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 Toutencarton [pv Violette]

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Dim 31 Mar 2013, 22:39

Neros grimaça en posant sa tasse, écœuré. La femme à côté de lui leva les yeux au ciel d’un air profondément exaspéré. « Vous n’avez aucun gout mon pauvre. » Elle lui prit sa tasse des mains l’air contrarier, et lui ce jeta sur un verre d’eau, le premier qu’il trouva. Une fois rafraîchis et lavé du gout amère il soupira. « Ca n’as aucun gout, c’est répugnant ! » « Vous n’avez nul sensibilité. » « Sucré le au moins. » La femme parut profondément scandalisé, le fixant comme si il était un monstre venu des enfers pour la tourmenté. « Mais vous êtes sôt ! Mettre du sucre dans du thé ! On a jamais vue pareille affront ! » Ni une ni deux il fut jeté hors de la tente, vue comme un paria. Tombant dans le sable il grogna. « Ca va ! Calmez-vous ! » Il se leva en essuyant ses vêtement pour y retiré le sable, maugréant des « mégères » dans sa barbe. Barbe qu’il n’avait plu depuis qu’il était rentré de sa dernière mission avec Violette. Elle lui avait fait comprendre que ce n’était pas des plus attirants, et puis finalement c’était gênant pour manger. Neros soupira. « Qu’est-ce que tu lui a fait ? » Il leva les yeux sur sa grand-mère. Allait-il encore ce faire remonter les bretelles pour si peu ? Juste par ce qu’il n’aimait pas le thé ? Il trouvé ça affreusement fade et n’y trouvé aucun plaisir. Il ne savait même pas comment tant de gens pouvait aimer. « Est-ce un crime de ne pas aimer le thé ? » Lucy lui sourit tendrement plus amuser par les frasques de son petit-fils que fâché. « Les voyageurs en vivent, c’est pour ça qu’ils y trouvent tant de bonheurs. » « Ce n’est pas une raison pour me… » Il resta en suspens fixant le visage de l’ange qui lever les sourcils avec un petit sourire attendant la suite avec impatience sachant très bien ce qu’il aller dire. Neros ce rattrapa de justesse. « M’ennuyait avec ça. » Lucy parut ravie, apprécient l'effort fournie, et lui sourit avant de lui prendre le bras pour l’emmener marché. « Je tes fait à manger pour ta mission. » « Grand-mère, tu n’es pas forcer de faire ça pour moi. Je suis assez grand pour m’occuper de moi. » Soupira-t-il, ce sentant légèrement étouffé par l’ange qui avait tendance à le surprotéger, déversant sur lui toute la frustration d’une vie arraché à son petit garçon. Oui elle devait évacuer ce besoin de maternel sur lui, et Neros qui était habituer à se débrouiller seul dans son coin n’arrivait pas à si faire. Elle le frappa alors gentiment à la tête. « Ne m’appelle pas grand-mère ! J’ai l’air plus jeune que toi. » Ria-elle, et il en souri, c’était plutôt vrais qu’elle avait l’air plus jeune et pourtant il n’était pas bien vieux déjà, cette situation était extrêmement bizarre. C’était son père qui avait l‘air encore bien plus vieux qu’elle, tout en ne paraissant pas si âgé. Plus cela irait avec le temps et plus lui vieillirait et aurait l’air plus âgé que son père ou sa mère, c’était troublant.

Il se prépara tranquillement, il avait le temps et cette fois n’était pas énervé a l’idée de partir avec Violette. Violette, encore elle. Il se demandé si c’était le jeu du hasard ou si réellement les voyageurs penser d’eux qu’ils faisaient une bonne équipe. Ce qui était certain c’est que plus le temps passer et plus il était frustré, la dernière fois il aurait bien foutu dehors ce vieillard, et puis après il n’était pas méchant et imaginer bien que ce n’était que les circonstances qui faisait cela, ça et rien d’autre. Ou sinon le sort s’acharné sur lui, sur eux. Enfin, ce n’était pas dans la pyramide que ça aller s’arranger, dans ce genre d’endroit rien n’était sûr. Attachant ses sacs à son dromadaire, un autre fut jeté à ses pieds. Baissant le regard sur l’énorme chose puis les levants il croisa les yeux bleus de Lucy. « Voilà qui te serra utile. » S’agenouillant pour l’ouvrir et regardé, il fut surprit. Il sortit une corde, des livres sur les momies, et même une poupée vaudou. « Utile ? Je ne suis pas sur que ce soit le mot… » Lucy n’y prit pas attention caressant l’animal, lui flattant le cou, ravis de faire nouvelle fois connaissance. « Tu t’es réconcilié avec ta reine ? La dernière fois tu n’avais pas l’air ravis, et là tu n’as pas dit un mot sur le sujet. » Neros s’évertua à dissimuler sa tentative pour éjecter le sac que lui avait donné l’ange, histoire de ce pas s’encombré de ses « objets utiles » qui n’avait aucun intérêt pour ce voyage, il ne voyait d’ailleurs pas dans quel genre de voyage ils pouvaient être véritablement utile. « Tu n’avais pas l’air de l’aimer. » continua-t-elle en grattant derrière l’oreille du dromadaire qui fut très câlin pour ce faire. « Il n’y a que les idiots qui ne change pas d’avis. » finit-il en vérifiant qu’il avait bien prit sa gourde et sur tout qu’elle était pleine. Replacent son turban, il était enfin près, il avait ses armes, son sac remplit de tout ce qui lui fallait pour le voyage, et les petits extra en cas de problème. Alors qu’il détacher son dromadaire pour le faire s’allonger, sa grand-mère lui donna un coup de coupe en lui murmurant ces mots « Je comprends pourquoi. ». En se retournant, il vit arriver Violette, et au sourire entendu de Lucy il se retourna à nouveau, préfèrent se cacher plutôt que d’affronté l’ange sur ce terrain-là. Joyeuse comme pas deux, elle s’approcha de la reine en lui offrant un délicat sourire. « Bonjour mademoiselle, je suis enchanté de vous connaitre. » Faisant une élégante révérence, elle se tourna vers Neros, lui attrapa vivement l’épaule pour qu’il se penche vers elle et lui déposa un bruyant baiser sur la joue avant de lui faire un clin d’œil entendu. Elle ne voulait pas mettre son petit-fils dans l’embarra, loin d’elle cette idée. « Soit aimable mon chérie. » C’était plus une remontrance qu’un conseille. Elle disparut et il en fut soulager. Il fallait le comprendre, sa grand-mère était un ange, elle connaissait sa réputation auprès des femmes, voir sa réputation tout court, et c’était assez gênant car elle lui en parlait comme si tout cela était normal et ne la toucher pas, mais c’était tout de même déplacer non seulement par ce qu’il était de son sang et de sa chair, mais par ce qu’elle était pure et innocente. Enfin … elle avait fait son père, mais ça c’était une histoire à part, et loin des envies bestial que lui pouvait avoir. Il écouté ses plus bas instinct, elle, prôner l’amour et l’union éternel. Deux idées en contradiction total.

Le rouquin grimpa enfin sur sa monture, avant de le faire redresser, puis de ce tourné vers Violette. « Encore toi ? » Ria-t-il faussement contrarier. Cela devenait absolument récurant au fond. « Je crois qu’ils ont décidé qu’à présent on ne travaillerait plu qu’ensemble. La team Rolette, ou Nevio peut être ? » Finit-il en éclatant de rire cette fois. C’était risible et ça ne casser pas trois pâtes a un canard, mais c’était tout de même amusant de voir qu’on s’évertuer à les coller ensemble. Rapprochant son dromadaire du sien, il reprit son calme en se penchant sur elle. « Si tu as peur du noir, je te promet de te tenir la main princesse. » Un clin d’œil et un sourire moqueur suivirent son murmure avant qu’il ne face dévier sa monture pour partir en direction de la pyramide. « Aller, on y va. » Il vit de loin Lucy lui faire un signe et il lui répondit gentiment. Etouffante, c’était le mot.
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Dim 31 Mar 2013, 23:46

