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 Ouvre les yeux, et apprend.|Test IV Aiichi with Zél'

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Ven 17 Mai 2013, 22:52

Je poussais un profond soupir. J’avais peur d’être en retard avec les bêtises de Lala. La petite chipie s’était levée avant tout le monde, et avait essayé de faire le petit déjeuné. C’était une bonne idée… Si seulement Lala était moins maladroite. J’avais été réveillé par une odeur de brûlé et m’étais dépêché de sortir du lit, réveillant par la même occasion Sheran.

*On mange déjà ?*


Le renard se prit au passage la porte que j’ouvris à la volée pour descendre les marches de l’escalier aussi vite possible. J’entendis un couinement alors que j’arrivais dans la cuisine de la petite maison que je louais. La poêle était en train de flamber, l’eau coulait à flot et débordait des casseroles les unes au dessus des autres, se déversant par terre… Vous avez déjà vus les maisonnettes inondés par les crus de la saison des pluies ? hé bien chez moi c’était la même chose… EN PIRE ! Je poussais un soupir, regardant Lala qui agitait les bras dans tous les sens affolée, pour me parler. Des tintements saccadés achevèrent de me sortir de mon sommeil.

« Tu as voulus préparer le petit déjeuner et faire des bananes flambées ? Mais qui fait des bananes flambées à cette heure-là ?! Et puis pourquoi il y a de l’eau partout ?! Tu voulais éteindre l’incendie comme ça ?! »

Je me laissais tomber sur une chaise avant de me tourner vers Lavina. La dullahan qui était tranquillement assise sur une chaise.

« Et toi t’as rien fais ?! »

Elle haussa les épaules, l’air de dire qu’elle n’y était pour rien et qu’elle s’en fichait… Enfin je ne pouvais pas savoir puisque je ne voyais absolument pas sa tête. La demoiselle était à la recherche de sa tête, et sa route avait croisé la mienne. Depuis elle ne m’avais jamais vraiment quitté, j’ignorais pourquoi. Je finis par éteindre le feu et éponger ce que je pouvais d’eau avec l’aide de Sheran sous sa forme humaine ainsi que de Lala. Je me pris bien trois coups lorsqu’elle essaya de me raconter une blague. « que dit un muet à un aveugle ? »… J’avais oublié de mentionner que son sens de l’humour était… Particulier. Avec tout ça je pris le temps d’attraper une miche de pain avant de partir pour Bouton d’or. Je mis pas mal de temps à arriver. Certes… Mais finis par m’arrêter accompagné de toute ma petite troupe. C’était ici… Zéleph m’en avais parlé durant notre entrevue sur la plage. J’avais choisis des vêtements sobres. Je n’aimais pas me vêtir d’habits brodés d’or ou d’argent. Bien que… Toute mon enfance j’ai cherché a attirer le regard de ma mère. J’avais finis par abandonner. C’est ainsi que je portais une chemise lacée noire, un pantalon blanc ainsi que des bottes montant jusqu’à mes genoux. J’attendais quelque chose. Quoi ? Je ne savais pas. Je choisis de ne pas trop me poser de questions. Pour tout avouer j'avais confiance en Zéleph. C'était paradoxal puisque j'avais passé quelques temps à jurer qu'il s'agissait de mon pire ennemi. Oui j'étais un 'sale gosse' disait Maak. Mais le sale gosse savait reconnaître quand il avait été borné et idiot. Et c'était ce trait de caractère qui m'attirerais ma propre survie. Car j'étais devenus doué dans ce domaine. Celui du camouflage, de la survie. étrange. Bien sûr. Mais mon enfance même l'était. Vivant caché, dans la peur. Désormais je pouvais voyager sur ces terres librement, aussi libre que je ne l'avais jamais été. Les chaînes de l'enfance et de l'impuissance s'étaient envolées.

