justice de tout l'archipel.

Ildirim est l'île de l'électricité. Les phénomènes météorologiques ayant lieux sur cette l'île sont tout bonnement imprévisibles et si l'île semble à premier abord bénéficier d'un climat plutôt clément, une tempête peut soudainement se soulever et détruire tout ce qu'il se trouve sur son passage avant de se dissiper en quelques secondes. Il est ainsi plus prudent d'habiter dans les grandes citées regroupant la majeur partie de la population, mais certains courageux ont tout de même décidé de dompter la nature capricieuse de l'île. L'île se retrouve donc avec des régions très densément peuplées, et d'autres désertiques, sans âmes qui vivent. Parmi les plus grandes villes, ont peut citer Skipmere, où s'abat continuellement un éclair éternel qui offre une source d'énergie lumineuse, ou encore Klipa qui est au cœur d'une tempête perpétuelle, offrant une armure de tonnerre à la ville dite imprenable. L'architecture d'Ildirim est dite folle, ne respectant aucune logique ni même aucune norme, les arabesques côtoyant les structures rigides. Des mauvaises langues disent ce style brouillon, mais seuls les véritables artistes sauraient véritablement apprécier ce pèle-mêle d'expressions. La capitale, Vyadrov, possède le plus grand temple en l'honneur de Vëtëtimë. Située au sud de l'île, elle bénéficie d'un climat plutôt tempéré avec des averses parfois violentes qui peuvent se déclarer sans prévenir. Les habitations de la capitale sont bâties dans un minerai particulier, qui permet
à l'électricité de circuler en permanence, permettant d'éclairer les rues de nuit. Vyadrov est la seule citée possédant un code en ce qui concerne l'architecture, le tout étant plutôt doux et arrondi, témoignant d'une douceur et d'une beauté qui se retrouve rarement sur les terres lyriennes. Il s'agit d'un centre culturel et de nombreuses festivités semblent toujours s'y dérouler.

Résultats

- 1ère place : Siruu Belhades
gains : Le métier d'architecte + 2 points de spécialité + 7 points de rp
- 2ème place : Toupinou
gains : Le métier d'architecte + 1 point de spécialité + 6 points de rp
- 3èmes places : Lexa et Davina
gains : Le métier d'architecte + 5 points de rp

Félicitation et merci à tous d'avoir participé. N'oubliez pas d'aller déclarer les gains ^^ Merci également aux votants ^^