« Encore? ». Violette sourit à Kyo qui s'indignait de la voir encore une fois partir dans le désert. Elle lui avait raconté le début de son épopée, Marxus, Neros l'insupportable. Seulement, en ce qui concernait ce dernier, elle s'était arrêté là, ne mentionnant pas réellement ce qu'il s'était passé depuis au démon qui l'avait élevé. C'était assez gênant en réalité. Bien sûr, avec Lyu c'était différent puisque son pêcher était la luxure et qu'il n'était jamais étonné de ce qu'elle lui contait, cependant avec Kyo, c'était au dessus de ses forces. « Ne t'inquiètes donc pas, je vais réunir les chefs de race et ensuite nous bâtirons la cité des humains. Comme ça, je serai encore plus souvent dans le désert! Cela dit, tu n'as pas à t'en faire, Neros est quelque peu turbulent mais il est assez fort pour me protéger au besoin ». Elle lui fit un clin d'oeil, amusée. Seulement, le démon de la colère, lui, semblait ne pas aimer les endroits chauds, et heureusement d'ailleurs parce que cela évitait qu'il ne l'accompagne. Elle avait envi de revoir Neros, d'ailleurs depuis la dernière fois, elle avait envi d'en finir. Il la hantait trop pour qu'elle laisse les choses en l'état. Ils devaient faire l'amour pour qu'il sorte de sa tête une bonne fois pour toute. Même lorsqu'elle était dans les bras d'inconnus, elle pensait aux deux fois où ça avait faillis se faire, cela en devenant insupportable, obsédant, tellement qu'elle avait appelé l'un de ses amants par le prénom de l'humain, ceci produisant chez l'homme qui lui faisait l'amour un drôle d'effet. En même temps, si un homme l'appelait Joséphine en plein acte, peut-être qu'elle lui abattrait sa main sur le visage... à moins qu'elle ne trouve ça drôle, se disant que le pauvre avait dû essuyer un refus de la dite jeune femme. Enfin, entre l'ancien réprouvé et elle, il n'y avait pas eu de refus, juste... hum... des évènements perturbateurs. Franchement, ce vieillard était mal tombé mais elle n'avait pas pu faire autrement que de le faire entrer. Si elle l'avait ignoré, il se serait probablement invité tout seul et les aurait vu en plein action. Ils seraient vraiment passés pour des animaux, incapables de se contrôler, même lorsque la vie d'un individu était en jeu. « Et puis comme ça, elle pourra le convaincre de faire des choses avec elle. ». La voix de Lyu venait de résonner derrière l'humaine, ses paroles produisant une réaction étrange chez Kyo qui se mit à interroger. « Des choses? Quoi comme choses? ». Violette lança un regard plein de « reconnaissance » à Lyu qui ne savait décidément pas tenir sa langue. Elle expliqua alors : « Tu sais, comme il est humain, je me suis dit qu'il pourrait m'aider avec la cité ou pour d'autres choses. ». « Surtout pour d'autres choses... ». « Mais tais-toi! Est-ce que je viens t'embêter avec ta tentative de rapprochement de Mitsuko moi?? ». Le démon qui souriait d'un air un peu bête redevint neutre. « Oui enfin, ce n'est pas pareil. Je n'ai pas envi de faire des choses sexuelles avec elle MOI. ». « Quelles choses sexuelles? ». Kyo sembla prendre conscience d'un coup que Violette n'était pas une enfant. Le pauvre, ça faisait mal. Lyu s'approcha de lui, lui attrapant l'épaule. « Hé ouais, ça pousse vite! Surtout elle! M'enfin, ne sois pas triste, tu as encore la petite Violette à pouponner. ». Et bla et bla. En réalité, la reine profita de leur conversation pour partir, n'ayant aucune envie d'expliquer à Kyo que oui, un monsieur avait déjà pénétré en elle, qu'elle aimait ça, etc etc. Ça aurait été vraiment gênant.

Elle arriva donc dans le désert un soir avant le rendez-vous, prenant le temps de faire ses bagages et assez de nourriture pour deux pour tenir quelques jours. Après tout, elle ne savait pas combien de temps ils resteraient dans la pyramide mais s'ils se retrouvaient coincés dans une pièce pour une semaine, il fallait bien qu'ils puissent tenir. Le lendemain, après une bonne nuit de sommeil, elle rejoint Neros, tombant sur une femme qui semblait véritablement heureuse de la rencontrer mais qui ne se présenta pas. Une de ses amantes qui aimaient rencontré les autres pour se rassurer sur sa beauté? Quoi que non. Violette se rendit bien vite compte que son anti magie ne fonctionnait pas avec elle. Il s'agissait d'une ange, et donc, pas l'une des femmes avec qui l'humain couchait. Elle s'en fichait au fond, il pouvait même lui présenter toutes celles avec qui il avait déjà partagé son lit, ce n'était pas elle qui allait chercher les conflits. Elle ne comprenait pas ces femmes prêtes à se battre pour garder un seul homme alors que la vie offrait la possibilité d'en avoir plusieurs sans prise de tête. La reine disait ça mais elle trouvait que sa déesse et son mari formait un joli couple, un peu étrange mais sympathique au final. Ça devait juste être assez électrique parfois... mais, pour tout dire, elle n'imaginait pas du tout Mitsuko faire l'amour, non, c'était inconcevable pour Violette. Mais bref. Une fois qu'ils furent partis, elle lui sourit, pour répondre à l'une de ses répliques. « Si tu as peur tout court, je te tiendrai la main mon chéri. » En fait, elle se moquait un peu de lui par rapport à ce que l'ange lui avait dit, son regard amusé. En chemin, elle finit par lui dire : « Elle est belle ton ange en tout cas, tu as de la chance. Le mien a huit ans. D'ailleurs tu es... son oncle. ». Elle rit. Finalement, Mitsuko avait des fils un peu partout et même un petit fils ce qui donnait au final, une grande famille. « Et puis, pour tout t'avouer, j'aime bien travailler avec toi. Tout dépend du travail bien sûr mais du moment qu'il arrête de pleuvoir des vieillards sans tente au beau milieu de la nuit, moi ça me va. Cela dit, dans la pyramide, il n'y aura que nous deux normalement... ». C'était une invitation mais elle se mit à regarder le paysage comme si de rien n'était. Ils furent d'ailleurs au lieu de rendez-vous en quelques heures, un groupe de voyageurs les attendant. Ils leur expliquèrent ce qu'ils devaient faire, leur donnant même une sorte de plan totalement incompréhensible tellement il était griffonné. Ce plan avait été établi par quelqu'un sachant voir à travers la matière apparemment, mais en tout cas, le dessin n'était franchement pas son fort. Ils les entrainèrent ensuite vers la trappe pour qu'ils y aillent, leur expliquant qu'ils reviendraient les chercher dès qu'ils le voudraient, que pour cela, ils auraient juste à activer l'objet magique qu'ils leur avaient donné. Refermant l'épaisse trappe derrière eux après leur avoir fourni de quoi s'éclairer, plus aucun bruit ne se fit entendre, comme si le couloir dans lequel ils se trouvaient était totalement isolé de reste du monde, aucun son ne passant. Violette réfléchit cinq minutes puis formula alors à haute voix : « Je me demande bien de quel objet magique ils parlaient... le plan ou les torches? ». Ce qui voulait dire en clair qu'ils avaient totalement oublié de leur donner l'objet en question. « Bon... de toute façon, c'est pas ce qui m'intéresse pour l'instant... ». Elle se tourna vers lui, le plaquant contre la trappe qui venait de se refermer, son regard ne trompant réellement pas sur ses intentions. « Figure toi que la dernière fois m'a laissé sur ma faim et que j'ai bien l'intention de remédier à ça. ».
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Lun 01 Avr 2013, 14:34

Oncle ? Neros n’avait pas arrêté d’y penser. Il avait un neveu ? Comment était-ce possible ? C’était possible, ça oui, avec la plâtré de frère qu’il avait, mais pour que celui-ci soit un ange il n’y avait pas beaucoup de solution. Seulement son seul frère angélique était mort. D’une façon assez mystérieuse d’ailleurs. Il avait laissé derrière lui un fils ? De huit ans déjà. Pourquoi n’en savait-il rien ? Etait-ce seulement réellement possible. Haruki n’était pas bien plus vieux que lui, et si son fils avait déjà huit ans … pour un ange c’était de petite vertu. Avec une « famille » comme la sienne on ne pouvait plu s’étonné de rien. Plonger dans ses pensées, le rouquin avait à peine fait attention à ce qu’on leur disait, regardant la carte qui ressemblait plus à de l’art contemporain de mauvais gout plutôt qu’autre chose. Tous cela pour finalement terminer dans les sous-sols de la pyramide, du moins ce qui s’emblait l’être. Il faisait affreusement sombre ici. Ils n’avaient que leur torches pour s’éclairé, et encore pour y voir à a peine deux mètres devant eux, pas plus. Il y avait aussi une légère odeur de rats mort et de poussière, ce qui était la preuve que cet endroit n’avait pas était visité depuis fort longtemps. Il faisait même froid, surement du au faite qu’ils étaient enterré sous terres, loin de la surface et de la chaleur du soleil, bien gardé par la terre. Neros ne savait pas ce qui les attendait ici, et très franchement il n’aimait pas cette situation. Autre fois cela ne l‘aurait pas déranger, il y voyait en pleine nuit comme en plein jour a ceux-ci près qu’il n’y voyait aucune couleur, aujourd’hui il y voyait mieux dans le noir que la moyenne, c’était vrais, mais lors ce que le noir était opaque il lui était impossible de distingué quoi que ce soit, autant dire qu’ils allaient devoir y aller à tâtons, et l’hésitation, il détesté ça. Neros offrit toute son attention à Violette, n’ayant de toute façon pas beaucoup d’autre choix. Elle avait raison, ils avaient parlé d’un objet, mais a part ce plan miteux et leurs torches ils n’avaient rien d’autre pour ce sortir de là que leurs matières grise. Neros était plutôt bon lors ce qu’il s’agissait de retrouvé son chemin, il avait une très grande perception dans l’espace et un sens de l’orientation aiguisé, ce qui le contrasté totalement avec son père de ce point de vue-là, lors ce qu’on savait qu’il pouvait se perdre dans sa propre chambre … il était tout de même persuader que Adam en avait rajouté une tonne en lui racontant cette histoire et que son père avait dû être sacrément soul pour en arriver à ne jamais trouvé son lit.

