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 La diseuse de "bonne" aventure... [feat. Mendel]

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Lun 11 Juil 2016, 23:24


Il était seul. Perdu et seul.

Marana était partie parce qu’elle avait quelque chose à faire, ils s’étaient donnés rendez-vous quelques jours plus tard, le temps pour chacun d’entre eux de faire ce qu’ils avaient à faire. La mission que Mwayer s’était donnée était simple, il devait comprendre le monde. Il avait assez vite saisis, en quelques voyages, que le monde ne s’arrêtait pas à Drosera, mais que cette dernière en était un bon exemple. Malgré cela, il voulait saisir comment fonctionnait l’appareillage politique en dehors de cette ville. Comment les pièces des plateaux de jeux bougeaient, où les gens plantaient le couteau qui les faisaient avancer d’un pas vers les trônes, qui avait le droit de changer les règles en prétextant que c’était son jeu. Il avait besoin de plus de cartes pour grandir.

Même s’il était plus vieux que la plupart des gens qu’il rencontrait, de par son ascendance alfarienne, il n’avait pas les clés pour ouvrir toutes les serrures qui attendaient devant les portes du second plateau de Drosera. Il avait envie d’amis, d’ennemis, d’un rival, d’un maître, de quelqu’un à pleurer les soirs de déprimes et de quelqu’un à qui écrire les jours de printemps. De plus, cette virée lui permettrait de découvrir autre chose, comment l’art fonctionnait. En effet, en tant qu’Alfar, il n’arrivait pas à imaginer une toile en tant que toile. Il voyait la sculpture, la peinture et tous les arts que l’on voyait figés comme l’étape qui précédait l’œuvre finale et qui n’attendait qu’un souffle pour vivre. Car c’était ça qui était beau dans l’art que faisaient les Alfars, ce qu’il y avait de grand et d’exceptionnel ce n’était pas la complexité technique, ni les couleurs, les jeux d’ombres et encore moins la précision des drapés, du moins pas uniquement. Ce qu’il y avait de grand et d’exceptionnel c’était que l’art vivait. Qu’un homme pointé du doigt se sentait coupable et qu’un homme qui pointait accusateur ou dénonciateur. C’est cette vie, ou plutôt cette non-vie qu’il avait besoin d’expérimenter. Même si au-delà de la partie esthétique, l’intérêt du souffle des alfars était bien d’utiliser leurs œuvres, de voir en eux les serviteurs dévoués et créés de toute pièces, ils n’étaient pas obligés de le faire, ils pouvaient juste les observer vivre et les faire disparaître.

Le jeune Alfar regardait d’ailleurs un petit oiseau qu’il avait dessiné sur sa main à l’encre noire et qu’il faisait virevolter autour de lui sans qu’il ne s’arrête jamais. Tout en étant amusé, ce qu’il essayait de ne pas montrer, il était fasciné, car s’il le voulait l’oiseau pouvait devenir coupant comme le manche de son pinceau. Il tua l’oiseau d’un coup de pinceau. L’oiseau gémit au sol et pendant qu’il mourrait sans plus de compassion de l’Alfar, il en dessina un dont les ailes étaient tranchantes comme jamais il n’avait dessiné quelque chose de tranchant. Il s’attarda sur les détails de ce qui couperait, sur l’inclinaison des bords des ailes et d’un geste doux il souffla dessus. De sa main sortit un oiseau qui ne manqua pas de lui couper le bord d’un doigt en s’envolant. Une goutte de sang alla pour s’éclater contre le sol, jusqu’à ce que l’Alfar la fasse s’élever dans les airs pour que l’oiseau la suive et joue avec.

              Un oiseau tranchant qui tente d’attraper le sang qu’il m’a fait couler… Marrant.

Lorsqu’il releva la tête en voyant l’oiseau s’éloigner un peu, il découvrit qu’il aurait préféré garder la tête baissée. Devant lui s’élevait des enchevêtrements de roches meurtries et bien plus coupantes que son oiseau qui disparaissait derrière un python rocheux. On aurait dit que toutes ces pierres s’étaient livrés un duel sanglant pendant des milliers d’années et que celui-ci s’était terminé il y avait quelques siècles. Il n’y avait aucun bruit, rien ne résonnait contre les murs, seul une légère nappe de brouillard qui s’épaississait de plus en plus régnait sur ce lieu. En face de Mwayer deux parois sortaient du sol avec brutalité et toisaient le jeune homme en lui susurrant qu’il n’oserait jamais y entrer. Il les regarda avec défi, tailla en pointe fine et longue la goutte de sang avec laquelle il jouait et avança d’un pas lent.

Un cri.

