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 [XXXII | RP dirigé] Où es-tu petit bateau [Solo]

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Dim 16 Déc 2018, 00:05

Catégorie de quête :RP Dirigé
Partenaire(s) : Aucun
Intrigue/Objectif : Votre personnage reçoit un parchemin lui indiquant quelques instructions. De nombreux commerçants ont disparu en mer, sur différents bateaux. On lui indique le dernier emplacement du navire qui transportait des marchandises concernant la Coupe des Nations, des marchandises qui devaient être acheminées dans le lieu de votre choix puis vendues. Quand votre personnage va arriver sur le navire, il va se rendre compte que tout le monde est mort. Il faudra ramener le navire sur la terre ferme avant de recevoir d'autres instructions. Aussi, si les individus sont morts, c'est qu'ils ont été victimes d'une malédiction, qui peut aussi atteindre votre personnage. Vous êtes assez libres quand à cette dernière, si vous voulez développer ou non ^^

***


Les terres des magiciens avaient ce je ne sais quoi de paisible, je me sentais mieux depuis le début de mon séjour en cet endroit. Cette impression de ne plus avoir à me soucier de regarder derrière moi dans la crainte de voir arriver un soldat de la reine glaciale pour m'arrêter. Bien que je ne pensais pas avoir été assez imprudente dans mes actes concernant la rébellion pour obtenir une étiquette sur mon front concernant mon appartenance. Bref, le plus important était de profiter de ce moment sans stress où je profitais des marchés pour faire quelques acquisitions. J'étais assise sur un banc à regarder les passants, m'amusant à deviner leurs origines et leurs goûts en fonction du contenu de leurs sacs. Entre mes doigts je jonglais avec une pièce offerte par le maître forgeron qui m'enseigne le métier. Elle n'avait pas de valeur marchande mais était précieuse à mes yeux, un marteau sur une face et un fourneau de l'autre, deux items symbolisant notre profession. Je me perdis dans mes pensées et je fermais les yeux durant quelques secondes, les ouvrants aussitôt lorsque je sentis qu'un parchemin avait été déposés sur mes cuisses. Un regard rapide autour de moi pour voir qui était le livreur de ce message mais personne ne semblait correspondre au profil de l'emploi. Nul ne fuyait pour ne pas être vu, d'aucun était assez proche pour avoir eu le temps de déposer et s'éloigner. Je haussais les épaules, je me disais que la réponse à tout prix devenait futile et que le lire était plus judicieux.

Je déroulais le document pour le lire ligne par ligne avec attention, ce qui semblait d'abord une blague douteuse alors que l'écrit énonçait l'importance économique des navires marchands en ce temps de réjouissance et compétition qu'est la Coupe des Nations. La suite fut moins positive alors que les détails devenaient sombres, la disparition de commerçants sur de nombreux bateaux dont un qui avait pour direction Volatys afin d'y vendre sa cargaison. Était-ce un coup de chance pour eux que je sois à proximité de celui dont il est question ? Déjà que cette missive me poussait à y aller sans poser de questions, j'avais une impression que rien n'était décidé par le hasard. En finale de la missive se trouvait la dernière position connue du navire et la nécessité de le rejoindre pour s'assurer qu'il atteigne son port de destination. «Pourquoi moi ! Je pensais avoir eu ma dose de voyage en bateau pour quelques années et me voilà encore en pleine galère...» Je ne pu m'empêcher de laisser échapper un soupir de déception, moi qui voulait prendre du repos, c'était raté. J'avais beau être froide avec les gens, mon côté asocial devait être mis de côté pour aider ce bateau à rejoindre le port tel qu'il était prévu.

Mon maigre bagage dans un sac sur mon dos, je fonçais sans attendre vers la Mer du Feu Bleu. J'interpellais un homme sur son cheval pour obtenir son aide pour mieux me rendre plus vite sur la rive. De là il me resterait à trouver une petite embarcation pour atteindre ma cible. C'est ainsi qu'avec un peu de charme maladroit, de la gêne plein les joues, de la négociation hasardeuse et une statuette en moins dans mon sac me permettait d'avancer à bonne allure grâce aux quatre pattes de la monture. Prenant place derrière lui, je me tenais à ses épaules tandis qu'il lançait son cheval au galop. Le confort était loin d'être de mise mais sauver du temps valait bien quelques courbatures. Le plus tôt j'aurais résolu ce mystère de disparition et plus vite je pourrais revenir me reposer. Une fois la rive en vue, c'était un souffle de soulagement que je poussais. Tout le long du voyage j'avais la crainte qu'il n'y aurait pas la moindre embarcation à quai pour me permettre de rejoindre la zone de recherche. Un équipage avec de l'expérience sur cette mer était d'autant plus un atout pour retrouver le Vascon et sa cargaison, je croisais les doigts pour trouver le soutien dont j'avais besoin. Des navires de toutes tailles mouillaient l'ancre, il me restait juste à convaincre de soutenir ma mission...
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Dim 13 Jan 2019, 19:59