Le jeune homme rit tout seul jusqu’à ce qu’il soit forcé de ravaler son amusement, son dos rencontrant brutalement le mur, Violette coller à lui. Pendant un instant il resta incertain, n’étant pas sur de ce qui ce passer. Pourtant il le réalisa bien vite. La jeune femme contre lui, dans cet endroit obscur, son regard tinté de désir. Il aurait fallu être fou pour refuser des avances pareilles. Fou ou respectueux de sa personne et de la sienne. Lui offrant le plus beau des sourire, il entoura sa taille d’un bras, la plaquant avec force contre lui. Il avait envie d’elle, peut-être même plus qu’il ne l’aurait souhaité, et si il c’était écouté cela ferait longtemps qu’il aurait lâché sa torche et qu’il l’aurait prise contre la roche. Son parfum était délicieux et son corps tout simplement un rêve pour les yeux, mais à cette instant, en ce lieux il aurait trouvé ça décevant de s’adonner à ce genre de jeu. « Tu ne peut pas imaginer comme cela me coute, mais je ne peux pas. » C’était tout à fait ironique vu qu’il était en train de tout simplement lui dévoré le cou sans aucune retenu, sa main sur ses reins la collant a lui. Un paradoxe peut commun. Il fallait le comprendre, une femme offerte ainsi il fallait avoir un sacré sang froid pour arriver à rester froid devant elle. Violette aurait pu très bien écarter les cuisses qu’il en aurait pas ressenti plus de désir que celui qu’il avait à cette instant. Sa langue remonta jusqu’à son oreille, lui léchant sensuellement le lobe. Ça lui couté, ça lui couté énormément de devoir ce résonné. « Tu es une femme qu’il faut gouter, prendre le temps d’apprécier. Je refuse de faire un cout comme ça, a la vas vite dans un couloir sombre et puant la mort. » Il ce redressa en s’écartant doucement d'elle, avec une infinie difficulté. « Si c’est la seule et unique fois comme tu m’en as prévenu, alors je préfère en profité et n’en avoir aucun regret. Et puis… » il glissa sa main sous son menton pour le lui relevé tendit qu’il ce penché sur elle avec un léger sourire mesquin, effleurant ses lèvres. « tu es une princesse, ce n’est pas digne de toi tout ça. » Bien sûr qu’il ce moqué, mais ce n’était pas tout à fait faut non plu. Elle aller finir avec une très mauvaise réputation si elle sauté sur tous les hommes peu importe la situation. Un peu à l’image de la reine déchu, et vue ce que son père en disait ce n’était pas une très bonne chose d’être vue ainsi pour une femme de ce rang. Alors oui, ce n’était effectivement pas juste que l’on juges les femmes sur ce genre de chose alors que les hommes on trouvait cela normal, mais il y avait une explication naturelle a tout cela, et ça montré un plus grand respect en vers la gente féminine que masculine. Peu importe, il refuser de faire ça ici. Elle pourrait le traiter de petit joueur, ou de délicat, ce qui était certain c’était que si ils devaient le faire ce serrait dans un endroit confortable où il pourrait réellement prendre son temps et du plaisir, pas avec la sensation de le faire dans un placard pour que ce soit fait une bonne fois pour toute et qu’on en parle plu. C’était comme gâché un grand crue en le mélangent avec le pinard du coin. Oui c’était cela, du gâchis pur et simple et il se refuser à tomber si bas.

« Aller, viens. » C’était un ordre, dit avec une certaine douceur, et pourtant il ne lui laissa pas le choix lui attrapent vivement la main, pour la simple et bonne raison que plus vites ils étaient sortie de là et plus vites ils pourraient en finir avec leurs « autre affaire ». A la fin du corridor il y avait déjà un croisement. Neros prit à droite sans la moindre hésitation, sans non plu regarder la carte. Il lui suffisait d’un regard pour l’avoir dans la tête, en totalité, chaque trait a sa place, même les plus inutiles. Il marché d’un pas sur tournant et retournant en ne laissant pas le choix a sa reine. Le plus dur serrait de retrouvé leur chemin, tous les couloirs ce ressemblé avec cette ombre et il était toujours plus simple de s’enfoncer dans un labyrinthe que d’en sortir, mais jusque-là le rouquin ne pensait pas c’être trompé et dans sa tête il tracer un chemin sur la carte, le chemin qu’ils avaient déjà parcouru, jusqu’à arriver à un carrefour. Trois branches qui se défaisait du même couloir, dont une qui n’était pas sur le plan. Ou il était apparu et n’était pas là avant, ou l’homme qui avait dessiné cette carte ne l’avait pas vue. « Nous voilà bien. » Soupirât-i plus pour lui-même que pour partager son exaspération. Ce disant que le seul moyen de savoir c’était encore d’y aller, il fit un pas en avant, mais voilas il sentit sous son pied comme si la pierre était en train de ce dérobé. Des bruits significatif résonnèrent alors, comme un mécanisme rouillé ce mettant en marche, des cliquetis qui firent tout de suite percuté à Neros qu’il avait déclenché un piège. Autour d’eux les couloirs ce fermèrent, des murs descendant du plafond pour les enfermé, ne laissant plu qu’une seule issu, issu d’où il était évidant que le piège venait. Ce retournant vers Violette, il la poussa sans hésiter contre l’un des murs sur le côté, alors que déjà les flèches fusé derrière lui. Neros fit protection de son propre corps en gardant la jeune femme écrasé entre lui et le mur. Il sentit une flèche lui rentré dans la hanche, transpercent sa chair pour si logé. Il serra les dents, ne lâcha pas prise jusqu’à ce qu’il n‘y est plu aucune bruit. Il libéra alors Violette, reculant pour ce laissé glisser contre le mur sentant la douleur envahir son corps, le sang s’échappant de la plaie. Baissant les yeux sur la flèche elle était entrée juste en dessous des côtes et n’avait pas l’air d’avoir touché d’organes vitaux, heureusement. Elle avait dévié de sa trajectoire initiale, les autres c’étant toute planté dans le même mur en face. Cela lui fit un mal de chien lors ce qu’il la toucha, ses vêtement ce tintent un peu plus de rouge. Il sera alors les dents et brisa le bois de la flèche. Neros retira son sac comme il put pour le posé à côté de lui levant les yeux sur Violette. « J’ai de l’alcool dans mon sac et de quoi faire un bandage, mais je ne peux pas enlever le carreau, c’est un harpon. » Autrement dit le fer était fait de façon à ce qu’elle glisse dans le corps et une fois de dans lors ce que l’on désirait la retiré elle arraché la chair tout autour en l’accrochant comme un hameçon dans la bouche d’un poisson, ou comment l’homme peut ce montré particulièrement vicieux et pervers pour faire souffrir ses semblable avant la mort. Neros arracha le vêtement autour de la flèche, grimacent pour cacher son mal. A chacune de ses respiration il sentait le fer dans son corps bouger et lui faire un mal de chien, et quand son regard se posa sur le bois entré dans son ventre il grimaça, ce n’était pas franchement jolie à voir. « Très bien. Il va quand même falloir que tu l’enlève. Je vais faire une hémorragie, mais tu n’’as cas prendre mes vêtements pour faire tampon. Assure-toi juste de ne pas m’arracher tout le bassin. » Il n’avait peut-être pas besoin de lui dire tout ça, peut-être qu’elle savait très bien si prendre, qu’elle avait déjà soigner des gens avant lui, ou avait eu à faire à ce genre de blessure, amis ça le rassuré de le dire, car a cette instant il était réellement mal en point. « Tu vois c’est dans ces moments-là que je regrette mes pouvoirs. » chercha-t-il a plaisanté, même si son sourire ce perdit dans une grimace, la brulure étant un tantinet insupportable. Il prit alors un bout de tissu, le roula en boule et ce l’enfonça dans la bouche en attendant qu’elle lui arrache la flèche et lui mette l’alcool. La douleur serrait réellement insupportable, il le savait et si préparé.
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Mar 09 Avr 2013, 14:18

« Je dirai juste qu'un coup vite fait vaut mieux que rien!! ». Seule réaction immédiate de Violette à l'état de Neros. Elle lui sourit quand même, montrant qu'elle plaisantait. En fait, elle essayait de dédramatiser mais elle ne savait absolument pas si elle voulait éviter que lui panique ou que ce soit elle. Il était hors de question qu'un humain meurt devant elle, surtout après lui avoir sauvé la vie. « Mais quel idiot!! Si tu veux pas qu'on couche ensemble, y a d'autres moyens de le faire comprendre! ». Elle en avait assez de voir des blessés, d'apprendre que les gens qu'elle aimait avaient disparu ou étaient morts. Le galet qu'elle possédait s'illuminait plus souvent de rouge que de blanc, ce qui voulait dire qu'encore aujourd'hui, il y avait beaucoup plus de décès chez les humains que de naissances. Fixant le jeune homme, elle s'approcha de ses lèvres avec un petit sourire. Bien sûr qu'il avait mal, bien sûr qu'elle ne voulait pas l'embrasser, surtout pas avec le machin qu'il avait entre les dent mais elle voulait juste porter son attention sur autre chose rien qu'un instant, un instant où elle tira sur la flèche d'un coup sec et puissant, reportant son regard sur la plaie pour y coller le tissu. Il saignait abondamment et elle se sentait mal, sa tête lui tournant légèrement. « Raa! Mais c'est pas le moment!! ». Elle se parlait à elle même en réalité. C'est vrai qu'elle était beaucoup plus sensible sur le sujet depuis les évènements récents qui avaient bousculé sa vie, mais elle ne pouvait pas tomber inconsciente à la vue d'un peu de sang comme ça. Certes, il y en avait beaucoup mais non, elle refusait d'être aussi faible. Neros avait besoin d'elle et elle ne devait, et ne pouvait, pas le laisser tomber! Elle suait, le visage livide, se forçant à regarder ailleurs. Il ne guérirait jamais comme ça, naturellement. Et puis même, l'endroit était truffé de pièges en tout genre et les voyageurs ne leur avaient même pas laissé de quoi les appeler en cas de problèmes. Était-ce de nouveau un coup monté de mauvais goût? Passant l'une de ses mains sur son front pour essuyer sa transpiration tout en veillant à maintenir le tissus bien appuyé sur la plaie afin qu'il y ait une pression suffisante, elle se retrouva couverte de sang. Elle essayait de réguler sa respiration, de se calmer, de penser à autre chose mais ce n'était pas évident. Il fallait qu'elle retire son propre sac à dos pour y attraper son bracelet, mais cela n'allait pas être facile. Neros perdait trop de sang et il n'allait de toute façon pas pouvoir être dans un bon état pour repartir. L'odeur du liquide de vie lui montait d'ailleurs à la tête, comme une énième cause de l'évanouissement qui lui pendait au nez. Elle devait imaginer que c'était du coulis de framboise ou quelque chose comme ça. Violette savait que son elle enfant avait traversé bien des épreuves en faisant appel à son imaginaire, elle devait faire pareil. Fermant un instant les yeux, elle retira l'une des bretelles de son sac à dos, changeant de main pour retirer l'autre tout en murmurant un « Ça va aller... ». Parlait-elle à cet homme ou à elle-même? Peut-être aux deux mais s'encourager soi-même était aussi une bonne chose pour avancer. Ouvrant son sac, elle fouilla dedans à une main pour en sortir son bracelet au bout de quelques secondes de recherches. Sa torche s'était éteinte et ils étaient presque dans le noir total. Seulement, les grosses perles qui composaient le bijoux ne pouvaient porter à confusion. Elle fut soulagée de l'avoir amené. Elle finit par dire doucement. « Écoute, je ne suis pas très forte dans ce domaine mais ce bracelet me permet d'user de magie blanche. Je vais pouvoir te soigner mais ça risque de prendre du temps... ». Elle n'allait pas non plus lui dire qu'elle se sentait mal, inutile de l'inquiéter pour rien. Elle lutterait.