Un cri venait de déchirer la brume. Rarement Mwayer avait entendu de pareils cris. Parfois certains de même volume retentissaient dans l’arène de Drosera, mais en principe ces cris n’avaient pas l’arrière son d’effroi qu’il venait d’entendre. Alors que dans l’arène les gens savaient à quoi s’attendre, ici, il devina qu’il fallait s’attendre à des choses qui allaient dépasser son imagination.

             C’est ce qu’il me faut, c’est ce qui va me forger…

Même si son ton n’était pas assuré, son regard l’était, il repensait à sa mère et à la volonté qu’elle avait mise à lui apprendre combien il allait devoir être fort. En entrant Mwayer Leït était encore un enfant, en sortant, il assumerait ses cent-soixante ans et quelle que soit son apparence, il ne reculerait plus.

Il serra son pinceau et accéléra le pas. Il ne se doutait pas que ce labyrinthe de roche abritait plus qu’un cri d’effroi…

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Sam 23 Juil 2016, 02:11

Mendeln se réveilla avec un sac sur la tête. La dernière chose dont il se souvenait, c’était l’odeur de la mer du continent naturel. Il était en train de voir le prix d’une traversée avec le capitaine d’un navire, quand il crut entendre un enfant pleurait. Étrangement, il avait été le seul à l’entendre et il s’était donc dirigé vers la source de ces inquiétudes. Les pleurs venaient de l’une des nombreuses entrées vers les égouts du port, il franchit l’entrée, l’odeur nauséabonde des poissons morts et de la moisissure lui agressaient le nez de manière et ce qu’il dut se couvrir la bouche avec ses mains. Après avoir fait quelques pas, il reçut un choc à la tête et perdit connaissance

L’Orine constata qu’il avait manifestement les mains et pieds liés par une fine corde. Ne sachant pas où il se trouvait, ni depuis combien de temps, il craqua. Les larmes lui venaient aux yeux et au bout de quelques secondes pleura franchement. L’aventure était une chose qui lui plaisait, découvrir des lieux qui lui étaient inconnus mais là, c’était différent. Etre forcé, malmené à ce point lui était une sensation qu’il ne connaissait pas et encore les mots lui manquait. De toute façon, la principale occupation qu’il se devait d’avoir était de se défaire de ses entraves et aussi du sac qui réduisait son sens visuel de manière drastique. A force de gigoter dans tous les sens, il sentit un morceau de rocher lui entailler le bas du dos, la douleur lui arracha un petit couinement et des larmes. Mais ce bout de pierre pointu lui apporta aussi l’espoir de trancher ses liens.

Après plusieurs tentatives pour bien placer la corde face au tranchant de la petite roche, après plusieurs mutilations non voulues, il réussit à se libérer les mains et Mendeln s’empressa de se dévoiler la tête. Il respira enfin à grands poumons de l’air frais mais l’Orine regretta immédiatement son action. L’air qu’il respirait était putride, comme du souffre, ce qui eut pour effet direct de lui bruler les sinus. Après s’être malheureusement habitué à l’odeur, il dut s’habituer à la pénombre avec la plus grande des difficultés. Puis quand ce fut chose faite, il vit tout autour de lui un endroit horrible, dénué de couleurs vivantes, de joie et surtout, surtout de nature. A vrai dire, la zone où il avait été amené n’était que et uniquement de la pierre, de la roche et de cailloux. Il se releva mais au moment où il fut debout et qu’il tenta d’avancer il fit une chute et se cogna le nez par terre, cette fois il ne put s’empêcher de hurler, il entendit son hurlement ricocher tout autour de lui. Étonnamment, il entendit des corbeaux, ou quelque chose qui s’y rapprochait emmètrent des cris et s’envoler. Il entreprit de rapidement défaire ses pieds manuellement et d’essuyer le sang qu’il coulait de son front. Heureusement que sa chute n’avait que courte et pas trop violente, il aurait très bien put s’ouvrir la tête et mourir bêtement.

Alors qu’il tournait sur lui-même pour choisir une destination, il remarqua la présence d’un objet familier : l’étui de son instrument. Il regarda quand même à l’intérieur pour y voir si le violon et l’archet était toujours là et c’était le cas. Pourquoi ses ravisseurs avaient-ils laissé cet objet ici ? Enfin bref, il était très bien content comme ça. Il le remit sur son dos, passant les lanières de cuir sur ses épaules. Un éclair dans le ciel suivi de son tonnerre fit sursauter Mendeln. Oui, il devait partir rapidement, mais par ou … Cette sensation désagréable de ne pas savoir le nom de la zone dans laquelle il se trouvait était dérangeante. Il se retournait au moindre bruit suspect ou justement bien reconnaissable comme celui d’un animal ou d’une effroyable créature maléfique.

