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 L'autre Manoir - (Pv Sélénette)

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Dim 18 Sep 2016, 01:07


Les rayons subtils du soleil commençaient à briller à l’horizon. Le manoir prenait vie, et bientôt tous ses habitant se réveillerait. Tous sauf celui déjà bien éveiller, assit au bord de sa fenêtre qui guetter les premières lueurs. Weï avait des tendances insomniaque ces temps-ci. Il penser trop, as beaucoup de chose. Des choses qu’il avait entendus. Des choses qu’il n’était pas supposé savoir. Des choses qu’il voulait comprendre. Il était le seul ici a ne plus avoir personne. Pas une famille, ni un frère, ni une sœur et encore moins des parents. Bien sur tous étaient recueilli pour avoir une vie « meilleur », personne ne leurs avait cacher, donc quelque par aucun d’eux n’avaient de famille as part celle du Manoir, mais pour lui c’était plus une réalité que pour les autres. Le garçon âgé de huit ans se sentait seul. Sur tout que ces temps-ci il faisait des crises de colères de plus en plus fréquente et incontrôlé. Des crises qui forcer ses précepteurs à l’isolé des autres. A l’enfermer jusqu’à ce qu’il se calme, comme si c’était la vraie solution au problème. Il ignoré pourquoi il était en colère. Il ignoré pourquoi d’un seul coup il s’enflammer laissant la rage incendier tout son être. Peut-être que ça avait quelque chose à voir avec sa communion. Après tout ça ne faisait pas longtemps qu’il avait trouvé son élément et avant sa communion il avait failli détruire une partie de la maison en explosant de rage, ses pouvoir avec lui. Heureusement ses précepteurs étaient bien plus puissants que lui et avait vite géré la situation, rien de grave n’était arriver, seulement le fait de savoir qu’il était un danger pour lui-même et pour les autres. Il en avait marre d’être écarté des activités de groupes. Il en avait marre d’être tout seul. Il avait des entrainements spéciaux pour apprendre à méditer et ce calmer, mais il détestait ça. Il devait apprendre a contrôlé son élément et il aimait ça, mais recommencer cent fois le même exercice ça n’avait rien d’amusant. Il désirait juste pour une fois faire quelque chose de drôle. Quelque chose qui en valait la peine.

Quand on frappa à sa porte, il soupira, s’écartant de la fenêtre avant que la dame de chambre ne rentre. « Bonjour Monsieur. » « Bonjour Nana. » Elle ne fit pas attention à lui. La vieille servante se contenta comme tous les jours de faire le lit du garçon et de ranger un peu la chambre, avant de lui apporter de quoi faire sa toilette, tout en faisant la discutions machinalement. La même depuis toujours. « Monsieur à bien dormis ? », « Les draps sont-ils confortable pour Monsieur ? »,  « Les vêtements de Monsieur sont sur la chaise. » Blablablah Weï répondait vaguement, levant les yeux au ciel quand elle ne le regardé pas. Il était peut-être un enfant, mais il n’était pas stupide. Tout était si dénuer d’émotion ici. Les gens, le décor, l’atmosphère. Tout était triste. Parfois, quand il était seul, Weï se demander si les autres enfants vivaient de la même façon. Si on les traitait avec ce même détachement. Là-bas, quelque part dans ce Manoir où se trouver les six autres. Ceux qui ne connaissaient pas leur existence, leurs rivaux. Ceux qui vivaient dans l’insouciance et la naïveté. Le garçon avait tendance à les envié. Peut-être que leur vie étaie tinté de couleurs, contrairement à la leur.