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Dim 19 Mai 2013, 02:52

Adam tapotait son verre de ses ongles mal coupé, fixant le liquide qu’il contenait. Quelque chose cloché, quelque chose n’allait pas et il ne savait ni comment cela se faisait, ni pourquoi, ni trop ce que c’était. A chaque fois qu’il approcher Zéleph il avait comme un profond troue de mémoire et n’arriver pas à comprendre ce vide, une fois partit il ne se sentait pas différent et très sincèrement il ne voyait pas d’où venait cette impression étrange. A la fois bien présente et inexistante. Ce qu’Adam ne savait pas c’était non pas qu’’a l’approche de Zéleph il avait un simple trou de mémoire sur une chose importante, mais qu’il oublier totalement l’existence de quelqu’un d’important pour le roi, et pas des moindres : sa femme. Ainsi, voilà ce fardeaux que c’était infliger le souverain tout en imaginant ce libéré. Il avait oublié Mitsuko, et tous ceux qui était à sa vue oublier subitement l’existence de la déesse à leur tour. Seul trace subsistant de son existence était un M graver dans la chair du réprouvé au niveau de son coup, mais après tout cette lettre pouvait être l’extravagance de n’importe quelle de ses conquêtes. Buvant son verre, il le reposa dans un tintement violant sur le bois du bar pour ce lever et se diriger vers le bureau de son patron, dans la ferme intention de comprendre quel était cette étrange sensation, et sur tout, pourquoi le roi n’avait plu sa marque de mariage sur la main droite. Seulement lors ce que Zéleph sortit du couloir pour ce tenir droit et impressionnant devant lui, il perdit tout file de ses pensé, et ne ce souvint même plu pourquoi il était si déterminer à le voir. Aucun sens, vu qu’il n’avait rien à lui dire. Zéleph dévisagea son bras droit ce demandant pourquoi tout d’un coup il avait l’air aussi perdu. « Un problème ? » relevant vivement les yeux vers son patron, le sorcier hésita un bref instant avant de faire signe que non, encore un peu dans le trouble. « Non, je crois que l’alcool me fait tourner les idées. » « Eh bien reprend toi vites, tu dois me téléporté à Bouton d’Or. » Cela ne faisait pas longtemps que Zéleph était revenu de son « voyages ». Personne ne savait trop où il était allé, lui-même n’en avait que des fragments de mémoires, mais comme il était toujours entier et n’avait que cette cicatrice a la main en rentrant personne ne c’était inquiéter, certainement pas le réprouvé. Adam comprit le message, posant sa main sur le bras du réprouvé, il les fit disparaitre pour réapparaitre au milieu du village encore en reconstruction, bien que les travaux sois bientôt fini. Un village entier ayant brulé, cela prenait du temps pour retirer les décombres, sauver ce qu’il y avait à sauver, et tout refaire, repartir de zéro en somme.

A peine arrivé, Zéleph était déjà entouré, on le demander par tout, et il n’avait pas le temps de penser à quoi que soit d’autre, que le manque d’eau, le manque de bois, les problèmes au vol de terrains par certains et beaucoup d’autre choses qu’il devait superviser alors que ce n’était pas réellement son rôle. Il était là pour voir Maak, mais le sentinelle était absent, tant pis il verrait les soldats et vérifierait leur emplacement sans lui, ce n’était pas un souci. Il avait grande confiance en son sentinelle et n’était pas là pour juger de son travail, mais seulement veiller à ce que ses directives soit toujours bien respecté, comme lui aimerait que l’on supervise en son absence, vois si ses ordres étaient toujours bien respecter même en son absence. En règles général les réprouvés étaient un peuple obéissant, connaissant la valeur d’un travail bien fait et le souci d’un service bien exécuté. Un peuple qui ne connaissait pas sa valeurs, mais ce voulait fière et orgueilleux ce devait d’être patriote, même si cela n’était jamais facile de faire ressentir ce sentiment si fort à des êtres si tourmenté. Veillât a ce que les militis de la seconde légion soit bien à leur place, et la première légion positionné dans les aires pour assurer une surveillance constante, il était certain qu’aucun sorciers ou autre races étrangères ne pouvait entrer ici sans être contrôler. Même Adam qui était pourtant connue comme étant le bras droit du roi de puis quelques années déjà, n’était pas bien tranquille loin de son patron, et de sa protection. Zéleph avait eu écho que Maak s’occuper de la protection de Stenfek avec le reste de l’armé et il était confiant sur la sureté de la ville. Même l’échiquier maintenant vide était sous haute surveillance, rien ne pourrait arriver. Plu maintenant.

« Majesté, des gens vous cherche. » Le roi acquiesça et suivit s’attendant encore à ce qu’on lui demande des faveur pour la reconstruction d’une maison, un remercîment quelconque sur ce qu’il avait fait pour repousser les sorciers, et encore bien d’autre chose qu’on lui rabâcher de puis des heures et qu’il écouté distraitement ses pensées étant bien plus pragmatique et ne prenait pas attention au flatterie, même sincères. Ses sujets l’apprécier, le respecté, il ne s’en ferait jamais, pour lui c’était de l’idolâtrie exagéré. Seulement quand il vit Aiichiro, il eut un léger sourire, il était bien venue alors finalement. Il le salut, faisant à peine attention à la cour qui le suivait. « Te voilas, j’ai failli attendre. » Pour être honnête il avait était tellement occuper qu’il e avait presque oublié sa venue. N’ayant pas de temps à perdre en blablaterie, il ce détourné déjà du prince pour aller vers les élevages de bêtes. « Aller viens, nous devons rendre visite au ranch voir si les pertes des animaux sont nombreux ou non et comment aidé les éleveurs. » Il était important de soutenir l’économie et donc les agriculteurs, paysans et tous ceux qui faisaient la richesse de Bouton d’or et même sa beauté. C’était tout de même leur patrimoine, leur économie qui était en jeux. « J’ai cru entendre dire, que les cerfeuils avaient pour beaucoup péris, et il son beaucoup plus rares et difficile à élever que les autres. Cela vas nous coté énormément, mais j’aimerais constater les dégâts moi-même. » Les sorciers n’avait pas attaqué que le village, ils avaient brulé les fermes, le ranch, les champs, détruit les récoltes, les stocks, en bref ils avaient détruit tout ce que les réprouvés avait pris du temps à fabriquer. Un dur travail qu’il était dur de perdre aux pris de vies qui c’était crevé a la tâche. Les sorciers leurs payerons cela. Jun finirait par bruler en enfer, chatouiller par les démons.


