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 [Événement] - Espionnage

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Siruu Belhades
~ Sorcier ~ Niveau III ~

~ Sorcier ~ Niveau III ~
◈ Parchemins usagés : 2337
◈ YinYanisé(e) le : 06/12/2015
Siruu Belhades
Mar 26 Mar 2019, 21:10


Crédits : image pour le jeu "Pathfinder : Kingmaker".

Siruu ne visitait plus que rarement l’ermitage dans lequel il avait passé son adolescence. S’isoler n’était plus dans l’ère du temps, et il avait un rôle à remplir. Pourtant, ce jour-là, le sorcier était venu récupérer quelques affaires. La cabane qui lui avait servi de maison n’avait que peu changé. Il laissait glisser ses doigts sur le mobilier dans une pointe de nostalgie. L’air détaché, le mage noir feuilletait son journal, qui reposait toujours sur le bureau. La surface du meuble était brûlante. Tant de temps passé à collecter des notes, à observer, à retranscrire… on pourrait penser, en regardant ces vieilles pages usées, que Siruu était devenu un grand scientifique après tant d’investissement. 
Cependant, le principal intéressé ne se voilait pas la face. Sa situation n’avait pas évolué comme il l’avait espéré et, plus il cherchait le savoir, plus sa propre bêtise le frappait. Il ne savait rien. Pour autant, le sorcier était loin d’être un ignare. Réussir à être ne serait-ce qu’accepté parmi ses semblables n’était pas une mince affaire, dans une société visant avant tout l’élite. Siruu était parti désavantager, en retard sur ses congénères. Oui, le sorcier n’en avait pas toujours été un. Il avait été, comme beaucoup, la cible d’une histoire vouée à se répéter. Ce lien trouble, entre sorcier et magicien, Sirh Juuka en avait fait les frais. C’était une histoire qu’il préférait oublier.

« C’est presque étrange de te revoir alors que je n’ai pas eu le droit à la moindre nouvelle depuis des mois. » De la surprise se dessinait sur le visage du blond. Il ne l’avait pas entendue venir, le pas de la maîtresse de maison étant toujours aussi léger.
« Essaye d’envoyer une lettre, la prochaine fois. J’aurais pu arranger l’endroit. » L’homme arbora un sourire en coin, ne prenant pas la peine de regarder en direction de sa mère adoptive. Elle ne pouvait pas le voir. « Ce n’est pas nécessaire. Je récupérais juste quelques affaires, et il y a peu de chances que je revienne mettre les pieds ici un jour. » Ce ton, cette gestuelle, tous décrivaient une seule chose : c’était la dernière fois que la banshee le croiserait. Plus de lettres, plus rien. Ne laissant pas la mélancolie poindre au fond de sa voix, elle inspira longuement. « Tu es certain de ta décision ? Je ne veux pas juger ces gens-là, mais ils vivent dans un monde à part. »
Sans cacher son exaspération, le sorcier rassemblait et pliait les feuilles volantes qui dépassaient de son carnet. « J’espère pour toi que c’est une question rhétorique. Si ce n’est pas le cas… et bien je ne connais aucun guérisseur qui pourrait soigner tes problèmes de mémoire. » Le mage noir se retint de soupirer. « Je vis là-bas depuis un moment. » Siruu était amer. Bien que n’ayant pas de grief particulier envers cette femme, il se permettait de déverser une partie de la frustration qu’il avait accumulée ces derniers mois sur elle. « Je… je vois. Je sais. Bien. » Améthyn gardait la même apparence enfantine, mais le temps lui avait offert une résilience tout autre. Ce n’était pas grave, rien ne durait jamais. On pouvait sans aucun doute affirmer que l’apôtre obscur n’était pas quelqu’un de reconnaissant. Il le savait, et ne s’en inquiétait pas.

« Tu as laissé un livre. » Malgré sa cécité, elle savait très bien où se situait chaque objet de sa maison. « Je ne pense pas. » Siruu ne prêtait plus attention aux paroles de la banshee. « Si. Sur la table de chevet. » Elle reprenait ce ton maternel, comme si rien n’avait changé. Au début peu intéressé, le blond prit la peine de regarder à l’endroit indiqué. Ce petit ouvrage noir ne lui disait rien. Peut-être était-ce un cadeau-surprise d’adieu de la part d’Améthyn, mais, pour l’avoir côtoyée pendant des années, il savait reconnaître lorsqu’elle mentait.
« Ce n’est pas à moi. » La banshee se mit à fixer Siruu. Elle avait pris l’habitude de regarder en direction du son, en supposant que les aveugles qui gardaient constamment la tête droite devaient être effrayants. Face à l’incrédulité apparente d’Améthyn, le sorcier se mit à feuilleter les pages, vierges. « Vraiment. Je ne sais pas d’où ça vient. C’est à toi. »
« Un livre ne me serait pas utile, tu t’en doutes bien. Je peux te dire qu’il traîne dans le coin depuis un petit moment. Tu as dû l’apporter et oublier qu’il était là. » La banshee semblait sincère, ce qui perturba d’autant plus son fils adoptif. Sceptique, il reposa les yeux sur les pages, épaisses et claires. On aurait pu penser qu’il s’agissait d’un papier de qualité, mais d’étranges tâches semblaient souiller l’ouvrage. Après quelques secondes, ces formes sombres se révélèrent être…
« Des mots. » Siruu parlait compulsivement, pour exprimer sa surprise. « Quoi ? » Améthyn perdait peu à peu cet air blasé, caractéristique d’une personne qui savait qu’elle serait bientôt seule. « Il y a des… des mots dessus. Le livre. » Voilà un discours peu éloquent. « Hm-hm. Ce n’est pas surprenant, si tu veux mon avis, puisque c'est... tu sais. Un livre. »