Habiller de son pantalon et de sa chemise, coiffer et laver, le petit élémental savait qu’une fois après manger il devrait aller dans la salle noire de méditation et cela l’angoisser. Il ne voulait pas se retrouver là. C’était une forme de punition, parce que hier il avait encore piqué une colère et bruler un meuble. C’était injuste. Alors, avant que Nana ne revienne, il se glissa hors de sa chambre et longea les couloirs. Il ne voulait pas qu’on le trouve, il voulait qu’on le laisse tranquille. Il était fatigué, il en avait marre. Un enfant ça avait besoin de s’évadé de temps en temps, et Weï manquer cruellement de plaisir. C’était un enfant seul et malheureux, profondément en colère contre sa propre existence. Quand il commença à entendre des voix l’appeler dans les couloirs, il paniqua. Entrant dans la première commode qu’il trouva, il ferma la porte derrière lui. Recroqueviller sur lui-même, il attendit dans le noir et le silence. Combien de temps ? Longtemps. Il attendit, attendit jusqu’à ce que plus aucun son mise à part le bruit de sa respiration ne parvienne à ses oreilles. Lentement, il ouvrit la porte du meuble, mais alors qu’il s’attendit à voir la pièce sombre et froide, il en fut tout autre. « Qu’est-ce que… ? » Quand il sortit il marcha dans… l’herbe. Il avait la sensation d’être entré dans un rêve, mais tout ce qu’il toucher semblait bien réelle, comme le fait qu’il respiré par exemple, et que le soleil tapé la peau de son visage. Levant les yeux il observa les aurores boréales, par tout. C’était beau, merveilleux même. Weï ignoré s’il c’était endormit ou non, et puis soudain il imagina qu’il avait peut-être franchit la porte secrète menant au second coté du Manoir, celui où il n’était pas supposé aller, celui où tout était « bon ». Marchant doucement, il observa attentivement son environnement. C’était un jardin, il était immense, et plus loin il y avait un bâtiment. C’était peut-être là. Alors, le garçon s’y dirigea, confus, incertain, mais pour une fois ça n’était pas grave, parce que personne ne viendrait le trouver ici, et rien que pour cela il se sentit plus léger.

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Lun 17 Oct 2016, 16:10

« Hum... ». Séléna soupira, fixant le parc par sa fenêtre. Les cours l'ennuyaient profondément. Elle se fichait bien de savoir qu'un homme devait toujours précéder une femme dans un escalier, au cas où cette dernière tomberait. Elle se fichait bien de savoir danser la valse ou d'étudier scrupuleusement quels couverts se plaçaient de quel côté de l'assiette et dans quel ordre. Ce qu'elle souhaitait, au plus profond de son âme, c'était sortir dehors et courir dans l'herbe du jardin. Lorsqu'elle était plus petite, les domestiques la laissaient faire, un peu trop au goût de certains. Elle devait « apprendre ». Pourtant, quoi qu'on en dise, celle qu'elle ne connaissait pas, la Déesse, n'avait jamais étudié ce genre de règles à son âge. Tous les principes, ceux des Grands de ce Monde, elle les avait assimilés bien plus tard lorsqu'elle avait percé les secrets de sa lignée. L'enfant soupira de nouveau, fixant les quelques jeux qu'elle possédait. Certains des garçons et des filles qui étaient ici avec elle adoraient par dessus tout exceller dans l'apprentissage qui leur était donné. Ce n'était pas son cas. Elle n'était pas un cancre, elle n'était simplement pas intéressée. Elle rêvait de liberté et, surtout, elle était peut-être trop jeune pour ce monde là. Elle avait décidé que lorsqu'elle serait grande, elle ne dépendrait de personne, qu'elle partirait d'ici pour vivre de grandes aventures et que nul être ne pourrait se placer au travers de sa route. Souvent, il lui arrivait de jouer seule. Parfois, elle était une capitaine pirate, d'autres fois une grande dame de la haute société, mais, à dire vrai, elle préférait jouer à la hors la loi. Elle ne l'aurait jamais avoué, parce que ce n'était « pas bien » mais elle aimait gouverner, s'autoproclamer reine d'une pègre qu'elle ne faisait qu'imaginer. Séléna aimait lire mais pas ce que les autres souhaitaient qu'elle lise. Les images de paysages merveilleux lui plaisaient et celles des horizons ténébreuses ne lui faisaient pas peur ; au contraire, elles la fascinaient.