Je faisais les cent pas sur les quais, je cherchais un navire où il semblait y avoir un minimum d'activité. Preuve qu'un équipage suffisant était en mesure de faire appareiller le bâtiment pour rejoindre celui en détresse. Le problème était que je n'avais ni argent ni lettre officielle pour appuyer la cause, seulement ce parchemin sans signature qui demande de venir en aide au Vascon, ses passagers et sa cargaison qui était requise pour la fameuse Coupe des Nations. L'homme qui m'avait amené à cheval avait déjà rebroussé chemin pour reprendre sa route, son devoir était plus que largement accompli envers moi, j'étais seule avec ce fardeau. Petite et grande embarcations, je me risquais à poser la question à celui ou celle que l'on me désignait comme capitaine, la douceur était-elle vraiment ma meilleure option ? Fallait-il en venir à l'usage de la force et de la contrainte pour qu'un équipage me prenne au sérieux. Plus j'avançais sur le quai, moins il restait de possibilité de prendre la mer alors que j'accumulais les refus et les rires face à cette détresse que j'énonçais. Les réponses plus absurdes les unes que les autres.
- Le temps est beau, impossible de se perdre.
- Si il y avait des problèmes dans le secteur, on le saurait.
- Petite, c'est un sale coup que tu as reçu sur la tête, tu délires.
- Une mauvaise blague que l'on te fait, retourner jouer.

Une folle envie de refroidir leurs caractères me prenait à chaque fois mais je n'avais pas le temps ni la force de m'occuper de chacun d'eux. Outre un seul qui voit maintenant son navire piquer du nez dans les sables du port. Quelle idée bête de mettre une plaque de métal pour faire une réparation... étrange que cette matière pourtant si rigide est devenue malléable au point de tomber. «Oops ?» Il n'avait qu'à pas me prendre pour une gamine, je peux accepter un non mais pas que l'on rit de moi. Après cette satisfaction personnelle, douce façon de relâcher le stress de cette situation, je montais sur le pont d'une petite frégate. Étroite, un seul mat, coupe profilé, elle semblait propice à la vitesse et faire fit des vagues qu'elle perce de sa proue fine. «Idéal avec le temps qui file si le vent est des nôtres.» J'avais pensé à voix haute et une voix féminine derrière moi se fit entendre peu de temps après. «Il est idéal pour quoi mon bateau ? » Je me retournais aussitôt pour voir une femme aux traits délicat mais dont la stature imposait le respect. «J'ai besoin d'aide, un navire et son équipage est porté disparue sur cette mer.» Je lui tendis le parchemin en guise de preuve. «Sa marchandise doit atteindre le port de Volatys, c'est en vue de la Coupe.» Elle regardait le document comme tout ceux avant mais elle aussi n'y voyait aucun ton officiel ou source tangible à cette requête. «Pourquoi toi ? Ce genre de document aurait dû se rendre à la capitainerie la plus proche.» Je baissais la tête en soupirant. «Je sais que c'est étrange mais il m'est adressé comme vous avez pu le voir au début. Gabrielle c'est moi. » «Enchantée, moi c'est Capitaine Ilsa.»

Elle roula le parchemin et me le tendit, je pensais essuyer un autre refus mais mes yeux s’agrandirent à chacun de ses mots. «Tu as des bagages ? On lève l'ancre et on va voir toi et moi de ce qu'il en retourne.» «Je suis prête mais vous manoeuvrez ça toute seule ?» «Tu es là, tu vas suivre les ordres moussaillons et à deux ce petit bijou se navigue comme un charme. » Un sourire pour seule réponse, je suivis les consignes pour le départ et peu de temps après nous voguions vers la dernière position connue de notre cible. Beaucoup de temps c'était écoulé depuis que j'avais reçu cette missive, à quel point en avions nous encore de disponible pour les retrouver. Le bateau avait sûrement continué d'avancer sans que nous sachions dans quelle direction il avait poursuivi sa route. Heureusement le ciel était dégagé, le seul ombrage venait des îles ça et là qui ornait le paysage à la façon des nuages. Ma capitaine savait comment prendre le vent et en tirer profit, usant d'un angle dans sa voile pour une poussée maximale. Les cordages tendus au possible, elle connaissait les limites de son navire et un point grossissait à l'horizon. Un bateau à la voilure à peine ouverte semblait tourner en rond sur sa position.