« Sirh Juuka grince des dents, devant le livre. Un fruit est arraché au petit arbre dans le jardin. Améthyn est triste, mais le cache. Le vent entre dans le cabanon, et soulève le capuchon de la fille centenaire. Il ne comprend pas. Il continue d’observer les mots de l’ouvrage. Il compare ce qu’il lit à la réalité. Il constate que ce qu’il se passe autour de lui s’écrit sur les pages. Une biche se nourrit de feuilles à vingt mètres d’ici, vers l’est.
Sirh Juuka se demande l’origine de l’artefact. Il est curieux, et se dit que ça risque d’être utile. Il est impressionné par en remarquant que les phrases inscrites sur les pages décrivent aussi son mental. Améthyn, se pince les lèvres, et ne sait pas ce qu’il est en train de faire. Elle se racle la gorge. Elle veut attirer son attention. Il garde les yeux focalisés sur ces pages. Elle lui dit... »

« Bon, qu’est-ce qu’il se passe ? » La banshee semblait impatiente. « Je… rien, de l’encre coulait et ça formait des choses étranges. » Siruu aurait pu ne pas omettre la vérité. Il n’en fit rien. « Je m’en souviens, maintenant. Je l’avais acheté il y a pas mal de temps. Tu as raison, j’ai dû l’oublier ici. »
Sa mère adoptive étant incapable de lire, elle n’aurait probablement pas rechigné à céder l’objet — même en apprenant qu’il était apparu de nulle part —. Le sorcier le savait. Cependant, une part de lui décida tout de même de garder le secret, sans réelle raison. Peut-être était-ce un signe indiquant qu’il avait complètement assimilé les coutumes des mages noirs.
Siruu fit rentrer le livre dans son sac de voyage, toujours dubitatif. Peut-être y avait-il une contrepartie, au savoir que lui offrait cet artefact. Peut-être que les effets ne duraient pas longtemps, ou étaient limités à une zone géographique précise. Tout ceci ne lui importait pas. Il verrait bien. Si tout marchait à merveille, le sorcier serait le premier à agir comme si de rien n’était. Le mystère de l’apparition du livre ? Il le rangerait dans un coin de son esprit, pour ne plus y repenser.

Fermé et caché dans un sac, l'ouvrage semblait reposer comme tous les autres, mais sa magie resta active quelques minutes de plus. Personne ne pouvait le lire, mais de nouvelles lettres s’inscrivaient une à une sur les pages.
« Sirh Juuka remercie et dit au revoir à Améthyn. Il ne la regarde pas, et se dépêche de quitter cet ermitage. Sirh Juuka est en dehors.
Erelann observe toujours, depuis le toit en chaume. Elle fait attention au moindre détail. Elle voit qu’il s’éloigne et bat des ailes pour se déplacer d’arbre en arbre. Elle se pose sur l’écorce d’un bouleau, et préserve son attention sur le sorcier.
Un faucon bérigora la voit, et la confond avec une proie. L’oiseau s’envole vers sa direction, prêt à la manger. Elle remarque l’oiseau, et esquive son assaut au dernier moment. Elle est paniquée. Le bruit de cette altercation a attiré l’attention de Sirh Juuka. Il voit l’oiseau, et discerne la figure d’Erelann sans être certain d’avoir bien vu. Elle se cache dans un trou de l’arbre aussi vite que possible. Elle est contente d’être plus petite que la fae moyenne et se réjouit d’avoir des ailes vert pâle qui lui permettent de se fondre dans le décor. Elle se dit qu’elle doit avoir effectué le travail d’observation, et se demande quel autre fae est allé déposer le livre avant elle. Elle pose une main sur son front, soulagée.
Sirh Juuka s’éloigne, en sifflotant. Il suppose qu’il a halluciné. »