hj: Alors il faut que tu sache, Zéleph à oublier Mitsuko, il n'a plu sa marque de mariage, et tout ceux qui son à vue oublie également Mitsuko (donc dans un rayon de 1 bon km si tu veux)
Pour le reste c'est pas fameux, mais on trouvera mieux après, c'est promit ;)

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Lun 20 Mai 2013, 19:19

C’est alors que je vis une foule de gens s’approcher, il ne faisait aucun doute qu’il s’agissait de Zéleph. C’était un roi qui avait sérieusement la cote auprès de ses sujets. Dans un certain sens… J’étais néanmoins heureux que ce soit lui qui soit sur le trône. Je ne pouvais m’empêcher d’imaginer le fiasco que serait un gamin tel que je l’étais à l’époque à la tête d’un peuple. Je souris à son approche tout simplement parce que j’étais heureux de le voir. J’avais l’intention de tirer le meilleur parti de cette amitié naissante entre lui et moi. Il me parla. Et alors je ris, lui répondant avec un sourire moqueur.

« Tu veux rire ? Avec toute cette foule autour de toi tu t’ennuyais ? »

J’éclatais de rire avant que Sheran ne saute d’une barrière pour aller galoper dans les champs. C’est alors que j’entendis une voix dans ma tête.

*Amuse toi bien, moi je vais me promener, tu verras je ne te manquerais pas. Tu as des choses à faire, on se retrouve tout à l’heure.*

Bien vite il ne fut plus à portée d’oreille. Ne restait plus que moi, Lala, Lavina et cette flopé de réprouvé, là pour reconstruire Bouton d’Or. Car je savais que les sorciers avaient mis à sac cette région. Je connaissais aussi l’investigateur de tout cela. Jun. Pourtant il m’avait l’air gentil. Enfin… Lorsque je l’avais vus j’étais totalement paumé. Je venais de perdre mon père… J’avais plus rien… Rien du tout. A part une mère qui faisait bien trop peu attention à moi… Et Sheran. C’était tout ce qu’il me restait en fait. Mais au final j’avais réussis à m’en tirer, j’avais grandis… Et… Malgré mon air de grand enfant… Dans l’ensemble j’estimais être passé par la case adulte sans trop de casse.

« Aller viens, nous devons rendre visite au ranch voir si les pertes des animaux sont nombreux ou non et comment aidé les éleveurs. »


Les bêtes… Pour tout dire j’avais jamais eu l’âme d’éleveur, ni même d’agriculteur… Et encore moins de bricoleur. Mais la place d’un roi n’était-elle pas, après tout, auprès de ses sujets ? Je levais la tête avant de lui emboiter le pas. Je n’étais pas sûr d’être doué. Mais j’étais prêt à faire tous les efforts mis à ma disposition pour pouvoir aider mon peuple et pouvoir tirer des leçons des enseignements de Zéleph. Bouton d’Or était l’endroit qui permettait aux réprouvés une certaine stabilité économique et même moi ne l’ignorais pas. Alors que pour tout dire, j’avais été tenus éloigné de ma race par ma propre initiative. Il est trop mauvais de rester proche d’un peuple qui voulait ardemment votre mort. Mais de l’eau coule sous les ponts… Et ce peuple qui m’avait si longtemps fait peur, était au final bien chaleureux.

« J’ai cru entendre dire, que les cerfeuils avaient pour beaucoup péris, et il son beaucoup plus rares et difficile à élever que les autres. Cela vas nous coté énormément, mais j’aimerais constater les dégâts moi-même. »

Mes joues se colorèrent un instant de rouge. Timidité ? Non il ne restait plus aucune trace de cette timidité enfantine qui me caractérisait il y a quelques années. Mais plutôt de la gêne, et sans doute un soupçon de honte.

