Zéleph rangea sa lame dans son gant, avant de croiser les bras sur son torse dans un soupire qui laisser toute sa contrariété s’échapper. Les sourcils froncer, l’air dur, le réprouvé était très concerné par se qui se passer. Cette chose, il n’en avait jamais vue. Non, il ne le turai pas, bien que cela aurait était plus simple, il pouvait le dire, et peut être même plus sûr pour la sécurité des habitants et animaux de la régions. Cela dit si il faisait cela il devrait en découdre avec les deux jeunes femmes et elles n’avait pas l’air aussi commode que l’on pouvait le penser aux premières abords. Il devrait aussi vivre avec l’idée qu’il aurait peut être tuer quelqu’un qui ne le mérité pas. Après tout cette chose était certainement humain a l’origine. Si c’était un bélua malade, ce serait une erreur impardonnable que de l’exécuté. Zéleph en sortant de son exile avait fait le choix de ne plu tuer sans raison. La vie était précieuse, quel qu’elle soit. Si une vie pouvait être épargner alors il ferait en sorte qu’elle soi sauver. C’était le signe d’une nouvelle maturité. Il avait peut être perdu sa puissance, mais il avait gagner en grandeur d’âme. Il espéré du moins être meilleur et pour se le prouvé il ferait se qu’il faudrait pour sauver cette créature. Babelda semblait avoir eu une vision. Zéleph ne savait pas si c’était un pouvoir racial où un don que la vie lui avait porté. Enfaite il ne s’était pas réellement questionné sur se que ces deux demoiselles pouvaient être et honnêtement cela lui était égale. Sauf si c’était utile pour sauver cette chose, le réprouvé n’avait pas besoin de savoir. Alors il resta concentré sur la chose. Elle était paralysé grâce a Babelda, une ingénieuse intervention soit dit en passant. Cela dit, la paralysie n’allait pas duré encore longtemps. Il fallait donc faire un choix. Attendre qu’il se réveille, risquer de devoir se battre mais tenté de lui poser des questions, où bien l’assommer suffisamment pour avoir le temps de l’évacuer hors des terres de Bouton d’or.
La dernière idée semblait la moins dangereuse mais aussi la moins réalisable. Un peu utopique de penser que cette chose se laisserait semer aussi facilement et ne se réveillerait pas avant quelques heures. La question de Babelda était légitime et Zéleph ne pouvait y répondre sans se trompé. « Je ne sais pas. » Dit-il sincèrement. Rien ne pouvait être sur. Là était le problème. Le réprouvé refuser de s’approcher. Il aurait bien inspecter le corps, mais le danger était trop grand. Si il se faisait mettre a terre il ne savait pas si les deux femmes auraient assez énergie pour échapper a ce monstre a temps avant qu’il ne les attrape. Toute les possibilités étaient envisageable et Zéleph voulait s’assuré que les pires ne puisse arriver. Le monstre commencer a bouger, signe qu’il n’était pas loin de son éveille. Zéleph se rappelait avoir lu quelque chose un jour sur les bélua. Il semblait que l’hors se qu’un homme est mordu par un bélua de sang-mêler celui-ci devis un véritable monstre. Une chose déforme et abominable. Peut être était-ce le cas. Quel malheur si cela était vrais, mais encore une fois se n’était pas une raison suffisante pour l’achevé. Après tout d’autres vivaient avec des fardeaux bien autant difficile.