1469 mots. J'avais confondu les dates limite de l'Event de l'économie avec celle de celui-ci x). Merci, en tout cas !
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Mar 26 Mar 2019, 22:16

[Événement] - Espionnage  - Page 2 1y5y
Espionnage


« Jaal’Akim, qu’est ce que tu fais là ? ». Mya Sönk fixait l’homme d’un air préoccupé, regardant autour d’elle, comme si elle voulait être certaine que personne ne pourrait les voir. Le brun semblait posé, dénué de tout complexe. Le passé ne pouvait, de toute façon, pas être changé. Mya avait eu beau cacher son infidélité à son mari, il savait plus que personne qu’aucun secret ne pouvait le demeurer éternellement. Et puis, il y avait autre chose, une chose qui avait grandi au fil du temps : sa fille. Il s’avança, la tête haute. Il n’avait pas à avoir peur. Il avait beau être le chef de la rébellion, il doutait très sérieusement que quiconque sur l’île de l’eau irait le dénoncer. Il avait prié, il avait retourné le problème dans tous les sens, il avait attendu un signe qu’il avait finalement eu. L’ancien Réprouvé souhaitait simplement prévenir la femme qu’il avait aimé – qu’il aimait sans doute encore – de ce qu’il comptait faire. Il ne supportait pas l’idée qu’elle fût prise au dépourvu. Sans doute arrivait-elle à faire fondre son côté pragmatique. Il lui sourit, presque amusée de son trouble. « Je viens te faire une offre, Mya. Je sais que tu la refuseras pour toi mais elle ne te concerne pas uniquement. ». « Viens par là… » fit la jeune femme en entraînant le Lyrienn de la Terre dans un cul de sac. La proximité soudaine de leurs deux corps créa un silence qui la gêna. Lui était honnête depuis bien longtemps. Il n’avait rien à se reprocher. Devait-il s’accuser d’avoir succombé à l’amour ? Elle ne l’avait pas repoussé, jamais. Pour être honnête, il se fichait du fait qu’elle soit mariée. Il l’avait séduite, autant qu’elle l’avait séduit. C’était bien malheureux pour l’homme qui avait été trompé à plusieurs reprises mais, d’une façon purement objective, il n’avait jamais été prêt à se priver de quelque chose de fondamentalement bénéfique. « Mya. » murmura-t-il. « Le fait de te cacher rend cet échange d’autant plus suspect. Je pourrais être un ami d’enfance, un homme que ton mari ne connait pas, un passant qui demande son chemin. ». Il sourit un peu tristement. Il aurait aimé qu’elle quitte son foyer, qu’elle préfère ses bras à lui. Malgré l’émotivité de Mya, malgré son élément, elle avait toujours résisté. Sans doute aimait-elle les deux hommes, préférant l’institution du mariage à une aventure qui avait cessée depuis longtemps. Il n’aurait pu mener à bien la rébellion en continuant à entretenir une relation. « Qu’importe. Je vais marcher sur l’île d’Aeden aujourd’hui. Je prendrais le trône de la Reine de Glace. J’ai tout orchestré pour que les Lyrienns qui lui sont fidèles ne puissent intervenir. Les Ætheri sont avec moi. ». « Non Jaal ! Tu ne peux pas faire ça… Et s’ils te… s’ils te tuaient ? ». Elle était affolée, ne réussissant pas à s’exprimer correctement. Il lui prit les deux mains, patiemment. Ils étaient si différents. « Je vais prendre le trône, Mya. Je ne me ferai pas tuer. Cependant, si ça devait être le cas, ce serait simplement le signe que les Dieux ne l’entendent pas de cette oreille, que je ne suis pas l’élu. ». Il marqua une légère pause, lui coupant la parole lorsqu’elle essaya de formuler ses pensées. « Mon offre est la suivante : je te laisse libre de me suivre ou non, de devenir la Reine des Lyrienns si tu le souhaites. Il en est de même pour Cramique. Elle est ma fille. En ce qui la concerne, je ne suis pas sûr de te laisser le choix sur le long terme. Sa place est à mes côtés. Je pourrai lui offrir plus que ton époux. Tu sais, comme moi, qu’elle finira par quitter cette île, de plus. Elle n’est pas comme vous. Je veux qu’elle sache que je suis son père et si tu ne lui dis pas, je le ferai. ». « Tu ne peux pas, Jaal’Akim ! ». Il l’aimait mais elle avait tort sur ce point. « Je suis un ancien Réprouvé, Mya. Pour moi, rien n’est plus important que la famille. Nous ne sommes pas mariés et je te laisse le choix. Seulement, Cramique est ma fille et il est temps qu’elle le sache. Tu n’es pas la seule à pouvoir régir sa vie. Réfléchis à tout ça. Je reviendrais plus tard pour connaître ta réponse. ».