« Zéleph… J’ai jamais vus de Cerfeuils de ma vie. Pour tout t’avoue je ne suis pas vraiment sortis du palais de mon père ou de ma mère… Mais si je peux aider je le ferais. Je crois que c’est pour ça qu’apprendre avec toi est une bonne chose. Tu ne rechigne pas à mettre la main à la pâte. »

On finit par arriver à l’enclos. Et je pus voir l’étendue des dégâts, je pus voir à quoi ressemblait une guerre… Sournoise. Celle qui consistait à mettre ses adversaires dans ses derniers retranchements en leur retirant petit à petit tout ce qui était vital. Je murmurais alors.

« C’est horrible… »


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Mar 21 Mai 2013, 01:11

Horrible, effroyable, repoussant, on pouvait tout dire de ce genre de spectacle. D’une certaine façon, Zéleph ne réagit pas, à force de vivre et de voir ce genre de chose il finissait par s’en protéger. On pouvait croire qu’il était simplement insensible, mais la vérité c’était que cela le rendait tellement malade, qu’il en faisait chaque nuit des cauchemars et qu’une fois le jour arrivé il devait se forger un masque pour arriver à ce tenir droit et soutenir le monde sur ses épaules. Oui, car si il n’aider pas son peuple a ce remettre, qui le ferait ? Il était dure dans ses pensées, radicales sur tout et il savait que peut être jamais Aiichiro arriverait à ce résigner au cela, mais d’une certaine façon il était soulager de ce fait. Lui avait fini par ne plus croire que quelque chose de bon pouvait arriver pour eux, il avait perdu l’espoir tout en la donnant aux autres. Il mentait, ce mentait a lui-même. Quand on le savait c’était bien triste. Son cœur c’était endurci avec le temps et les horreur qu’il avait subi, alors en étant roi, quelque part cette part de lui blesser par le passer l’aidé à rester debout. « Heureusement, je pense que le reste des bêtes mortes on était bruler. » Autrement il n’aurait pas accepté qu’on l’accompagne, si c’était pour voir ce genre de scène à la limite du supportable. Le ranch était détruit, en ruine pour être exacte, tout avait était bruler, c’était effondré. Bouton d’or n’était fait que de bois, alors forcément l’incendie si était plu ici. Ce retournant vers la petite cours qui le suivait, il demanda à ce qu’ils restent tous là, n’autorisant qu’Aiichiro à le suivre. Cette zone n’avait pas était sécuriser, qui il y avait un accident il s’en voudrait, de plus il ne savait pas si tous les corps d’animaux avait était jeté, si il ne rester pas du sang, des effluves de ce cauchemar pour beaucoup insupportable. Zéleph désirait épargner le plus de gens possible. En passant la clôtures, le roi leva les yeux vers un enclos un peu plus loin, il y rester quelque cerfeuils, cinq seulement, ce qui n’était pas beaucoup vue ce qu’ils avaient au début et au fond de lui il espéré qu’il y en avait plus dans un autre enclos. « Tiens, voilà des cerfeuils. » le réprouvé invita son jeune ami à le suivre près de l’enclos pour voir ces animaux exceptionnel brouté calmement avant de levé vivement la tête vers eux. Des bêtes furtive qui se mirent à courir pour fuir, mais le spectacle était beau. Leur bois en branche et leur pelage blanc les rendait majestueux, une prestance magnifique. Zéleph s’appuya sur l’enclos pour regarder ces animaux gambadé. « C’est lors ce que j’ai fait construire Bouton d’Or que j’ai acheté les cerfeuils et les bicornes. Je connaissais un homme qui les élevé encore, ayant sauvé ces deux races de l’extinction. Il m’en a vendu, tout en sachant que Bouton d’Or serrait certainement le dernier endroit où ces animaux pourraient être sauvés. » Le roi baissa les yeux vers le prince déchu. « Tu vois, avant que j’en fasse une spécialité, personne ici n’avait jamais vue de cerfeuils, aucun réprouvés. » Il lui offrit un léger sourire taquin. « Alors tu vois, il n’y a pas de gêne à avoir sur ce que tu ne connais pas. » Lui-même ignorait beaucoup de chose sur le monde qui l’entourait, tellement qu’il passait pour un imbéciles aux près de certaines personé, mais ce n’était pas la connaissance qui faisait tout, c’était de savoir s’ouvrir à tout, tout voir, tout comprendre, tout touché. Analysé ou s’imbibé ne servait pas toujours à faire quelque chose d’utile.