La jeune reine se plaça donc entre les jambes de Neros, prenant appui sur son torse, du côté opposé à la blessure, pour être le mieux placée possible. Enfilant le bracelet elle se concentra, retirant le tissu pour laisser la plaie apparente. Le sang s'en échappait et l'ouverture n'était pas belle à voir, pas du tout même, mais Violette devrait faire avec. Le bijoux se mit alors à briller, d'une douce lumière apaisante et le tissu extérieur commença à se réparer. Bien sûr, la déchirure allait se refermer en peu de temps mais les dégâts que la flèche avait fait à l'intérieur du corps de l'ancien réprouvé semblaient bien importants pour que cela soit fini en dix minutes. Ça prendrait plus de temps, peut-être même une heure et la jeune femme n'était pas sûre de tenir assez. User d'un objet magique alors qu'on ne connaissait rien à la magie était réellement épuisant et elle sentait déjà la fatigue l'embrasser comme une vieille amie souhaitant l'amener au pays des songes. Elle se décida donc à parler pour rester éveiller. « Tu sais, tu dis n'importe quoi. Je ne suis pas comme ces femmes qui veulent paraître dignes et sans problème alors que par derrière, ce ne sont que des cochonnes avides d'hommes et de pouvoir. Je ne veux pas être hypocrite. Je dis ce que je pense et je fais ce que je veux, même si ça ne plait pas aux autres. Que l'on dise de moi que je ne suis qu'une sal*pe ou une mauvaise reine ne me dérange pas. Je sais que l'on ne peut pas satisfaire tout le monde. ». Elle se retint de bailler, continuant cependant, posant sa tête contre l'épaule de Neros. « Je vois le sexe comme quelque chose de plaisant, comme manger ou dormir. J'aime ça, ça ne fait aucun mal, au contraire, que ce soit dans un couloir miteux ou dans une chambre grand luxe. Je ne veux pas me servir des hommes par cet intermédiaire et je ne veux pas m'y attacher, mais ça ne veut pas dire non plus que je le ferai avec n'importe qui. Pourtant, avec certains, je le referai volontiers, mais je sais que c'est comme ça qu'on finit par s'attacher, par devenir jaloux, possessif et j'en passe. L'un ou l'autre, une fois attaché, la relation devient compliquée. ». Elle commençait doucement à dériver vers le monde des rêves, concentrant son énergie pour guérir l'humain, la plaie refermée depuis quelques minutes déjà. Au moins, il garderait son sang. D'ailleurs, peut-être devrait-elle lui en donner? Elle ne savait pas s'il en voudrait et elle se sentait tellement lourde qu'elle n'arrivait plus vraiment à réfléchir à comment réussir un tel exploit. « C'est pour ça, je crois que c'est une mauv... ». Une mauvaise idée. Voilà ce qu'elle voulait dire. Elle avait passé trop de temps avec lui et serait sans doute amenée à en passer encore si les voyageurs s'en mêlaient. Elle préférait vraiment ne rien lui devoir, qu'il ne lui doive rien, qu'ils ne s'entendent pas et s'ignorent. Seulement, ce qu'ils avaient vécu faisait qu'elle avait envi de lui, rien qu'à le voir. C'était énervant. Enfin, en attendant, elle s'était endormie comme un bébé, la main toujours collée à son ancienne blessure, pleine de sang séché.
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Mar 09 Avr 2013, 15:45

A demi conscient Neros faisait son possible pour ne pas s’évanouir sous la douleur. Au moment où elle lui avait arraché le harpon il avait bien crue mourir, la brulure était si intense que l’effet d’un fer chauffé à blanc apposé sur sa peau ne lui aurait pas fait moins mal. Il c’était déjà blesser dans sa vie, casser un bras, une jambe, mais avec un corps robuste d’être magique, et sur tout de quoi ce soigner en quelques minutes, ou tout simplement faire passer la douleur pour une piqure de moustique. Cette fois il ne pouvait se réfugier derrière la magie, et affronté cette horreur. Insupportable. Ses dents se serré autour du tissus enfoncer dans sa bouche avec toute la force dont il était capable pour s’empêcher de crier. Cela fini par se calmer, pourtant l’alcool lui faisait un mal de chien et quand elle bouger le tissus sur la chair a vif il avait l’impression de sentir ses entrailles ce faire arracher. Il entendait la voix de Violette de l’autre côté de ses paupières closes, mais c’était comme si un mur d’eau les séparé, sa voix comme étouffer par sa tête tournante. Cela lui apprendrait à vouloir sauver les gens. Dire qu’on le disait égoïste. Peut-être devrait-il faire des efforts pour ressembler un peu plus à l’image que les gens se faisaient de lui. Neros ce concentra pourtant le plus possible à ce qu’elle lui disait. Il savait qu’il ne devait pas sombrés, une fois qu’il serait un poids mort pour elle qu’est-ce qu’ils feraient ? Il ne savait pas trop ce qu’elle lui faisait, mais il se sentait soulager, la douleur moins intense et cela lui suffisait. Finalement il ouvrit les yeux. Il faisait si sombre, et il y voyait floue ce qui n’arranger pas sa situation. C’est à peine si ce fut à cet instant qu’il réalisa qu’elle était appuyée contre lui. Baissant les yeux il vit sa main sur son ventre, la lui retirant il grimaça. Tout ce sang était à lui ? Pas étonnant qu’il ce sante si affaiblit et un peut frileux. Il ne vit plus de blessure, qu’une légère marque sur sa peau, mais il avait toujours mal, moins certes, mais il ne voulait pas imaginer les dégâts qu’avait produits le harpon quand elle avait retiré la flèche. Levant les yeux sur Violette, elle ne bouger plus, inerte coller à lui, et vue le poids qu’elle abandonner sur sa personne il comprit vite qu’elle avait sombré de fatigue. Neros retira le tissu de sa bouche reprenant une respiration normal, pouvant à nouveau soufflé. Sa tête tomba en arrière heurtant le mur où il s’appuyait. Le moment qu’il passa là, sans bouger, juste à ce remettre fut long. Pas assez à son gout. Pourtant très vite il réalisa qu’ils ne pouvaient pas rester ici éternellement et il n’aller pas attendre que Violette ce réveille, sur tout épuiser ainsi, où pourraient-ils aller ? Le chemin par où ils venaient était à présent bloquer par un épais mur de roche. C’était désespérant.

« Tes collante comme fille. » Il fut forcé de la prendre pour l’éloigner de lui, la laissant doucement à sa place alors qu’il se lever le plus prudemment possible, son coter droit étant toujours aussi douloureux. Il avait l’air d’un idiot avec ses vêtement déchiré, imbibé de sang jusqu’à la moindre fibre. C’était bon a jeté, ce qu’il fit, les abandonnant dans un coin sans regret. Attrapant son sac, il rangea tout ce qui était sorti, restant toujours prudent au moindre geste, sentant son corps le tiré du côté droit. Il finit par attacher son sac avec celui de Violette. Vue comme elle dormait, il ne donnait pas chère de son énergie quand elle s’éveillerait, il avait beau être blesser, fatiguer, il était encore les files de ses parents et capable de toute affronter ! Personne n’était aussi têtu et persévérant que lui, inutile de le spécifier. Enfilant les deux sacs superposé sur son dos il s’accroupie près de la jeune femme. Il n’était pas franchement habitué à ce genre de situation. Comment réveiller quelqu’un sans le secouer ? Posant sa main sur l’épaule de Violette il la bouscula un peu mais n’obtenue aucun résultat. Après un petit instant il soupira. « C’est moi le blesser ici. » Claquant ses doigts devant son visage il n’eut pas plus de résulta. Il n’allait tout de même pas attendre qu’elle finisse sa sieste. Plus ils perdaient de temps ici, moins vite ils serraient dehors. Voilà qui pourrait la motivé vue qu’elle avait tellement envie de lui. S’approchant de son oreille, il lui susurrât la voix suave à souhait. « Plus vite sortie, plus vite dans mon lit. » Ce reculant, il ne vit aucun changement et commença à s’impatienté. Puisse que même la perspective de finir dans son lit n’y faisait rien, il ne voyait plu qu’une seul solution valable d’être testé.