Sa position actuelle était une sorte d’enclave à deux sorties en couloirs. Que ça soit sur gauche, comme sur sa droite, aucuns éléments ne lui permettaient de dire ou allait. Il se souvent d’une petite phrase que lui avait apprise sa mère pour qu’il décide devant un choix dont il ne saurait pas choisir entre plusieurs alternatives :

- Am stram gram. Pic et pic et colégram. Bour et bour et ratatam. Am stram gram. Pic !

A chaque syllabes qu’il prononçait, il pointait son doigt vers une des deux sorties.

- Bon, ça sera la gauche.


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Jeu 04 Aoû 2016, 10:38

Il faisait froid. Sombre. Humide. L’air était difficilement respirable. Le lieu n’était pas très proche de la définition que l’Alfar avait d’accueillant, en fait, ce lieu était extrêmemement inhospitalier.

Chaque pas de Mwayer se répercutait sur les parois rocheuses alentours et ces dernières lui renvoyaient ce son à l’infini. Plus il avançait et plus il marchait vite, plus ses pas et les roches décidèrent de créer une symphonie étrange lui donnant la sensation que le monde entier le suivait dans un couloir étroit.

Un couloir étroit.

Au fur et à mesure qu’il avança, la roche se rapetissait autour de lui et il se mit à courir. Un hurlement. Son sang se glaça, il s’arrêta. Il faisait froid. Sombre. Humide. L’air était de moins en moins respirable. Il sentait la peur contracter ses poumons, son diaphragme, son cœur, comme si un étau se refermait progressivement sur tous les organes vitaux. Etau qui n’attendait d’entendre une seule chose, un énorme craquement annonçant qu’il avait réussi là où une lame ou la magie avaient échoués. L’étau était ravi, Mwayer le voyait, le sentait, il sentait aussi ce mélange de métal et de pierre dans lequel il était fait. Le couloir se refermait d’ailleurs toujours plus, il ne contrôlait plus rien, l’étau était maintenatn capable de couper son artère principale et ses veines, l’espace d’un instant, il vit la mort, il essaya de la rejoindre de son plein gré, une arme, son pinceau, une pierre pour qu’il puisse s’ouvrir.

Un énorme cri. Cette fois il savait d’où ils venaient, c’était le sien. Celui des gens qui s’aventurent trop loin et qui ne sont pas assez forts pour s’adapter directement. Il se réveilla de sa transe assis contre un rocher dans un couloir large de deux hommes, il transpirait, en réalité, il était trempé. Il s’épongea et prit son courage à deux mains pour se lever. Il ne savait pas combien de temps il avait attendu là-dedans et dans cet état second, mais son estomac le tiraillait. La faim serrait ses entrailles et avait même réussi à chasser la peur, ce qui était assez exceptionnel pour le mentionner. Un brouillard poisseux lui tenait fidèle compagnie, il prit donc le temps de le dissiper et tenta, sans grande réussite, de le remplacer par une douce chaleur, mais il était trop épuisé pour ça. La nappe de brouillard se dissipa et Mwayer aperçut sur le mur qui lui faisait face quelques plantes grimpantes qu’il connaissait de vue. L’une d’entre elles cachait, entre ses épines, des fruits délicieux dont il ne fallait pas manger le cœur au risque de voir le sien s’arrêter immédiatement. Qui de plus espiègle que cette nature ? Il regarda cette fleur et la fit croître à vitesse grand V avant d’en écarter les épines, il passa sa main au milieu de la cage de douleur qui entourait la plante et prit le fruit qu’il croqua goulument. Le jus coula sur les deux côtés de son menton et il respira un grand coup. Il n’allait pas mourir tout de suite.

Le jeune parfumeur prit son courage à deux mains ; il sortit son poignard dans une main, s’entailla l’autre et forma une série d’aiguilles vermeilles qui étaient prêtes à partir dans toutes les directions. Il était prêt à avancer, ce qu’il fit à vitesse grand V. Il trottinait dans cette antre bien décidé à s’y enfoncer le plus loin possible et à voir ce qu’elle recélait vraiment. Il arriva très vite à une intersection où il ne prit pas le temps de réfléchir à sa direction. Ses pas le menèrent au chemin de gauche et assez vite il aperçut, de dos, une silhouette. Il n’aurait su dire si c’était un homme, une femme ou un autre genre, la silhouette avait dans le dos un gros étui qui n’évoquait pas vraiment une arme. Ses cheveux retombaient au-dessus de ses épaules. Mwayer arriva également à constater que ses poignets semblaient meurtris, comme s’il s’était débattu. Il ne saurait dire s’il devait le tuer immédiatement ou attendre, le suivre, peut-être l’avait-il déjà repéré. Non, il se serait déjà retourné. Il fit avancer ses aiguilles de sang juste à côté de son visage et il le héla, prêt à lui planter ses aiguilles dans l’œil ou à les faire disparaître.