Un mouvement de la créature fit se redresser Zéleph. Par réflexe il écrasa les bras, et fit signe a Babelda de reculer pour rester derrière lui avec Javaah. « Elle se réveille. » Et plus vite que prévu. Sous plusieurs grognement, de douleur, de colères, il était difficile de le dire, elle fini pars de redresser a la force de ses bras. Elle tomba assit, semblant étourdit, mais même a mit hauteur elle les surplomber d’un bon mettre. La créature se tenait la tête, ses grognement se transformant en pleine. Elle avait l’air de les avoir oublier, mais ils ne pouvaient pas rester ici indéfiniment a jouer les arbres. Doucement, avec précaution, Zéleph fit un pas en avant. La bête sembla le percevoir et releva la tête vers lui. Entre étourdissement et agressivité, elle posa sur lui des yeux rouge, vide. C’était comme si il ne le voyer pas vraiment. Le réprouvé risqua alors un peut plus et se mit a parler fort et clairement, ne sachant pas si l’animal comprendrait. « Qui es tu ? » La chose continua de le regardé, ne répondant pas au our de quelques secondes, Zéleph continua, s’approchent encore un peut. « Tu es perdu ? » Sa persistance et son intérêt fini par faire réagir la créature qui ne semblait plu leur vouloir du mal. Sa voix résonna alors, dur, rauque, presque bestiale. Si un ours avait pu parlé, ce fut certainement avec cette voix venu du fond de la gorge, presque difficile a discerné d’un grognement. « Maison… ici… » Le réprouvé compris qu’il ne pouvait pas être plus explicite dans ses phrases. Peut être que parle était douloureux pour lui, où avait-il perdu cette faculté. Quoi qu’il en soi il commencer a pouvoir communiqué, c’était plus qu’un opportunité. « Tu vie ici ? » Le monstre acquiesça. Son visage avait changer, il avait l’air triste et quand le réprouvé s’en rendit compte il se tourna soudain vers Babelda. Quelque chose était arriver ici, quelque chose de malheureux. rendant son attention a la bête il essaye de continuer a entretenir un semblant de conversation avant de perdre le lien de confiance qui se créer entre eux. « Tu es réprouvé? » Si la réponse était oui, alors malheureusement ils ne pouvaient rien pour lui. SI il a était mordu par un sang-mêler il était trop tard. Le mot réprouvé sembla faire réagir le montre qui rugi soudain. Zéleph crue entendre du désespoir dans se crie, il prix alors cela pour un oui. « Belua… mordu… ici… » Il montra son flan gauche. Une cicatrice commencer a se former. Cela n’était donc pas si vieux. Le réprouvé ne su alors quoi faire pour cette homme. Il était trop tard. Se tournant vers ses deux compagnes il parla le moins fort possible pour que le monstre n’entende pas. « Il est condamner. Si il est ainsi, c’est qu’on la mordu, il ne retrouvera plu jamais forme humaine. Il doit être perdu. Son esprit déjà troubler doit a présents se battre entre l’animal et l’homme. J’ai peur qu’il ne perdre tout a fait sa lucidité et devienne un véritable monstre. » Zéleph ne savait pas quel décision prendre. Il ne voulait pas se tromper et sur tout avoir l’air d’un barbare si il décidé d’abréger ses souffrances. Peut être vivrait-il bien si il vivaient en temps que bêtes, mais se monstre ressemblé plus a un démon qu’un animal commun. C’était un dilemme que le réprouvé se refuser a trancher sans l’avis de Babelda et Javaah. « J’ai… mal. » Le réprouvé regarde la bête profondément désoler. Après tout il avait était un des sien avant de croiser la route d’un bélua certainement mal luné. Son instinct lui disait d’en finir, mais sa raison lui demander d’être clément. Il ne savait plu quoi penser.
Babelda ~ Rehla ~ Niveau III ~ ◈ Parchemins usagés : 772 ◈ YinYanisé(e) le : 20/04/2015
Ven 10 Juil 2015, 23:10
Le mystère des cercles
La tête lui tournait douloureusement. Elle avait trop forcé. Passer toute cette matinée à marcher sous le soleil, avec un simple et maigre déjeuner qu’elle avait pris à l’auberge comme seule source d’énergie, l’avait grandement fatigué. Et maintenant, elle se mettait à abuser de son don de lecture. Chose peu recommandée dans une telle situation de faiblesse. Elle porta une main fraiche à son front pour essayer de calmer le tourbillon qui se formait derrière ses yeux, et la migraine qui risquait de s’inviter à la fête. Babelda, chancelante, fit quelques pas en direction de Javaah qui, aussi mal en point qu’elle, se reposait sur le tas de foin et lui tendait la main pour l’inciter à la rejoindre. Sans nul doute avait-elle remarqué la fatigue sur le visage de son amie, et ne voulait pas la voir s’écrouler ici, alors que la créature n’était pas encore neutralisée.
C’est à ce moment-là que la créature se décida à émerger de sa léthargie. La silhouette imposante du monstre commença à gigoter, son corps tremblant comme prit de spasmes incontrôlables. Et en quelques secondes à peine, l’animal se redressa, toujours assis mais n’en restant pas moins effrayant, menaçant. Des grognements indistincts parvenaient jusqu’aux oreilles de la Rehla. Ces sons ne la rassurèrent en rien. L’idée folle de fuir surpassa toute autre idée, et elle ne pensa bientôt plus qu’à cela : s’échapper avant que la chose ne reprenne tous ses esprits. La moindre cellule de son corps lui hurlait de prendre ses jambes à son cou et de mettre le plus de distance possible entre elle et le danger. Mais sa raison lui murmurait sournoisement qu’il était peine perdue d’essayer de lutter. L’état dans lequel elle s’était mise l’empêcherai de tenir debout sur plus de quelques mètres, et Javaah, dans le même état qu’elle, ne pourrait pas s’échapper d’avantage. Quant à Zéleph… Et bien disons qu’elle se faisait moins de souci pour lui.