S’appuyant sur le mur derrière elle, il se pencha, glissant sa main libre sous son menton pour avoir un parfait accès a son visage. Il lui aurait bien jeté de l’eau a la figure, mais ne pouvait en gaspiller, ou bien la giflé, mais là elle risquer de ce réveiller de mauvaise humeur et le temps qu’ils allaient encore devoir passer entre ces murs c’était hors de question. Posant sa bouche sur la sienne, il lui offrit le baiser de ses rêves, du moins si il avait commencé par juste vouloir l’embrasser sans réel désir particulier il se trouva prit a son propre piège. Ses lèvres ce mouvant doucement, les yeux fermés, concentré sur la caresse offerte et la douceur qu’il lui voler. Au final il n’y réfléchit même plus, son désir bien trop grand pour s’en soucier, n’ayant nul autre besoin que d’assouvir cette envie. De toute façon, n’avait-il pas mérité une récompense pour être un brave sujet ? Lui pensait que si, pour lui avoir sauvé la vie, il avait bien le droit à un peu de réconfort. Le plaisir qu’il retira de ce baiser était inavouable, et lors ce qu’il se retira pour rencontrer ses yeux verts, il lui sourit tout simplement avant de se redresser l’air de rien. « Ce qu’un homme ne doit pas faire pour obtenir l’attention d‘une femme... Et après vous vous plaignez du peut temps qu’on vous offre. Tss... » Il cacha un rire en se levant, ne pouvant s’empêcher de posa sa main sur les côtes, la douleur le tirant dans ses grands gestes. Tout ce qu’il désirait maintenant c’était sortir de là. Tenant fermement les deux languettes des sacs, de ses mains, il jeta un regard dans le couloir d’où venaient les flèches. C’était la seule issue, et cela lui fit bien mal de l’admettre. « Aller princesse, j’aimerais bien revoir la lumière un jour. » C’était peut dire, ils n’avaient même plu de quoi s’éclairés, déjà qu’avec de la lumière il n’était pas capable d’évité un piège, alors sans, il ne laisser pas chère de leur peau. Sauf si… « Abrutie ! » Nero avait complétement oublié. Attrapent ses cartes a sa ceinture il regarda celle lui offrant un bouclier magique et il ragea contre ses mauvais réflexe d’ancien réprouvé qui se croyait plus fort que tout, alors qu’il n’était qu’un minable, minable qu’il était toujours vue ce que sa bêtise lui avait couté. Peu importe ce qui était fait, était fait. Il garderait cette carte dans sa main, le prochain piège il y serrait préparé. Autant continuer sans ce posé de question, à ce rythme-là il aller bientôt devoir ce frappé la tête contre un mur pour oublier quel imbécile il pouvait être. Lui oublier des choses ? Impossible ! Par contre, être complétement déconcentré, ça c’était l’un de ses plus gros problème, et on ne pouvait pas dire que Violette l’aidée à réfléchir correctement.

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Mar 09 Avr 2013, 17:11

Violette ouvrit les yeux sur le visage de Neros qui... Elle se redressa, se frottant le visage dans ses mains, un mal de crâne la tenaillant. Depuis quand était-elle en train de dormir? Elle se sentait faible mais quand elle jeta un coup d'oeil à l'ancien réprouvé, elle émit un grognement. Elle se releva, dégainant son sabre pour détacher les deux sacs, le sien tombant sur le sol. Elle finit par lui dire d'une voix qu'elle voulait énervée. « Voleur! ». Non mais pour qui se prenait-il pour oser penser qu'elle n'était pas assez forte pour porter son propre sac? En plus, vu la situation, elle avait besoin de quelque chose qui se trouvait dedans : la baguette magique de Pirouette. Un nom ridicule, certes, mais un objet bien utile dans leur situation, c'est à dire, dans le noir presque complet. Elle fouilla donc dans son sac pendant quelques longues secondes, énervée d'être aussi fatiguée et finit par trouver ce qu'elle cherchait plus quelque chose qui l'aiderait sans doute : une gourde de thé froid. Brandissant la baguette, des lucioles sortirent de nulle part, éclairant alors le couloir. Elle sourit, positionnant ses affaires à leur place, c'est à dire sur son dos. Elle adorait voir ce spectacle, vraiment. Se rapprochant de Neros, elle lui prit le bras pour le taquiner. « Tu ne trouves pas ça romantique toi? Allez, je suis sûre que ton petit cœur en est tout en émoi! ». Elle rit, le lâchant presque aussitôt. Seulement, alors qu'ils avançaient dans le couloir, la jeune humaine vit quelque chose, une forme, une personne. Elle s'arrêta, laissant celle-ci arriver à eux, une femme qui fit un geste de la main qui leur signifia de s'arrêter. Elle sembla prendre une grande inspiration avant de tenir quelques propos qui ennuyèrent très vite Violette. « Je suis le grand esprit de la pyramide! Répondez à mes questions ô mortels et je vous laisserai pa... ». Le prétendu grand esprit s'arrêta dans son élan, la reine chuchotant un « Allez viens, cassons nous. » à Neros, l'entraînant avec elle plus profondément dans le couloir. Elle n'avait pas que ça à faire de répondre à des énigmes... franchement. « Mais revenez!! ». C'était le cri scandalisé de leur interlocuteur passé qui, visiblement, ne pouvait rien faire contre la décision unilatérale de la jeune femme qui ricana. « J'ai toujours cru que ce genre de pièges tenait suffisamment les individus en respect pour leur faire croire n'importe quoi. Dans tous les contes qu'on a lu à mon moi enfant, j'ai souvent remarqué que c'était lorsque les gens restaient et ne répondaient pas correctement qu'une trappe ou un piège se déclenchaient. Alors... si l'on ne reste pas et qu'on ne répond pas, logiquement, il ne devrait rien nous arriver. ». Calcul plus qu'enfantin, c'était vrai, mais qui s'avéra tout de même véridique puisque le « grand esprit de la pyramide » abandonna son office.

Le calme se fit plutôt rapidement, les couloirs se succédant. En fait, elle ne faisait que le suivre, regardant les lucioles qui leur ouvraient la voie. Seulement, au bout d'un moment, elle tourna son regard vers lui, remarquant qu'il avait dû encore perdre ses vêtements en route... ou alors, elle ne l'avait tout simplement pas remarqué plus tôt. Elle inspira calmement, ne détournant pourtant pas vraiment les yeux, assumant parfaitement d'être une vilaine voyeuse. En même temps, c'était lui qui s'exposait ainsi, elle n'y pouvait rien. « Il va falloir que tu perdes cette mauvaise habitude de te déshabiller tout le temps si tu n'as pas envi de le faire dans un couloir miteux. ». Elle finit par passer devant lui afin d'ouvrir la porte qui se tenait devant eux, seule issue du couloir qu'ils avaient emprunté un peu plus tôt. Les murs avaient bougé plusieurs fois pendant leur voyage et elle n'aurait su dire depuis combien de temps ils marchaient au juste et combien de couloirs ils avaient traversé. Violette se tourna alors vers lui juste avant d'entrer, fixant l'endroit où se trouvait encore la marque de sa blessure passée. « Enfin, à mon avis, tu ne vas pas pouvoir faire l'amour avant bien longtemps avec ça. C'est dommage que je ne sois pas une meilleure guérisseuse... ». Elle sourit. « Tant pis, j'irai voir ailleurs... ». Elle l'embêtait, sachant très bien que vu l'état des choses, elle risquait fort de penser à lui de nouveau, même dans les bras d'un autre. Se retournant alors pour faire face à la salle, elle y vit quelque chose qu'elle n'aurait jamais cru apercevoir dans sa vie. Au sommet d'un escalier, celui-ci descendait dans une salle entièrement remplie d'or et de pierres précieuses. Elle n'aurait jamais su dire même approximativement combien il y en avait. La bouche légèrement entrouverte, ses yeux parcoururent cette salle immense. Les colonnes qui soutenaient le plafond devaient être également en or massif, une allée se dessinant avec difficulté dans tout cet amas de richesses. Était-elle en train de rêver? Était-ce un piège? Ne l'attendant pas, elle descendit l'escalier en vitesse, n'ayant toujours pas bu une seule goûte de thé mais étant à présent totalement réveillée. Une fois en bas, elle prit quelques pièces dans ses mains, riant toute seule avant de les lancer en l'air. C'était magique! Avançant dans l'allée de la pièce qui était aussi éclairée que s'ils étaient en plein soleil, elle gambada un peu à droite et à gauche, touchant les différents joyaux. Puis, elle découvrit une table où étaient disposé nourritures et boissons. Elle s'arrêta net, son petit sourire disparaissant. Finalement, peut-être que c'était trop beau pour être vrai... Il n'y avait pourtant aucune autre porte hormis celle qu'ils avaient franchi pour se rendre ici. Soit c'était un piège, soit ils étaient tombés dans une sorte de salle où ils pouvaient avoir tout ce qu'ils désiraient. Après tout, elle avait eu faim avant d'entrer et elle souhaitait plus que tout trouver ce trésor pour qu'elle et lui puissent vaquer à leurs occupations. Elle se tourna vers Neros avant de lui crier. « Fais un voeu pour voir!! ». Qu'est ce qu'un homme comme lui pouvait bien vouloir souhaiter? Redevenir réprouvé? Manger de la viande? Ça la fit sourire. En attendant, si c'était un piège, il était vraiment long à se déclencher. Elle ne comprenait pas non plus le but de ce dernier...
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Mar 09 Avr 2013, 19:50