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Dim 13 Jan 2019, 20:48


Un soulagement de voir que le Vascon était pas très loin de sa dernière position mais d'un côté, comment était-il possible de connaître où il se trouve et ne pas venir en aide. Comme si l'information était venu des airs et qu'il fallait une équipe en mer pour prendre en charge le sauvetage. Une question qui n'aurait peut-être jamais de réponse et pour le moment, il fallait se concentrer pour monter à bord. Ilsa tournait la barre pour suivre le cercle constant tracé par le navire dû à son ancre qui avait été descendu. Peut-être dans un acte désespéré d'aider leur situation alors qu'aucun mouvement sur le pont n'était perceptible malgré leur approche. «Gabrielle, essai de lancer ce cordage muni d'un crochet, tu dois monter à bord. Ensuite je vais m'assurer de le faire tenir sur mon bateau pour que je puisse te rejoindre.» Un oui de la tête pour réponse de ma part, il me fallu quatre essais pour atteindre ma cible alors que chaque fois avant je lançais dans l'eau. L'effort de le ramener à moi et de recommencer n'avait rien de facile. Un travail qui n'avait pas de similitude avec mon marteau de forgeron. «Bravo !» Tel était l'exclamation derrière moi quand j'ai réussi, un mot qui était parvenu à me faire sourire car un encouragement ne pouvait qu'être le bienvenu.

Ilsa me rejoignit pour nous amarrer solidement et nous rapprocher pour rendre aisé la transition. Je montais à bord du navire de commerce pour m'arrêter sur le pont, stupéfaite. Je me mis à marcher et dénombrer les corps qui jonchaient le sol mais sans la moindre trace de sang. Comme si la mort avait été subite, sans blessure apparente et n'épargnant personne. Ce qui semblait être un jeune garçon était à côté de l'endroit pour lâcher l'ancre tandis que le corps étendu de celui qui devait être le timonier était devant sa barre, une main toujours accrochée, ce qui avait provoqué le virage constant autour de l'axe de l'ancre. J'ouvrais la porte de la cabine du capitaine, le trouvant assis derrière son bureau, visage sur les cartes maritimes, inerte comme tout les autres. Dans ma tête une panoplies de possibilités tourbillonnaient, je cherchais à comprendre comment c'était possible de tuer tout le monde sans laisser de traces. La plus grande question restait le pourquoi de cet acte barbare. Je poursuivais mon exploration à la cale, une série de petites cabine à l'arrière pour les commerçants qui finançaient le voyage. Vers l'avant, les hamacs de l'équipage et la cuisine avec sa réserve de nourriture encore pleine. «Un empoisonnement peut-être ? » Au-dessus de moi résonnaient des bruits de pas, la Capitaine qui venait de monter à bord à son tour. Je lui criais que j'étais en bas par le biais de l'écoutille, le son de ses bottes m'indiquait qu'elle avait compris. J'attendais sa présence à mes côtés avant d'aller plus loin, il ne restait que la cargaison à l'étage inférieure à vérifier. Rien d'anormal, pas d'odeur, pas de traces de luttes ou de départ précipité. «Tout ces morts, comme si en une fraction de secondes on leurs avaient arrachés la vie à chacun d'eux. » «Une malédiction, je ne vois que ça.»

Un frisson me traversait l'échine. La malédiction pouvait tout aussi bien avoir raison de nous avant même que nous ayons le temps de comprendre. J'hésitais entre la fuite et la curiosité, ce fut Ilsa qui tirait la corde de la trappe menant à la marchandise qui me poussait à poursuivre la recherche. Je passais la première, munie d'une torche, celle-ci provoquait un jeu d'ombre qui n'inspirait pas confiance mais je me répétais sans cesse que ce n'était que la flamme qui vacille. La cargaison était encore bien là, retenue par les filets et les cordages. Des caissons de bois empiler pour en avoir le plus possible, équilibrant à gauche et à droite pour un navire plus stable. Tout comme il faut frapper une lame au bon endroit en lui donnant sa forme, le rangement était la clé dans la navigation. Vers l'avant, je vis alors l'ombre de pieds, un autre corps. «Regarde, un autre ici. Le seul à ce niveau, il n'a pas été épargné. » Je m'avançais, suivi de ma collègue, peu à peu ma torche révélait la dépouille complète puis dans ses mains un coffre ouvert. Les lueurs de la flamme en illumine le contenu et ma curiosité me pousse a m'approcher pour voir ce qui y brille. Il se referma dans un claquement soudain alors que j'étirais la main pour y toucher. «NON !»
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Dim 13 Jan 2019, 21:59


Une main sur la poitrine alors que mon coeur avait fait trois tours, autant par ce cri que le coffre qui se referme sans y toucher. «Que c'est-il passé ?» La rouquine s'avançait vers moi pour me prendre une main dans la sienne et mon visage dans l'autre. «Je sais bouger les objets, je connais la légende de ce coffre et il ne faut pas y toucher. » J'y comprenais encore moins la raison de tout ceci et ça se lisait dans mes yeux. «Les vieux récits de marins ne sont pas toujours des histoires inventés. La magie et les malédictions sont bien réelles. Ce crâne est maudit et quiconque le touche en paye le prix. Tenir le coffre est sans danger, mais son contenu provoque ce que tu as vu sur ce navire.» Je prenais une grande respiration et mes esprits par la même occasion. Un oui de la tête pour indiquer que j'avais compris, je faisait signe de retourner sur le pont pour trouver le moyen de le mener à bon port. Je prenais les devant pour aller réduire la voilure, il valait mieux faire d'abord arrêter le bateau pour lever l'ancre et remettre la barre bien droite.