Mais tandis que son cerveau bouillonnait en essayant de trouver, en vain, un plan pour disparaitre de ce champ, le réprouvé, qui une fois encore protégeait de son corps ses deux partenaires, s’approcha de quelques pas de l’animal qui retrouvait peu à peu sa mobilité. Etait-il fou ? Tenait-il si peu à sa vie ? Soit, du moment que ses actes ne mettaient pas en péril les vies de Babelda et de la mord’th, la jeune femme se moquait des décisions qu’il prenait pour sa propre survie. Mais, contre toute attente, la chose apeurée fit preuve d’intelligence, que Babelda aurait cru disparue. Elle répondit à la conversation que l’ancien roi avait entamé, et se mit à répondre aux questions qu’on lui posait, d’une voix caverneuse, à mi-chemin entre le grognement animal et le langage cohérent.
Sa curiosité piquée à vif, Babelda puisa dans ses dernières forces pour se mettre sur pied –ce qui lui valut une seconde vague de tournis déstabilisant- et s’approcher un peu des deux bavards, prenant soin de rester derrière Zéleph pour bénéficier de sa protection. Elle était rassurée de voir que ça ne les avait pas encore attaqué, mais elle n’était pas assez sotte pour se mettre en première ligne. La Rehla brulait de savoir ce qu’il s’était passé, ce qu’était exactement cette créature… Une curiosité morbide l’habitait. Pourtant, en voyant l’animal perdu, totalement désorienté, et habité d’une immense tristesse, Babelda se sentie elle-même contaminée par son humeur, et fut prise de pitié. A l’énonciation de sa maison, l’albinos se retourna vers elle. Pour seule réponse, la brune acquiesça d’un signe bref de la tête : elle aussi avait senti que quelque chose d’anormal s’était produit.
Lorsque le voile sur ses origines fut levé, l’esprit scientifique de Babelda se raviva. Elle était satisfaite des paroles que le bélua monstre lui rapportait. Vous comprenez, cette érudite aimait tant les énigmes qu’il lui était impossible d’y rester indifférentes. Alors, bien évidemment, elle avait réfléchi à plusieurs hypothèses sur la race de leur problème. Et elle avait vu juste ! La fierté qu’elle en retirait gonflait dans sa poitrine, aussitôt étouffée par une vague de remord : elle jubilait au dépend du triste sort de ce malheureux, qui s’était trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment… Se réprimandant pour avoir ressenti quelque chose d’aussi malhonnête, Babelda reporta son attention sur Zéleph.
« Je suis d’accord avec toi… Il s’en est déjà pris à des gens. Son esprit doit déjà commencer à sombrer, la part bestiale reprenant le dessus sur sa lucidité, et sur tout ce qu’il y avait de réprouvé chez lui. » Un silence pesant s’installa. Ils ne pouvaient rester là sans agir : il fallait prendre une décision, aussi difficile fut-elle. « On ne peut pas le laisser ici, ce serait trop dangereux. » Mais ils ne pouvaient pas non plus le déplacer. Babelda qui s’était précipitée pour protéger la créature, se retrouvait idiote lorsque la seule solution qui fit un bout de chemin jusqu’à son esprit fut la condamnation. La plainte du pauvre bélua finit par la décider. Posant une main fébrile sur le bras du guerrier, elle l’implora du regard. Le message passa, et, résigné, elle observa l’exécution silencieusement.
Un nouveau silence respectueux, comme pour honorer la mémoire de celui qui n’était plus rien de ce qu’il avait été, plana autour des trois silhouettes. Puis, finalement, ils se mirent lentement en marche pour retourner au village, où déjà des murmures s’élevaient : la malédiction enfin était levée, grâce au courage d’un ancien dirigeant disparu, et de deux inconnues. Mais s’ils furent accueillis en héros par ceux qui les reconnurent, les mines étaient sombres sur leurs visages, portant le fardeau d’un crime qu’ils avaient dû commettre. Quand bien même la survie des villageois dépendit de cet acte, le poids n’en était pas moins lourd sur leurs épaules, et la culpabilité les empêcha de festoyer, tandis que dehors, l’on trinquait à la victoire de ces trois comparses.