« Bon... » fit-elle en décidant qu'il était temps de jouer à cache-cache et de trouver enfin la solution à l'énigme du Manoir. Elle avait réuni quelques objets avec elle, bien résolue à faire mouche. Cela faisait plusieurs fois qu'elle remarquait que ce qu'elle cachait ne réapparaissait pas toujours. Au début, elle avait suspecté les domestiques mais avait fait plusieurs tests. En restant plantée fixement devant une cachette, elle avait constaté que la disparition se produisait quand même, parfois. Le mystère était trop délicieux pour qu'elle ne s'y penche pas un peu plus. Normalement, elle devait se rendre à sa prochaine leçon mais, concrètement, elle n'avait pas envie d'y aller. Sa préceptrice risquait de la punir, encore, mais tant pis. C'est ainsi, donc, que la petite Rehla se mit à déambuler dans les couloirs du Manoir, ne demandant pas son reste. Elle savait précisément par où elle devrait passer pour que personne ne la voit et s'y employa dans le silence le plus absolu ; du moins, elle fit du mieux qu'elle put. Après plusieurs minutes, une pensée lui vint. Et si tous les objets qu'elle avait perdu depuis toutes ces lunes se retrouvaient au final dans un même endroit ? Elle envisagea l'hypothèse d'une pièce secrète dans la demeure, remplie de trésors. C'était une certitude : elle ne pouvait pas être la seule à avoir perdu quelque chose. Ou peut-être que si ? Peut-être que cette pièce n'était là que pour elle, remplie de monstres et de géants ? Elle fit la moue, consciente qu'elle partait sans doute un peu loin. Pourtant, elle aimait se laisser porter par son imagination. Elle rêvait de rendre tout ce qu'elle façonnait pour de faux réel. Elle finit donc par se cacher, espérant qu'elle pourrait trouver le fin mot de cette histoire de cette manière. La première fois, elle attendit longtemps sans que rien ne se produise. Au loin, dans d'autres couloirs, elle entendait appeler son nom. Elle ne répondrait pas. C'était l'objectif du cache-cache : rester cacher silencieusement. Et puis, ce n'était pas de sa faute si les domestiques n'étaient pas si doués que ça dans la discipline, non mais !

Séléna changea de place une deuxième fois et ce fut à ce moment là que le sortilège fonctionna. Elle se retrouva accroupie devant une grande maison. Celle-ci semblait vieille, à n'en point douter. Elle se redressa lentement, dans sa petite robe blanche qui ne l'était plus vraiment à cause de sa manie de traîner n'importe où. Elle fit quelques pas, sans rien dire, ses yeux observant un ciel étonnant, de ceux qu'elle n'avait jamais encore contemplé. Ce fut en baissant ses mires sur une forme humanoïde qu'elle se rendit compte qu'elle n'était pas seule. Voyant le garçon, elle replaça correctement sa robe, leva le menton et le regarda avant de signaler : « Que venez-vous faire ici, dans mon royaume ? ». Bon, elle racontait n'importe quoi mais, ça, il n'avait pas besoin de le savoir.

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Mer 19 Oct 2016, 00:36


Un pied devant l’autre. Weï réalisa enfin qu’il avait oublié de mettre ses chaussures. L’herbe fraiche caressant sa peau nue. Fixant ses orteils, il sourit comme un idiot, à cette nouvelle sensation. C’était certainement stupide, mais il n’avait jamais marché pieds nue dehors avant. Pour l’enfant cela avais un gout de nouveauté, de liberté et sur tout d’excitation. Un instant il oublia tout le reste. Concentré sur le seul fait qu’il était dehors, sans personne pour le surveiller, sans cette ombre autour de lui. Si jeune, il était bercé de ténèbres. L’innocence et la naïveté de son âge aurait souhaité vivre des rêves, jouer et cherchait simplement à être heureux. Seulement il n’en avait jamais eu l’occasion. Il ne pouvait pas, par ce qu’on ne voulait pas que ce soit le cas. Tout ça n’était que perte de temps. Ses précepteurs ignoré le sens même de l’amusement. Ils désiraient de lui qu’il s’élève, qu’il devienne un prince, ou quelque chose comme ça. Les autres enfants semblaient toujours suivre cette ligne, comme s’il n’existé rien d’autre. Weï, lui, voulais voir au moins une fois dans sa vie quelqu’un lui sourire, lui sourire vraiment. Il était éduqué pour être mauvais, mais l’ombre aussi avait besoin de lumière, sinon son existence même était remise en question. C’était le cas du petit garçon. Il avait besoin de connaître la vie pour apprécier la mort. Le bruit, pour aimer le silence. La compagnie, pour préférer la solitude. « Que venez-vous faire ici, dans mon royaume ? » Son regard se détacha rapidement de ses pieds pour les levés vers la voix qui l’avais surpris. Les yeux écarquiller, il fixa l’apparition devant lui. Juste a quelque mètre, une petite fille, son âge sinon moins. Des cheveux blonds, une robe blanche, ou ce qui devait être blanc. Confus, et soudainement intimidé par cette nouvelle présence, Weï sentit sa peau chauffer. Son cou devenir rouge. Il était embarrassé d’avoir était pris à jouer avec ses orteils comme un imbécile. Si un de ses précepteurs avait était là, on l’aurait puni. Seulement, il se rappela qu’il n’était plu dans le manoir, et que cette fille ne devait pas pouvoir lui faire beaucoup de mal.