Neros était comme un enfant, une couronne sur la tête, une impressionnante collection de bijoux autour du cou, des poigner, et même des doigts, des tonnes d’objets d’une valeur inestimable sous les bras, et plus il avancer plus il porté de chose, le seul problème c’est que très vite il ne put plu rien prendre sans devoir posé quelque chose. Il décida alors de tout posé, puis prit son sac et ce mit a le vidé de tout ce qui lui semblait inutiles pour le remplir de joyeux et d’or. C’était un vrai rêve d’être entouré d’un trésor si grand. Impossible de sortir d’ici sans en avoir profité, pas après la flèche qu’il c’était prise. Il eut du mal à remettre son sac sur le dos, mais une fois bien en place il se remit à prendre des choses fourrant ses poches de pièces et de joyeux, les bras charger. Il avait mal aux reins et à sa blessure interne, mais là cela lui était complétement égale. « Fais un vœu pour voir !! » Le rouquin nouvellement couronné leva la tête vers Violette. Un vœu, pourquoi ? « Quoi ? Tu as trouvé la lampe d’un génie ? » Ce moqua-t-il avant de rire. Ça aurait pu être drôle pourtant. Pourtant si il devait faire un vœu ce serrait de sortir d’ici plus riche que Crésus et donc de son père. Oui, ici il devait bien y avoir l’équivalant de la fortune du Circus. Il pourrait avoir un palais, des femmes, de l’alcool, de l’étoile noir et tout ça comme si il en pleuvait. Est-ce qu’un génie pouvait faire ça ? Surement, mais vue ce que cela couté il valait mieux rester raisonnable. Son regard ce reposant sur Violette. Il fallait demander des choses plus à sa portée, des choses simple et dont il pouvait bien trouver du plaisir. En réalité il ne croyait pas en ces histoire de vœu, il laissa juste son esprits s’évaporé en une simple penser, son regard glissant sur le corps de Violette ce souvenant parfaitement de ses courbes, lors ce que sa pensé fut réalité. A la seconde où les vêtements de la jeune femme disparurent, Neros lâcha ce qu’il avait dans les mains en éclatant de rire. Alors celle-là elle était bonne. -façon de parler bien sur- Le rouquin partit dans une sorte de fou rire contre lequel il ne pouvait rien et la seul chose qui le forcer à ce calme c’était la douleur insupportable qui le forcer au calme. Lâchant son sac il s’appuya contre une colonne plus sous le choc de son vœux réalisé que par la nudité de Violette. Cela ne devait même pas la gêner de toute façon. Lui non plu. Regardant autour de lui, l’humain trouva alors bien plus intéressant que remplir ses poches de ce trésor. Fixant son regard sur une statue en or massif bientôt un jet de vin sortit du pot que le chérubin portait. Souriant comme un bien heureux, toute les autres statues dans la pièce en firent de même, des fontaines de vin tout autour d’eux. A cet instant Neros était comme un fou, courant vers une femme en ivoire, dont le vin glisser de ses mains. Attrapent une coupe il la fit remplir puis il s’assit dans ce qui semblait être un trône, avant de tout boire d’une traite. « Des femmes, du vin… que demande le peuple ? » Avec sa couronne et ses bijoux il ressembler plus au roi des vices, et il s’en porté bien, confortablement installer, n’ayant qu’a tendre le bras pour que cette charmante ingénue ne lui offre du vin de ses propres mains. Il ne lui fallait pas bien plus. « Moi qui voulait sortir de là, je crois que je ne veux plus voir le soleil finalement. » A force de boire il aller être soul, sur tout en vue de son manque de sang important, il lui faudrait peu de temps pour que l’alcool face effet. Qu’importe il était terriblement bien là, comme un prince, oui on ne pouvait pas le dire autrement.

Pendant un instant il se demanda tout de même si c’était ça que les voyageurs les avait envoyé chercher. Il n’y avait pourtant pas beaucoup de chance. Il supposé que ceux qui rentrait ici ne devait jamais sortir, ou devait essayer et ne pas y arrivé. D’ailleurs, comment arriveraient-il a trouvé la sortie ? Il n’en avait même pas envie, alors pourquoi y penser ? Ce redressant pour s’assoir correctement sur son trône, il vida une fois de plus sa coupe avant de la jeté au-dessus de son épaule, ce fichant bien de où elle pourrait finir sa vie. Tout autour de Violette, a son simple souhait, un tapis de coussins apparut. Tous plus moelleux les uns que les autres, ils ne donnaient qu’une seul envie : ce vautré dedans. Un vœu de plus et elle se transforma en vrais reine de Saba et il en sourit. Très sexy. Cela ne lui aller pas trop mal. Jetant sa couronne et ses bijoux il se leva pour la rejoindre. « Puisse que nous sommes dans un lieu qui réalise les souhaits, je vais réaliser le tien. » Il avait un petit côté arrogant qui faisait toujours son effet, ou d’une manière totalement négative la plu part du temps cela agacer, mais certaine femme trouver ça excitant, lui ne se poser pas la question. Ce laissant tomber sur les coussins, il se mit à l’aise, posant sa tête sur l’une de ses mains, le bras plié, les jambes croisé devant lui, son autre bras allongé sur les coussins faisant office de dossier. Il était à son aide, dans une nonchalance peut commune. Entre eux il n’y avait plu de tabou, ce n’était pas comme si il l’avait déjà vue nue, couverte de miel dans une position des plus provocatrice, puis se frotter à lui dans un érotisme scandaleux. Rare était les femmes aussi débridé sexuellement que Violette. Il ne pensait pas qu’elle prendrait cela pour un compliment mais les seules qu’ils savaient être de son niveau étaient encore les prostitués du Circus Brothel. « Et si la reine du désert m’offrait une danse ? Je le mérite bien. » Pour avoir pris une flèche a sa place, une flèche qu’il y a quelque temps il lui aurait laissé prendre. Puis il fallait le comprendre, il adoré voir les femmes danser, il trouvé que le corps féminin pouvait être une réelle œuvre d’art lors ce qu’elle ce mouvais convenablement. Un fantasme, une égérie. Depuis qu’il était dans le désert il était tombé amoureux de cette parade de séduction que faisaient ces demoiselles. La danse du ventre, un régal pour les yeux, pour ses yeux. Ô il l’aurait bien accompagné si il avait pu, mais il était en convalescence, et puis un souhait pour un souhait, c’était équivalent non ? « Ca me mettrait en condition. » sourit-il. La vie était un jeu, et il avait bien l'intention d'en profité.

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Mar 09 Avr 2013, 22:54

Un petit sourire se dessina sur le visage de Violette qui fixa Neros avec une mine qui signifiait clairement qu'elle relevait le défi. Il n'allait pas faire son malin longtemps. « Tu sais, j'ai appris à danser au Circus... ». Le pire c'est qu'elle disait vrai. Lors d'une soirée, elle était venue et avait atterri dans la loge d'une danseuse qui l'avait embauché pour la soirée, lui apprenant des choses très intéressantes. D'ailleurs, cette dernière lui avait même proposé de postuler pour le devenir aussi. Elle avait refusé même si elle avait aimé. En même temps, Neros avait raison, elle était une « princesse ». Ça la fit sourire, gentiment. Elle s'en fichait royalement. Bien sûr, elle avait aussi un masque qui faisait d'elle une danseuse parfaite mais ce genre de danse ne requérait qu'une volonté de séduire et une excitation à son comble, de ce fait, elle n'en avait aucunement besoin. Elle allait danser pour lui parce que, non seulement elle avait envi de lui depuis trop longtemps, mais en plus, elle était tout à fait apte à ne pas se ridiculiser sur ce genre de choses. Et puis, elle était à l'aise avec son corps, sûre d'elle, un peu trop parfois, mais ils paraissaient plutôt bien assortis à cet instant précis. Elle fixa les vêtements qu'il lui avait imaginé, ceux qui avaient remplacé son habit d'Eve. Elle rit, finissant par lui lâcher : « T'es un sacré obsédé quand même. ». C'était un compliment, même si ça sonnait plus comme une insulte. Elle était sans doute étrange pour une femme mais elle détestait les hommes qui faisaient la cour aux femmes pendant trois millénaires avant de les embrasser d'une manière chaste du bout des lèvres. A quoi bon? Ce n'était que du temps de perdu. Se tourner autour, se titiller, oui, mais ne faire que se regarder avec des vouvoiement par ci et des gestes de courtoisie par là, c'était tout sauf intéressant, même chiant à en mourir. Si un homme osait lui faire ça un jour, elle le frapperait pour sa stupidité. Au moins, ce genre de choses ne risquaient pas d'arriver avec Neros, et elle en était plus qu'heureuse. Ils le feraient, une fois, et ce serait tout. Il le savait et il semblait pouvoir s'en contenter, ce qui ferait apprécier d'autant plus le moment à la jeune femme. C'était ça qui était bon. Les individus finissaient par ne plus trouver du plaisir dans une chose qu'ils savaient posséder, qu'ils savaient acquises, à eux pour toujours. Des moments volés, éphémères dans les bras d'un homme, voilà ce qui amenait le plaisir à son comble. Une fois, une unique fois où l'on devait tout donner sans pourtant s'engager.