« Aller viens. » des choses beaucoup moins agréable les attendait. Ce défaisant de la barrière il prit le chemin du ranch et de la grange en ruine. Tout le village serrait long à reconstruire, mais une fois les maisons remise en état, les débris déblayé, tout nettoyé, rien n’effacerait le souvenir des morts, de la terreur, du l’agonie. Le regard de Zéleph resta un instant perdu sur les poutres noirci par les flammes avant qu’un homme couvert d’un chapeau vienne e leur rencontre. « Mon Seigneur, vous êtes là. » Près de lui, l’homme tendit la main au roi, puis à celui qui l’accompagner pour les salué brièvement, puis très vite il les incita à le suivre. « Il nous reste que peu d’animaux. Beaucoup de bicrones se sont enfuit, on défoncer la barrière et son partit, nous pourront les ramener en écumant les plaines, mais pour les cerfeuils… Il ne nous en reste que six. Nous avons isolé le mâle pour l’excité. Il va avoir du boulot. » Plaisanta l’éleveur, mais Zéleph savait très bien ce que ça signifier. Un seul mâle pour cinq femelles, il faudrait absolument prendre soin de lui, sinon ils étaient bons pour dire adieu au repeuplement. L’homme les fit contourné le bâtiment en ruine pour leur montré le cerfeuil, enfermer, seul dans un petit enclos de fortune. « Bien, si il vous faut quoi que ce soit, envoyé moi la facture. » Au point où ils en étaient, les caisses du royaume ne suffirait jamais pour tout rénové, et Zéleph ne voulait pas penser à ce genre de chose, il avait déjà trop donné pour que ça reste un frein et puis il c’était personnellement engager à sauver cette race unique d’animaux et il était donc hors de question qu’il s’éteigne maintenant. L’éleveur acquiesça simplement, comme un accord tacite que cette subvention serrait comme une donation d’un bienfaiteur quelconque, Zéleph ne voulait pas de médaille pour des choses aussi naturels.

« Et pour le ranch ? » « Je pense qu’il va devoir tout enlever et repartir à zéro. » Zéleph soupira, comme une bonne partie du village. « Bien, en attendant votre logement ? » « Des tentes. » Le roi acquiesça, ce n’était pas le grand luxe, mais après ce qui était arriver personne ne pouvait ce plaindre d’être en vie. Le roi pensa qu’il était bien de présenté Aiichiro, il se tourna vers l’éleveur et lui montra le prince. « Shing, je te présente Aiichiro, tu risque de le revoir très vite, souviens toi bien de lui. » Plaisanta-t-il malgré la situation. L’éleveur s’inclina légèrement puis retourna travailler, étant appelé, avant de les invité à aller voir son fils qui était à l’intérieur des décombre pour commencer à voir comment ils allaient déblayer tout ça. A l’entrée de la grande bâtisse effondré, Zéleph conseilla a Aiichiro de faire bien attention à où il mettait ses pieds et regardé au-dessus de lui si rien ne pouvait s’effondré sur lui, puis il entra avant lui pour constater un peu mieux les dégâts. C’était effrayant de voir le pouvoir dévastateur du feu. Dire qu’il y a quelque temps a peine son fils habiter ici et qu’il était venu lui rendre visite, les lieux était méconnaissable. Le fils de Shing vint les saluer. Une fois cette bien triste et dangereuse visite effectuer, ils sortir et Zéleph se pencha tristement sur Aiichiro. « J’ai bien peur que toute notre journée ressemble à ça. J’espère que tu n’as pas peur de mettre la main à la pâte car nous risquons même d’aidée à faire quelque travaux. » Rejoignant le groupe, il finit par ajouté. « Et si tu as des questions n’hésite pas, je répondrais a tout, même celle qui me semble la plus idiotes. » Sourit-il ce voulant rassurant, mais à sa façon...

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Jeu 29 Aoû 2013, 23:21

« Heureusement, je pense que le reste des bêtes mortes on était bruler. »

Ça sentait la chaire brûlée, et la terre semblait emprunte de meurtrissure. Et je savais qu’au plus profond de ces racines, ce sabotage resterait. Car les sorciers n’avaient pas cherché à nous affronter de face. Ils avaient un plan bien précis. Comme certains stratèges qui encerclent un château en attendant que les propriétaires meurent de faim en envoyant des carcasses d’animaux malade, eux avaient frappés fort. Ils avaient anéantis notre force économique. Mais je ne doutais pas qu’on se relèveraient, malgré tout ce qu’on avait subis, malgré tout ce à quoi on avait dus se préparer, on s’en étaient sortis. On avait finis par y arriver. Et le monde était moins violent à notre égard. Grâce à ce roi d’une force titanesque.