Un bruit d'impact sur l'eau me fit tourner la tête, Ilsa se tenait devant la garde avec un air satisfait. «Il ne causera plus de problème, jusqu'à ce qu'un imbécile le trouve et l'ouvre à nouveau. Il mourra sous l'eau avec son trésor maudit. » «Tu ne passes pas par quatre chemins toi...» «Pas envie qu'une fois rendu, un nigaud l'ouvre et nous récompense mortellement pour notre labeur. » La bateau ne bougeait plus, bercé par les vagues plutôt que la force du vent. Cette stabilité nous avait permis de prendre les corps, un à un, travail d'équipe pour les déposer dans la cabine du pont inférieur. Ils méritaient le respect de leur dépouille et ce serait aux autorités portuaire de contacter qui de droit pour chacun d'eux. J'étais en confiance qu'Ilsa avait raison et que nous avions aucun risque à rester à bord, pourtant je ne la connaissais que depuis quelques heures. Une fois la Vascon nettoyé de ce carnage maudit, il était temps de remonter l'ancre pour le libérer de cette contrainte et reprendre la trajectoire prévue. La capitaine avait amarré son navire à l'arrière de celui-ci, permettant qu'elle tienne la barre du plus gros pour en faire la livraison et revenir à son port d'attache par la suite.

Jeu de voilure dont je m'occupais selon les consignes qu'elle me donnaient, exténuée alors qu'il fallait monter et descendre ces grandes toiles au gré du vent. Je puisais à la limite de mes forces, jusqu'à m'endormir sur le bord du bastingage tandis qu'à l'horizon se dessinait l'ombrage de la destination prévue. Ce fut une main sur mon épaule et un murmure à mon oreille qui me tirait de ma sieste, Ilsa venait de jeter l'ancre et les autorités du port venaient avec la passerelle pour un rapport de la situation à bord. «À toi d'expliquer la situation, c'est ton parchemin qui nous a menés ici.» Je la regardais avec un certain doute dans les yeux. «Mademoiselle, on m'informe que vous êtes responsable de ce sauvetage ? Que c'est-il passé ? Pourquoi sont-ils morts ? La cargaison est-elle complète ? » Je levais ma main en guise d'arrêt. «Une chose à la fois je vous pris, je vais oublier la moitié de ce que vous dites à ce rythme.» «Pardon mademoiselle, c'est que ce navire est porté disparu depuis des jours, c'est une surprise que de le voir accoster dans ces conditions.» «Pour l'avoir mené ici, c'est la Capitaine ici présente qu'il faut remercier, elle navigue avec brio, peu importe l'embarcation. Oui c'est moi qui ai guidé jusqu'au Vascon qui était en perdition, faute d'équipage à bord.» Il m'interrompit aussitôt. «Comment !» Je soupirais par son impatience et il serrait les lèvres aussitôt pour me laisser continuer. «Un parchemin a été déposé sur mes genoux, il était écrit de sauver ce navire et quel était sa dernière position connue, c'est tout. J'ai suivi sans poser de questions, trouver les moyens de me rendre au port puis à bord. Voilà. » Bien sûr, il voulait voir le dit document mais je répondis que je l'avais brûlé pour me réchauffer. Ce fut ensuite les explication pour la cause des décès tandis que les corps passaient un à un à côté de nous pour être menés à terre. «Une malédiction dont l'objet n'était plus sur le navire à notre arrivé. seulement un coffre vide sur le bord du bastingage. Le roulis du navire sûrement. »

L'officier semblait sceptique, il se retournait aussitôt vers Ilsa qui répondit exactement la même chose à l'homme qui n'eut d'autres choix que de tourner les talons et aller faire son rapport. L'important était que la marchandise était là et il avait un boulot monstre à contacter toute les familles maintenant. J'hésitais à aller à terre ou retourner à bord de la frégate. La capitaine vint m'offrir de passer la nuit dans l'auberge ici avant de prendre une décision au lever du jour, la meilleure solution sans le moindre doute.
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[XXXII | RP dirigé] Où es-tu petit bateau [Solo]

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