Doucement, elle s'approcha de lui, le chevauchant sans même avoir commencé sa danse, après tout, c'était la coutume. Elle avança ses lèvres vers son oreille, lui murmurant alors : « Vos désirs sont des ordres, maître... ». Elle se retira, faisant longer dans sa fuite l'une de ses mains sur son torse, jusqu'à son entre jambe qu'elle ne fit que frôler, une unique fois. Elle s'arrêta et, sans se retourner, fit doucement onduler son bassin quelques secondes avant de lui faire de nouveau face, un petit sourire qui en disait long sur les lèvres. Oh, elle allait danser, mais ce ne serait pas tout ce qu'elle ferait. Elle se caressa doucement les hanches avec ses mains, leur faisant continuer leur course sur sa taille puis sur ses seins. Elle remonta encore, jusqu'à atteindre les élastiques qui lui maintenaient les cheveux, les faisant glisser le long de ces derniers de façon à ce qu'ils rejoignent le sol. Elle allait danser et se déshabiller pour lui, et elle continuerait jusqu'à ce qu'il vienne la chercher avec des envies tout sauf chastes. C'était un jeu finalement. C'est ainsi qu'elle se retrouva bien vite la poitrine découverte, ses seins se mouvant au rythme de ses hanches, se dissimulant parfois derrière ses cheveux comme s'ils n'avaient comme seule intention que d'émoustiller Neros. Elle plongea alors son regard dans le sien, ses deux mains glissant sur ses hanches pour baisser très doucement son pantalon bouffant. Déjà taille basse de base, elle le descendit un peu, souriant avant de le remonter, jouant avec ses nerfs, s'amusant comme une folle en vérité. Elle se demandait cependant qui était le plus excité des deux au final, car rien que le fait d'exécuter les mouvements qu'elle faisait, bougeant ses hanches, se caressant, ses cheveux la faisant parfois frissonner, oui, le simple fait de faire ça en sachant qu'il la regardait, suffisait à lui faire un effet monumental. Était-ce une si bonne idée? Oh elle savait que non parce qu'elle souhaitait qu'il s'investisse un peu plus pour ses semblables, elle savait qu'ils allaient se revoir, devoir travailler ensembles peut-être, mais elle ne pouvait pas s'arrêter, c'était plus fort qu'elle. Elle avait aussi conscience que s'il n'y avait pas eu cet épisode à la cité, elle aurait pu s'en passer. Mais maintenant, après avoir été si proche de lui, après l'avoir presque fait entrer en elle sous la tente avant que ce vieux ne les dérange, maintenant, elle ne pouvait plus reculer. Il fallait être folle pour se soustraire à lui, ou sacrément névrosée...

Doucement, elle fit glisser son pantalon, celui-ci tombant à ses pieds, ne laissant qu'un sous-vêtement si petit qu'elle se demandait où est ce qu'il avait imaginé ça. Elle déclara alors : « Je n'en enlèverai pas plus alors si tu veux voir le reste, tu devras travailler un peu... ». Elle le taquinait car lui comme elle savaient très bien que depuis qu'ils s'étaient rencontrés, depuis qu'ils avaient commencé leur jeu, elle avait toujours presque fait tout le travail. C'était elle qui le chevauchait tout le temps, elle qui le caressait, elle qui bougeait le bassin sur lui. « Sinon je vais finir par croire que tu es fainéant... ». Elle sourit, lui tournant progressivement le dos, ondulant toujours avec le même mouvement lent et langoureux.
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Mer 10 Avr 2013, 01:04

« Hum … ? » Neros sortait presque de ses pensées lors ce qu’elle ouvrit à nouveau la bouche. Il fallait avouer qu’elle était envoutante et qu’elle capté toute son attention. Son corps ondulant, il ne perdait pas une miette du spectacle qu’elle lui offrait, souriant presque de façon perverse. Obsédé avait-elle dit ? C’était un compliment à ses oreilles. Il aimait ce faire plaisir, et assouvir ses désirs, même les plus inavouables, ce n’était pas un mal. Elle ne pouvait pas s’en plaindre, elle était aussi mal placer que lui pour faire le faire culpabilisé. A la voir bouger devant lui, pour lui, son corps c’était mis à s’enflammer. Ses yeux glissants sur son corps, ce mordant la lèvre pour retenir ses ardeurs. Ce qu’il pouvait avoir envie d’elle, c’était dingue. Il était en train de se consumer sur place et n’attendait qu’une chose qu’elle finisse son numéro pour revenir à lui. Seulement elle le voyait autrement et il soupira. Oui, il était fainéant, était-ce maintenant qu’elle pouvait s’en rendre compte ? Il aurait pu rester à la regardé autant de temps qu’il fallait avant qu’elle ce désire à venir, il était hors de question qu’il ce dérange pour ses beaux yeux. De plus il était en convalescence, elle lui devait bien le déplacement non ? Il comprit bien vite que c’était peine perdu, et qu’elle était encore plus têtu que lui. Il n’avait plu la patience pour attendre. Il la voulait et maintenant. « Tu es fatigante. » soufflât-il, l’air blasé, pourtant il ce redressa rampant jusqu’à elle comme un lion, le regard percent fixer sur son sous vêtement. Il n’avait qu’un seul objectif. Seuls ici, dans cette pièce perdue sous la pyramide, entourée d’or et de richesse, cette fois rien ne pourrait les empêcher d’assouvir leurs désirs.

oops i did it again:


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Mer 10 Avr 2013, 02:00

Oh honey, I like it <3:
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Mer 10 Avr 2013, 03:11

That is just so typically me:

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Mer 10 Avr 2013, 16:00

Avant dernier round <3:
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Mer 10 Avr 2013, 18:38

It's over, baby:

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Mer 10 Avr 2013, 19:33

Elle reprit son souffle, enlevant le foulard et tournant la tête vers Neros qui venait de s'endormir. « Pauvre bichon. ». Elle rit de son propre commentaire, sachant pertinemment qu'il ne l'entendrait pas. C'est vrai que dans son état, avec tout ce qu'il avait donné pour la satisfaire, il ne pouvait en être autrement. Et puis, elle préférait qu'il dorme, ça l'arrangeait. S'asseyant sur un coussin, elle sentit le liquide du jeune homme couler entre ses cuisses doucement, la chatouillant étrangement. Elle était encore sensible et pleinement satisfaite de cette expérience. Il était doué, même plus doué que tous les amants qu'elle avait eu auparavant mais elle ne le lui avouerait jamais, il finirait par s'écrouler sous le poids de sa grosse tête. Elle aurait bien voulu recommencer, tenter de nouveau l'expérience pour s'apercevoir que, finalement, il n'était pas si doué que ça. « T'es plutôt pas mal dans ton genre aussi. ». Elle savait qu'il dormait mais puisqu'il lui avait fait un compliment, elle se devait de le lui retourner. Souriant, elle se dit que c'est l'attente qui avait rendu ce moment si fantastique, jouissif. Il n'y avait que ça, parce que depuis qu'elle avait fait semblant de faire l'amour avec lui, le chevauchant pour montrer aux voyageurs ô combien ils s'entendaient bien, oui depuis cette fois là, elle avait eu envie de lui, elle l'avait désiré, rêvé, fantasmé. Elle n'était pas déçue, il savait y faire. Le fixant un instant alors qu'il dormait, elle se pencha vers lui pour l'embrasser, se ravisant en ce disant qu'après l'amour, ce genre de geste était totalement déplacé. Elle sourit, attrapant le foulard qui avait servi à lui bander les yeux, dénouant le lien pour l'attacher autour de sa verge qui commençait à s'endormir elle aussi. Faisant un magnifique nœud papillon en prenant soin de ne pas trop serrer, elle se releva en riant seule pendant un instant de son idée farfelue. Admirant son corps, il lui semblait encore gonflé par le désir et elle remarqua que ce pervers de Neros lui avait même laissé quelques petits souvenirs. Des griffures. Elle trouvait ça plutôt sexy finalement et elle pourrait dire qu'elle s'était battu contre un ours, ce qui, d'une façon imagée, n'était pas totalement faux. Elle le regarda, pensant qu'elle avait vaincu la bête mais, c'était juste une pensée comme ça, passant dans son esprit quelques secondes. En réalité, elle s'en fichait, le but avait été simplement de prendre du plaisir et le sien avait été grand, tout comme celui de cet homme lui avait paru immense également. Il était doué, se lâchait totalement sans aucune pudeur et elle appréciait. Elle ricana, se disant qu'elle aimait aussi jouer avec les hommes hésitants, ayant peur de ce qu'il pourrait leur arriver après. Elle aimait bien qu'on lui fasse de la résistance parfois mais elle s'en lassait vite quand elle voyait que l'homme se vendait trop cher en temps. Elle n'avait pas trois semaines à perdre pour séduire un homme et ceux qui essayaient de se faire désirer perdaient au change. Mais avec Neros, ça avait été différent, aucun des deux ne désirant vraiment résister à l'autre. Non, il y avait juste eu des contre temps. Mais maintenant c'était fini. Il l'avait fait et ça ne se reproduirait plus jamais. Oh elle aurait bien voulu le faire encore une fois, ou deux, mais elle respectait les règles auxquelles elle se soumettait, surtout la règle : un homme égal une fois. Il n'y avait rien d'autre à chercher. Pas de tendresse en dehors de cet unique acte, pas de baiser volé, plus de tentative de séduction. Une fois l'acte terminé, c'était fini pour de bon.