« Oui… C’est nécessaire pour éviter que les maladies ne touchent les fermiers et ce qui reste d’animal. »


Par la suite il fit un signe à tous ces gens qui l’accompagnaient, une flopée de conseillers ? Des fans ? Peu importe pourvus qu’ils soient là pour donner un coup de main. Je relevais les yeux vers mon roi, puis vers eux, avant d’enjamber la clôture afin de le suivre. Sans oser trop parler. J’avais l’impression de voir le diable agir dans le geste des sorciers. Une malédiction s’était abattus sur nous, et il faudrait du temps pour purifier la plaie béante qui suintait désormais au sein même de notre peuple.

« Tiens, voilà des cerfeuils. »


Je regardais un instant les animaux, intrigué. Pour tout avouer je n’étais jamais vraiment sortis du château de mon père, ni même de ma mère puisque j’étais trop jeune. ‘Trop jeune’, ça a toujours été un truc qui m’a jeté des bâtons dans les roues, trop jeune pour se défendre, trop jeune pour décider, trop jeune pour influencer, mais il y avait une chose pour laquelle je n’étais pas trop jeune, je n’étais pas trop jeune pour me faire assassiner, que voulez vous ? On peut pas avoir tout ce qu’on veut. Je regardais les bêtes à l’allure noble un instant, avant de sourire.

« Zéleph, comme on dit, si il y a de la vie il y a de l’espoir. On va s’en sortir. »


Il me fit un signe, et je le suivis jusqu’à l’enclos ou on avait installé les animaux. Il broutaient en paix. Du moins était-ce ce qu’on croyait à première vue. Mais ils étaient secoués, ils avaient encore peur, puisqu’ils tressaillaient à n’importe quel bruit, même ceux que faisaient les autres animaux dans l’enclos. S’approcher pour les caresser n’était pas la chose la plus judicieuse à faire dans ce cas là.

« C’est lors ce que j’ai fait construire Bouton d’Or que j’ai acheté les cerfeuils et les bicornes. Je connaissais un homme qui les élevé encore, ayant sauvé ces deux races de l’extinction. Il m’en a vendu, tout en sachant que Bouton d’Or serrait certainement le dernier endroit où ces animaux pourraient être sauvés. Tu vois, avant que j’en fasse une spécialité, personne ici n’avait jamais vue de cerfeuils, aucun réprouvés. Alors tu vois, il n’y a pas de gêne à avoir sur ce que tu ne connais pas. »

J’eus un petit sourire avant de relever les yeux vers lui. Ho il était plus grand que moi, plus costaud, plus charismatique. Mais ce n’était pas quelqu’un d’inaccessible, comme le sont certains rois. Non lui, il était frai et dispos si je puis dire. Je finis par parler.

« Je vois… Ce sont de beaux animaux, et j’aimerais les voir s’en sortir, j’imagine que pour qu’il n’y en reste plus beaucoup… Ils ont dus être chassé, pour le bois, leur fourrure, qu’en sais-je. Mais dans le fond. Eux ils sont comme nous, ils veulent seulement vivre en paix non ? »

Ma question avait été posé avec la naïveté d’un enfant. Mais dans le fond… Je savais que même si mon esprit et mon corps avait grandis… Je resterais néanmoins un grand gamin, jetant un regard méfiant mais en même temps naïf sur le monde. Ho la douleur, la mort et les histoires d’amour n’avaient pas encore réussis à entacher ma vision du monde. Il demanda de le suivre, et je m’exécutais sagement, lui emboîtant le pas, un petit chemin avait été tracé, par les passages répétés sans doute. On s’approchaient d’une grange. Le toit s’était effondré, et quelques poutres étaient cassées. Mais la maison tenait encore debout par miracle ! Un réprouvé s’approcha de nous, habillé simplement, comme nous deux en fait. Car le roi ne portait pas d’habits comme l’aurait porté mon père. Pour lui, l’or était un moyen d’en afficher plein la vue. Il portait un masque en permanence, alors que Zéleph lui, ne jouait pas à ce jeux là. C’est alors que je me rendis compte que je respectais plus ce roi remplit de franchise, que mon père plein de faux semblants. C’était dur à dire, c’était méchant… Mais mon père était sur son trône idéalisé quand j’étais gamin, parce qu’il était mon père. Le fermier me tendis la main et je lui serrais avec plaisir, il avait une poignée forte et énergique.

« Mon Seigneur, vous êtes là. Il nous reste que peu d’animaux. Beaucoup de bicrones se sont enfuit, on défoncer la barrière et son partit, nous pourront les ramener en écumant les plaines, mais pour les cerfeuils… Il ne nous en reste que six. Nous avons isolé le mâle pour l’excité. Il va avoir du boulot. »


Le nombre de cerfeuils que nous possédions tenait sur mes deux mains, pour le moment. C’était UN PEU critique. Mais le fait qu’il reste un mal… Voulait dire que dans notre malheur nous avions une chance de nous relever. Je hochais pensivement la tête, avant de les suivent jusqu’à l’enclot du dit mâle. Zéleph proposa de payer. Mais un sourire s’afficha sur mon visage.