~


Les préparatifs avaient été exécutés avec minutie. Cela faisait des années qu’il attendait ce moment. L’information sur la disparition de Gabriela avait été vérifiée. Peut-être était-ce un piège mais le Lyrienn de la Terre était prêt à courir le risque. Contrairement à sa visite chez Mya Sönk, il était très loin d’être seul en entrant sur l’île d’Aeden. Il ne voulait pas de bataille, il ne voulait pas de sang. Il s’y était préparé mais il souhaitait que les choses se passent dans le calme. Escorté de soldats et de mages surentraînés, il avançait lentement vers le palais. Il voulait que tous le voient. C’était la première fois depuis longtemps qu’il marchait ainsi sur un territoire de l’Archipel autre que l’Île abritant ses troupes. Les autres Lyrienns écartaient la population, calmaient les menaces. Jaal’Akim restait impassible. Il se fichait des insultes à son égard qui fusaient des appuis de la Reine. Il savait que son règne annoncerait un semblant de paix, la fin des hostilités globales et, surtout, annihilerait la tyrannie de la précédente Souveraine. Il se fit ouvrir la porte du palais. Les choses semblaient faciles mais, en réalité, le plus gros de la rébellion se trouvait sur les côtes de Qar. Le futur Roi avait fait en sorte d’immobiliser ses ennemis avant qu’ils ne puissent prendre conscience de ce qu’il s’apprêtait à faire. Tous l’attendaient dans un affrontement direct. Ils s’étaient tous trompés.

Jaal’Akim grimpa les marches menant à la salle du trône. La couronne attendait, rangée sur une étagère, comme si celle-ci était à l’abandon depuis bien longtemps. Ainsi, les rumeurs étaient vraies. Gabriela avait péri. Il doutait qu’elle aurait pu simplement partir sans rien dire ; pas une femme aussi hautaine et glaciale. Qui l’avait tuée ? Il l’ignorait. Il devrait mener l’enquête. Pour l’heure, il devait apparaître sur le balcon. Il posa l’objet sur le sommet de son crâne sans plus de cérémonie et marcha d’un pas ferme vers la porte-fenêtre qu’il ouvrit. La vue était magnifique. Il s’approcha de la balustrade et posa ses mains sur cette dernière, des mains de travailleur, rudes et assurées. « Pour la gloire d’Aeden. » commença-t-il, avant de rajouter : « Pour la Gloire de Tokë ! ». Jaal’Akim sentit quelque chose d’indescriptible l’habiter, comme si une force naissait à l’intérieur de lui. La couronne qu’il avait hissé sur le sommet de son crâne venait de changer d’apparence. Tout se métamorphosa, petit à petit, comme si un rayon d’énergie s’était mis à courir sur le paysage. Des éléments d’Aeden, qui autrefois représentaient la Glace, se muèrent pour incarner la Terre. Le palais, lisse, droit et sévère, se transforma en un trésor ouvragé, alliant plusieurs matériaux. Il prit une apparence solide, large et rassurante. Jaal’Akim fut rassuré. Les Dieux ne l’avaient pas abandonné. Il ne s’attarda néanmoins pas sur le balcon. Il n’était pas un homme de parade. Il était un homme d’action. Seuls les actes comptaient à ses yeux. Et puis, il avait quelque chose à régler.

Lorsqu’il fut de nouveau dans la salle du trône, il fixa une étagère avec insistance. « Pourquoi est-ce que vous me suivez depuis tout à l’heure ? » demanda-t-il sans paraître particulièrement agacé ou apeuré. Thalie leva les yeux vers lui. Elle pensait qu’il n’avait pas senti sa présence. Il faut dire que le hasard avait mené la Fae dans un couronnement. Elle ne l’avait pas prévu. Peut-être serait-ce positif pour l’avenir, après tout ? Elle sauta de l’étagère, prenant une taille humaine standard. « Je n’ai rien contre vous… et il me semble que des félicitations s’imposent. ». « Merci mais que faites-vous là si ce n’est pas moi qui vous intéresse ? Vous étiez sur Su tout à l’heure. Maintenant ici. Pourquoi ? ». Il n'était pas un homme violent. Il attendait, avant tout, des explications. Une fois qu'il les aurait, il prendrait une décision. « Je m’efforce d’aider les Anges d’une manière quelque peu… originale. ». Elle l’avait déjà remarqué auparavant mais il était impressionnant, encore plus maintenant que ses yeux noisette étaient posés sur elle. Elle tourna le regard vers le livre qu’elle tenait à la main. « Peut-être pourrai-je vous expliquer le projet, s’il vous intéresse. Néanmoins, je dois vous avertir que nous ne sommes pas seuls… ». En effet, une enfant se trouvait là, les fixant tous les deux d'un air un peu perdu. Néanmoins, elle dégageait une puissance sans doute supérieure à celle du nouveau Roi.

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