Elle souhaita alors être vêtues, son voeu ne tardant pas à être effectif et elle pensa alors au moyen de sortir d'ici, comprenant alors qu'ils avaient encore été roulés dans la farine comme des bleus. Les voyageurs n'étaient pas stupides, ils n'auraient certainement pas oublié de leur donner le seul objet leur permettant de sortir. Ils n'avaient pas rencontré beaucoup d'obstacles pour arriver jusqu'ici, dernière pièce de cet espèce de dédale, seule pièce ne figurant pas sur le plan si elle se souvenait bien de celui-ci. Et, comme par hasard, cette pièce exhaussait les souhaits. Il suffisait juste de souhaiter sortir pour que la pyramide ne soit plus qu'un ancien souvenir. Elle se demanda alors pourquoi ces derniers voulaient absolument les rassembler? Avaient-ils dans l'idée qu'elle tomberait enceinte d'un enfant oracle ou une connerie de ce genre? Avaient-ils envi d'écrire une nouvelle érotique mais, ne trouvant pas l'inspiration escomptée, avaient voulu observer de vrais cobayes à l’œuvre? Elle sourit à l'idée de la nouvelle car s'ils les avaient vu, ils n'avaient pas dû rester en reste vu la façon dont ils l'avaient fait. Par contre, pour l'enfant, ça la fit grimacé et elle compta les jours qui s'étaient écoulés depuis la dernière fois qu'elle avait eu ses règles, soulagée de trouver un risque plus que minime. Le plaisir, oui, des enfants, certainement pas. Ce n'était pas à cause de lui, c'est juste qu'elle n'en voulait pas, avec personne, comme elle ne voulait pas que quelqu'un partage sa vie. Certaines femmes en ressentaient le besoin, ce besoin de se faire protéger par des bras solides et puissants, le besoin d'être aimées, de se sentir importante aux yeux de quelqu'un, le besoin d'enfanter, mais elle, jamais depuis qu'elle existait et elle priait pour que ça reste ainsi. Elle aimait sa liberté, faire ce qu'il lui plaisait, ouvrir les cuisses pour un homme quelconque sans devoir culpabiliser ensuite en retrouvant son époux le soir. La fidélité, toutes ces choses, elle les laissait aux autres. Et puis, elle trouvait que les hommes mariés perdaient de leur virilité, comme des chiens en cage, muselés. Tous sauf le père de Neros pour être exacte mais, en même temps, vu l'engin, c'était compliqué de ne pas le trouver viril. Elle en rit, se demandant comment elle réagirait si un jour elle retournait voir ce dernier et qu'il lui demandait des nouvelles de son fils. Enfin, en attendant, elle laissa Neros a ses beaux rêves, soulevant son sac pour le placer sur son dos avant de souhaiter sortir. Pour le coup, les voyageurs pouvaient aller se faire voir, elle en avait marre d'être manipulée, et le pire c'était que ça avait bien fonctionné. Et puis, l'ancien réprouvé trouverait bien la clef de l'énigme tout seul lorsqu'il se réveillerait.
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Mer 10 Avr 2013, 20:53

Il dormait avec une profonde tranquillité, si bien que rien ne semblait pouvoir le déranger. Qu’est-ce qui aurait pu être la cause de son réveille ? Le silence de la salle n’était troublé que par ses petits ronflements presque inaudibles, et le bruit du vin tombant en cascade des fontaines. Il n’y avait rien ni personne, pas même le souffle du vent. Ce fut ainsi qu’il se réveilla. Naturellement enlever de son sommeille par son corps qui en avait fini de resté inerte. Il résista un instant, puis il ouvrit les yeux, humide d’un songe d’où l’on venait de brutalement le tirait et qui était déjà oublier. Son corps était lourd. Il lui fallut beaucoup de courage pour s’extirpé de la fainéantise dans la quel il se complaisait. Ce simple effort le fit bailler, si fort que le son en résonna à travers la pièce. S’essuyant le bord de la bouche, souiller d’un liquide sec qui le déranger, il regarda autour de lui l’air un peu perdu. Le souvenir lui revint alors comme un doux rêve et il ses lèvres s’étirèrent dans un simple sourire, satisfait. Seulement il manquer quelque chose. Il ne voyait nulle part son ancienne amante. Il n’y avait même plu son sac. Elle était partie, cela ne le fit qu’hausser les épaules. C’était mieux, de toute façon les adieu après l’amour c’était toujours embarrassant. Ou on était trop distant, ou pas assez, et il n’y avait rien de pire pour vexer un être que de l’ignoré totalement après ce genre d’ébats. Sur tout qu’entre Violette et lui, ils risquaient d’encore ce voir. Au moins comme ça la question ne se posé pas, cette fois c’était fini. Neros en était étrangement soulager. Une fois passer on pouvait facilement passer à autre chose, bien qu’il aurait du mal à la regardé et ne pas penser à ce qu’ils avaient fait, sa manière d’être si… chienne ? Il en rit. Ce grattant le torse, son regard se posa alors sur son entre jambe. Voilà qui était peut commun. Une petite signature avant de partir ? Il défie le nœud amusé. Pourraient-ils devenir amis après cela ? Non, Neros n’avait pas d’amie au féminin, cela lui était impossible. Ô il en avait d’une certaine façon, Calypso par exemple, mais c’était bien différent car ils n’avaient jamais pensé de cette façon à elle. Il n’y avait que deux case dans l’esprit de Neros pour ranger les femmes : celle des femmes de sa familles, puis toute celles qu’il pourrait ce faire, et donc le reste du monde. En y réfléchissant il y en avait une troisième, celle des femmes qu’il avait déjà baisé et qui était fané à ses yeux, Violette serrait dorénavant ranger dans celle-ci et son monde n’en serait que plus éclairé. Satisfait de cette pensé il se leva marchant vers une fontaine pour y puiser un peu de liquide, de ses mains, et étancher sa soif, oubliant sa bouche devenu pâteuse à cause du sommeil.

Le rouquin resta un moment dans la grande salle, regardant autour de lui les murs, l’or. Jamais il n’avait vue autant de richesse, il voulait en profité encore. Marchant nue dans les allées il avait la réelle impression d’être au paradis dans son simple apparat, mais la vie commencé à lui manquer. Il se demanda alors comment Violette avait fait pour sortir. Il n’y avait aucune autre sortit que l’entré d’où ils étaient arrivé et il ne pouvait croire qu’elle soit partie par-là seule. Aucun autre indice ne parsemé la pièce. Neros soupira avant de faire le vœu de se vêtir, au moins avant de trouvé la sortit il devrait commencer par cela. Il serait bien sortie nue, le seul problème c’était que le soleil était terriblement violant et il avait encore assez de jugeote pour protéger sa peau. C’est à cet instant qu’il réalisa l’évidence. Puise que l’on pouvait tout demander, ou presque, il supposé que cette endroit ne créer pas la vie par exemple, alors il pouvait sortir simplement en le souhaitant. Tenant son sac sur le dos il n’eut cas le pensé pour que la seconde suivante il soit simplement dehors, devant la pyramide, juste là où on les avait fait rentré. Le crépuscule, l’air frais du soleil couchant, l’odeur du sable chaud, Neros souri en aspirant dans ses poumons une longue bouffer de cette nature au grand air qu’il aimer tant. Il se tin pourtant le côté droit en soupirant, il avait mal et devrait arrêter de faire l’idiot, cela le tirait horriblement. Il imaginer qu’avec la façon dont il avait poussé à bout son corps, les exercices de forces et d’endurance qu’il c’était infliger il avait dû rouvrir la chair encore fragile. En ce redressant il vit son chameau qui l’attendait, brave, l’air à moitié endormit. Cela le fit ricaner, quand son regard dériva sur le second chameau. Violette était toujours là. Est-ce qu’elle l’attendait ? Les autres voyageurs paraissaient être partie de puis des heures. Il n’y avait aucune trace dans le sable, ou peut être avait-il dormit plus longtemps qu’il ne le pensait. « Tu aurais dû me réveillé si c’était pour m’attendre. » Ce moqua-t-il en s’approchant de sa monture pour y monté son sac et l’accrocher, ce qui parut réveiller l’animal. Le faisant se coucher, il monta alors sur son dos. Il y avait quelque chose qui le déranger, quelque chose qu’il commencer a trouvé irritant. « Tu peux me dire à quoi rime les missions qu’ils nous envois faires ? Je suis persuadé qu’ils savaient ce qu’il y avait là. Ils deviennent lourds à vouloirs nous rassemblé. Je ne sais pas ce qu’ils veulent, mais en tout cas moi ça m’a suffi, j’espère qu’ils vont avoir d’autre passe-temps plus intelligents. » Il était sérieux. SI c’était pour qu’on le piège avec une fille dans un endroit clos, il pouvait toujours aller postuler pour son père au Circus. Est-ce que les voyageurs faisaient aussi dans les mariages arranger ? Ou cherchait ils a repeuplé la race humaine ? Cela le fit rire, il voulait bien une femme, voir même des enfants, mais pas avec Violette, non, il ne la voyait ni dans le rôle de la première, ni de la seconde. En plus quand la petite Violette referait surface il n’aurait que des emmerdes. L’homme qui se retrouverait dans un tel traquenard aurait l’air d’un pédophile, purement et simplement. Cela le dégouté, il devait réellement éviter de penser à la petite Violette où il ne pourrait plus jamais ce regarder dans un miroir sans rendre son déjeuner. Prenant le chemin du campement des voyageurs, il s’étira avant de ce passé une main lasse dans sa crinière de feu. « Qu’est-ce que je donnerais pour un bain… » Sur tout à cette instant, collant de diffèrent liquide qui le faisait sentir sale, mais étrangement pas souiller. Cela faisait si longtemps qu’il n‘avait pas pris de bain chaud, l’eau était un luxe dans le désert, il n’avait en tout et pour tout qu’une bassine d’eau geler pour se laver, et cela tous les deux jours. Pourtant malgré la perspective de rester encore à nager dans sa crase il garder un léger sourire coller au visage, celui d’un homme particulièrement satisfait de sa journée.


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Toutencarton [pv Violette]

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