« Nous pourrions sans doute aussi nous faire subventionner par les autres royaumes, n’oublie pas que tout le commerce des céréales nous appartenait il y a encore peu de temps, et je pense que personne ne le récupérera entre temps. Explique leur le problème, et promet leur une part des récoltes de cette année, peut être que tu auras des surprises. Lorsque quelqu’un est privé d’une matière première comme le blé, par exemple, tu peux sans doute en tirer quelque chose. »

Moi je sais que c’est sans doute ce que j’aurais fais, j’aurais plaidé notre cause auprès de royaumes amicaux, allier, et sans doute aurais-je échoué, mais éveillé la conscience populaire. Peut être que des gens seraient venus. Mais je croyais en mon idée. Je ne parlais pas des cerfeuils et des bicornes, je les laissaient aux bons soins des éleveurs qui savaient mieux faire face que quiconque, je parlais de la construction des bâtiments. Comme on dit… « l’ennemi de mon ennemi est mon ami » et nombreux sont ceux qui ont encore une vieille rancune contre les sorciers, trouver de l’aide en ce temps de crise me trouvait tout à fait approprié et plausible. Mais autre chose me vint en tête… J’attendais, le gardant pour pus tard.

« Shing, je te présente Aiichiro, tu risque de le revoir très vite, souviens toi bien de lui. »

Je me tournais vers Zéleph, avant de lancer un signe de tête à l’adresse de l’homme, avec un sourire chaleureux. J’étais encore jeune, je ne savais pas quel poids j’aurais dans la balance, mais me convenais de ce rôle avec plaisir tant que c’était pour œuvrer pour notre cause. On continua la visite, pour finalement rejoindre le fils de l’éleveur qui nous salua tous deux avec chaleur. Malgré les problèmes qui leur étaient tombés dessus, les hommes n’avaient pas totalement baisser les bras, ils voyaient la lumière là ou les autres n’auraient vus que des coins sombres.

« J’ai bien peur que toute notre journée ressemble à ça. J’espère que tu n’as pas peur de mettre la main à la pâte car nous risquons même d’aidée à faire quelque travaux. Et si tu as des questions n’hésite pas, je répondrais a tout, même celle qui me semble la plus idiotes. »


J’eus un immense sourire avant de lui répondre d’une voix douce et calme.

« Je doute d’être doué en travaux manuels, mais si on m’apprend, je suis sûr de pouvoir aider. Ne t’en fais pas, je pense que le devoir d’un roi est d’être au plus près de son peuple, c’est normal de faire ça. Et… J’espère ne pas poser de questions trop idiotes ! »

Je continuais d’une voix mal assurée.

« Mon idée que je t’ai donnée, tu l’as trouvé stupide ? Je sais que tu fais tout pour ne pas être redevable à des peuples qui pourraient… Nous asservir comme avant, si j’ose dire. Je ne voulais pas te vexer, ou passer pour le premier imbécile, j’essaye de retourner le problème dans tous les sens pour trouver une solution. »


Je continuais à marcher, quand mon renard sauta la barrière à ma gauche pour marcher à côté de moi. Le renardeau qu’il était avait laissé place à « super goupil » comme je l’appelais. Il m’arrivait à mi cuisse, et avait un petit truc attendrissant. Je ne savais pas si c’était sa truffe et le bout de sa queue tout noir, qui donnait l’impression d’avoir trempé son museau et le bout de sa queue dans le pot de peinture le plus proche, ou tout simplement son air un peu ahuris. Il parla vite.

*J’ai crus que j’allais me faire embrocher par une grosse bestiole ! J’ai vus ma vie défiler devant mes yeux.*

J’eus un petit ricanement.

« Allons Sheran, t’as pas dus voir grand-chose ! »