Qu’est-ce que vous faites là ?

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Dim 14 Aoû 2016, 01:40

Mendeln commençait à avoir soif. Pourtant il n’avait pas spécialement chaud, il avait même un peu froid, mais c’était plus à cause de l’ambiance, qu’à cause de la nuit qui semblait être perpétuelle. Il repensait au succulent jus d’orange que je faisais dans le temps sa mère avec les fruits du jardin. Il la revoyait faire : elle les cueillait le matin et les nettoyer dans la cuisine, puis après elle les coupait en deux et les pressait afin d’en extraire le jus. Au souvenir de ces merveilleux jours, il tomba dans une profonde dépression. Malheureusement pour lui, il n’avait pas encore fait le deuil de sa mère. Il continuait de marcher mais sans faire attention à ce qu’il lui entourait.  Faut dire aussi que son environnement n’était pas très enchanteur non plus. La raison du pourquoi du comment il se trouvait ici, lui était totalement sortie de la tête depuis qu’il s’était engagé dans ce passage rocheux.  La seule chose qui lui importait pour l’instant était de retrouver la sortie de cet endroit lugubre, endroit qui d’ailleurs semblait être constamment sous le drap noire de la nuit. Il ne voyait pas la lune d’ici, maintenant qu’il y pensait. Il était peut-être dans un mauvais rêve ? Petit, il lui arrivait de faire des songes qui lui semblait si vraisemblable qu’il en n’avait l’air réels, peut-être que ça recommençait maintenant ? Peut-être était-il en train de dormir dans une auberge quelconque dont il n’avait point le souvenir ?

Il s’arrêta et mit sa tête entre ses deux mains et la secoua plusieurs fois de droite à gauche, comme si il se secouait les cheveux pour y enlever de la poussière ou quelque chose dans le genre. Lorsque Mendeln Ul-Diomed enleva ses mains de son visage il se promit de changer d’attitude et d’être plus souriant, même si il n’y avait rien autour de lui qui puisse le faire sourire. Il se remit don en chemin, marchant d’une manière décontracté. L’Orine mit un terme à sa marche guillerette bien rapidement car un bruit peu rassurant et inconnu à ses oreilles se fit entendre non loin de lui. Mendeln se stoppa net. Il se remit à trembler de tout son corps frêle. Le bruit qu’il avait entendu, ressemblait étrangement à un feulement de chat. Non c’était plus gros et plus sourd. Il tourna sur lui-même et regarda derrière lui, rien. Seulement de la brume. Il se mettait à suer à grosse goutte maintenant, ses jambes tremblait tellement qu’elles auraient pu faire de la musique à elles seules.Il se racla la gorge et entrouvrit légèrement la bouche et parla dans le vide.

-Il y a quelqu’un ? Non ? Personne ?

A vrai dire, il avait plus murmuré qu’autre chose et il aurait fallu être à quelques centimètres de son visage pour l’entendre parler. Mendeln s’épongea son front et continua la route qu’il avait prise. Au bout de quelque minute, il crut entendre des bruits de pas mais ce n’était surement rien. Encore un effet de son imagination. Ce qu’il crut jusqu’à entendre une voix qui lui intimait l’ordre de lui dire ce qu’il faisait là. Ne s’attendant pas à ce genre de choses, Mendeln se retourna rapidement, effrayer, pendant une fraction, il ne fit pas gaffe à la personne en face de lui, mais plus aux sortes de pointes rouges qui lui avait griffé la joue droite lorsqu’il s’était prestement retourné vers son présumé interlocuteur. L’Orine leva ses deux en l’air et répondit au jeune garçon qui ne semblait être qu’un jeune adolescent.

-Je je je … je ne sais pas.

Réussit-il à dire. Et vu que les aiguilles n’avaient pas l’air de vouloir disparaître, il tenta de donner une réponse plus détaillée, mais il lui restait un encore un semblant de raison dans son esprit pour ne pas tout dévoiler à ce garçon menaçant.

-Je m’appelle Mendeln, j’étais sur le continent naturel, dans un port et je me suis éloigné dans l’entrée d’un égout et après, j’ai reçu un coup sur la tête. Je me suis retrouvé dans cet endroit avec un sac sur la tête et mes membres liés. Il montra lentement, pour pas que ces gestes soit pris pour un signe d’agression, ses poignets et souleva les bords de son pantalon pour qu’il voit ses chevilles. Vous savez ou on n’est ? Je suis perdu et j’aimerai sortir le plus rapidement possible d’ici. Il reprit sa position d’origine avec les mains en l’air, tout en priant intérieurement Phoebe de bien vouloir le protéger de tout danger.


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