En réalisant cela, il se redressa, essayant de reprendre confiance en lui. Ses yeux dorés ce posèrent un instant sur la maison, loin derrière la fille, et il se demanda si elle était une des filles qui vivait là. « Tu vis ici ? » Il reconcentra son attention sur elle, et sembla frappé par une réalité déconcertante. Elle avait parlé de royaume ? C’était une princesse ? Une reine ? On lui avait appris à s’adresser à une souveraine, enfaite il avait des cours de bienséance, ennuyeux à mourir. Les usages et conduites qu’il devait avoir devant une Dame ou un homme de son rang, ou d’un rang supérieur au sien. Ce qui vue son cas, était rapidement fais. Dans la réalité des faits, Weï n’avais jamais rencontré personne d’autre que les gens du Manoir, alors il n’avait pas pensé qu’une petite fille pouvait être reine. « Je m’excuse ma Dame, j’ignorais rentrer sûr vos terres. » De bien grand mots, pour un si petit homme. Il avait pris un ton neutre, et calme. Il mettait maladroitement en pratique ce qu’on lui avait inculqué. Il était instruit, il devrait bien s’en sortir, non ? S’approchant un peut, il se rendit compte qu’il n’était que légèrement plus grand qu’elle. Il observa ses vêtements, de belle facture, mais sale. C’était étrange pour une princesse. De toute façon, lui n’avais pas de chaussures, alors… « Je suis le prince Shen Khan. » Un prince, oui, il pouvait très bien être un prince. « Weï Shen Khan. » Il se mit devant elle, juste assez pour respecter son espace personnel, mais montré qu’il était intéressé à faire la conversation. Il attendit qu’elle se présente, et ne lui tende la main, pour l'autorisé à la baiser. Du moins, si elle décidé de le faire. On lui avait dit que si une femme n’accepte pas sa personne, refusait sa compagnie, elle lui ferait comprendre de manière subtile. Ne pas lui présenté sa main serait un signe évidant de son désintérêt. Il accepterais avec dignité, il y était préparé, par ce que c'était ce qu'on lui avait appris. Un homme digne était un homme fort. Ou... quelque chose comme çq.

Dans l’attente, cela ne l’empêcha pas de faire la conversation. « Je suis honoré de faire vôtre connaissance. Est-ce votre château, là-bas ? » Il montra d’un signe de tête, la maison derrière elle, sachant qu’il était extrêmement mal poli de pointé du doigts quelqu’un, ou quelque chose relaté à la propriété de cette personne. Ça pouvait être perçu comme une insulte, et perdu ici, Weï n’avais pas envie de mettre en colère cette fille. Surtout si elle était de la famille royale qui possédé les lieux. Est-ce qu’ici, du bon côté, les enfants avaient un sang supérieur ? N’étaient-ils pas orphelins ou arraché à leur famille comme eux autres ? Peut-être qu’au final il n’était même pas au bon endroit. Peut-être rêvait-il finalement… Weï fixer intensément la fille, attendant tout geste ou réponse de sa part.

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