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Ven 30 Aoû 2013, 11:12


 Zéleph resta dans ses pensées pendant un instant. La proposition d’Aiichiro n’était pas complétement absurde, il voulait bien l’avouer, mais il ne voyait pas bien à quel peuple il pouvait proposer une subvention de ce genre. Quel peuple voudrait sauver une race en voie d’extinction ? On lui rirait au nez. Zéleph, le rustre roi des réprouvés désirait un accord économique dans la perspective de sauvé ses bêtes. Il y avait de quoi rire. Oui c’était risible. Il avait beau y pensé, chercher un peuple susceptible de les aidé il ne voyait pas le quel. Dans le peu de relations qu’il avait avec le peu de race, il ne se voyait réellement pas demander cela. Peut-être les vampires. Bien sûr il ne leur vendrait pas ainsi, car qu’est-ce que cette race avait à faire des bêtes comme les bicornes ou les cerfeuils ? Par contre l’argent que cela rapportait pourrait leur plaire et comme en ce moment même il était en négociation pour l’eau que pourrait apporter les sangsues, il était évidant qu’il pourrait envisager de leur proposé quelque chose avec leurs bêtes, ceux qui après les céréales leur faisait gagner énormément. Ou peut-être à l’inverse suscité l’intérêt des humain, effectivement par la pression des récoltes de céréales, eux qui dans leur désert ont bien besoin de cela pour survivre. Zéleph sourit gentiment, posant sa main sur la tête du garçon. Aiichiro était un gamin pour lui, mais un gamin intelligent. Il ne le prenait pas sous son aile par pitié non, c’était par ce qu’il semblait réellement vouloir ce donner pour son peuple et pourtant il partait de loin, pas franchement aider par ses deux parents. « Non pas idiot, au contraire tu as raison. Je ne devrais pas toujours donner de ma poche personnelle et sollicité un peu plus les autres peuples. Malheureusement vois-tu, la fierté d’un réprouvé est tenace. Nous ne craignons plu les autres, mais ne voulons rien leurs devoir. Nous relever sans eux. C’est ça aussi notre force. » Et il en était très fière. Voir tous ces gens travailler à leur réussite, travailler à leur vie. Toujours trébuché, mais jamais courbé le dos. C’était quelque chose d’impressionnant, de gratifiant. La puissance de leur peuple était là. Malgré tout ils se battaient, même sans espoirs ils se tenaient debout  devant leurs bourreau.

« En y réfléchissant, ‘est même plutôt intelligent de faire intervenir un autre peuple, cela me fera économisé de l’argent. » il rit, car au final il n’était pas avar pour un sous donc cela ne changer rien, mais au moins son peuple serrait autonome pour une fois. « Je trouverais bien un peuple susceptible de nous venir en aide, qu’il le sache où non. J’ai en ce moment pas mal d’accord en cour pour faire fluctué notre agriculture, malgré notre baissa presque total des stocks. » L’incendie avait pratiquement tout ravagé ne leur laissant qu’à peine de quoi vivre pour l’année et certainement pas de quoi partager. Pourtant avec l’accord économique des vampires en cour ils pourraient obtenir de l’eau à foison et rendre leurs récoltes deux fois plus importantes et donc rattraper leur retard l’année suivante et même augmenté radicalement leur revenue. Zéleph n’avait pas beaucoup de qualité, mais si il avait un don dans un domaine c’était celui de produire de l’argent comme personne, c’était ainsi qu’il c’était assis sur une fortune gigantesque et qu’il voulait en faire de même pour son peuple. Après tout ce n’était pas la force militaire qui compté où la grandeur d’un territoire mais la qualité de vie. C’était cela qu’il voulait pour son peuple, augmenté leur qualité de vie, les rendre heureux comme ils le mériter après avoir tant travaillé pour cela, après s’être tant donner, et il ne permettrait jamais à Jun ou aux sorciers de changer ça.

« Qu’importe je m’en occuperai plus tard. Avant toute chose il va falloir que nous allions voir les champs et les vergé, voir où en sont les paysans pour remettre leur terres des ravages du feu. »  A chaque fois qu’il devait le dire cela lui était douloureux, mais il valait mieux ne pas s’en faire pour ça et continuer à avancer, oublier les images et les horreur. Prenant les chemins des champs, le blé qui d’habitude était d’une couleur doré à perte de vue, était noir et sentait la cendre froide. Avant même qu’ils aient approché le premier moulin totalement effondré ils se firent approcher par les agriculteurs du coin. Ce fut de pauvres gens, bien dévasté par ce qu’il leur était arrivé et Zéleph ne pouvait qu’être touché par leur malheur, comme si cela ne suffisait pas, le patriarche qui parler pour tous leur déclara la perte de son fils ainé, et plus encore que son exploitation il était bien clair que cette attaque lui avait retiré une partie de son être en lui prenant son enfant. Zéleph ne savait jamais quoi dire devant la détresse des gens, il était démunie et ne trouvé jamais les mots alors il ne dit simplement rien, et l’homme lui tomba pratiquement dans les bras les larmes aux yeux. Le roi s’en vie figer, ne sachant pas comment réagir à cette étreinte du cœur. Jetant presque un regard d’alerté a Aiichiro. Non, il était très proche de son peuple, mais pas à ce point, après tout si il n’était pas capable de réconforter sa propre mère comment le ferait-il avec un étranger ?

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Ouvre les yeux, et apprend.|Test IV Aiichi with Zél'

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