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 Le chemin d'un ange... [PV Mitsuko]

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Mar 06 Avr 2010, 21:45

Parfois, ce sont nos pieds qui nous guident...


Comment réfuter cette phrase ? Je suis sur que cela vous est tous déjà arrivé, marcher machinalement vers le quotidien sans faire attention au monde qui nous entoure, se retrouver au lieu dit et ne plus se souvenir des pas que l'on a fait, ou parfois même, se tromper parce que pour une fois, on a bouleversé le quotidien. Edward n'échappait pas à cette règle, et il lui arrivait à lui aussi de vadrouiller sans que sa tête n'approuve les chemins empruntés. Cela faisait pourtant très peu de temps qu'il se trouvait sur ces terres nouvelles. A dire vrai, il était arrivé dans la nuit, et n'avait pas pris le temps de poser son unique sac qu'il portait en bandoulière. Ce que l'on pouvait trouvé dans ce sac avait peu d'intérêt, quelques vêtements dont sa blouse blanche et un manuel de médecine. Inutile de s'encombrer du reste, le passé n'avait que très peu d'importance.
Depuis son arrivé, le déchu n'avait cessé de marcher, allant et passant par là. Jusque là, il n'avait prêté que très peu d'intérêt aux endroits qu'il parcourait. Son esprit était ailleurs, se questionnait, alors que ses pas se dirigeaient lentement mais surement vers un endroit insolite.

Autour de lui, le décor était boisé, et le chemin en terre sur lequel il marchait était pavé par de magnifiques pierres grises polies et disposées par de véritables artistes de la route. En effet, il n'y avait pas une pierre qui dépassait, qui était posée à la va vite, et le chemin était facilement praticable pour les appareils dotés de roues.
C'est d'ailleurs le hennissement d'un cheval qui le ramena à la réalité et le fit s'écarter du milieu de la route. Il se tourna afin de voir ce qui se profilait derrière lui, et c'était une calèche, en piteux états. Les bruits de sabots de l'animal étaient couvert par des bruits autrement significatif, on aurait cru entendre des champs, grégorien qui plus est. Le médecin regarda alors passé le véhicule avec les encapuchonnés qui se trouvaient à l'intérieur, et poussa un rire amusé lorsqu'il les suivit du regard pour voir où ils se dirigeaient.
Edward Chrisantem se trouvait devant un monument plutôt atypique, et pourtant il ne lui fallut qu'une minuscule seconde pour identifier l'endroit. Au bout de ce chemin se trouvait un édifice des plus massifs et imposant. Une immense porte en bois de chêne forme une arche délimitait l'entrée du dit édifice, sa hauteur était d'environ dix mètres, et les colonnes qui la délimitaient partaient plus haut encore, délimitant la moitié de la hauteur de l'endroit. Elles soutenaient un plateau qui servait visiblement de terrasse, terrasse délimités par des barrières en pierre et sur lesquels étaient sculptés des formes indiscernable de cet distance.
Trois clochés surplombaient le lieu saint et semblait dominer les alentours de façon égoïste et fier. La décoration était de style baroque, et ce que l'on pouvait prendre pour la plus grande cathédrale du monde était dans des teintes très claires et lumineuses.

C'est au moment ou il baissa les yeux pour retourner en direction de la porte qu'il échappa un rire amusé, et poussa un soupir en lâchant :


« - L'enfer est pavé de bonnes intentions... »

Par curiosité, il s'avança vers ce lieu religieux. Au devant de l'immense porte, il y en avait une plus petite, de taille normale pour laisser passer un homme. C'est à ce moment là qu'on se demande pourquoi ils font l'aumône... Il poussa la porte et entra. L'intérieur paraissait tout aussi vide qu'une cathédrale normale. Il y avait deux ranger de bancs pour la messe, et sur l'une des colonnes intérieur, on pouvait voir l'habituel perchoir du prêtre, histoire de se sentir proche des croyants.
Au fond de l'unique pièce, une statut plus haute que la porte dominait toute la salle, et l'égérie divine plongeait son regard vers le ciel qui lui était inaccessible. L'ange noir s'avança alors d'un pas lent vers cette statut, pour pénétrer au final devant l'autel, dans le cœur de l'endroit saint. Le plus étrange, c'est que devant lui se tenaient trois miroirs, dans lesquels il voyait son reflet, du moins il se voyait lui...
Le premier miroir ne faisait que renvoyer les rayons lumineux de manières rectiligne et logique. Il s'y voyait avec sa tenue habituelle, à savoir un pantalon rouge rentrant dans ses bottines noires. Sa veste rouge elle aussi couvrait sa chemise d'une teinte noire. Son visage paraissait toujours creux, et sa chevelure blanche rendait le couleur de ses yeux bleu bien pâle.
Son regard se porta ensuite dans le miroir de droite, dans lequel il se voyait, cette fois ci devant une table d'opération, le bistouri à la main. Son expression était sereine et son regard pleins de bonnes volontés.
Lorsqu'il tourna la tête à gauche, il se vit encore une fois, mais dans des conditions totalement différentes. Il portait toujours sa tenue d'opération, mais cette fois ci elle était couverte de sang. Son regard était malsain et son sourire narquois. Il tenait dans sa main droite une tête, seulement une tête, à laquelle on avait cousu les yeux et la bouche. Le reste du corps se trouvait un peu plus loin dans la pièce.

A ces images il se mit alors à rire doucement. Il ne connaissait pas cet endroit, mais il le faisait beaucoup rire. Il ouvrit alors sa veste pour chercher dans sa chemise sa croix. Il la sortit du col et la teint dans la main un petit moment, avant de poser ses lèvres dessus, et finit par expirer soulagé :


« - Merci mon Dieu... »
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Mitsu
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Mitsu
Mer 07 Avr 2010, 23:21

Le monument religieux...un endroit dont la jeune femme, qui s'avançait doucement vers lui, gardait un souvenir quelque peu étrange. En effet, la dernière fois qu'elle y était entrée, elle était en mission pour rechercher le mari d'une femme qui y avait créer un univers rien que pour lui, entouré de succubes qui s'occupaient de lui comme d'un prince. Car ce qui était spécifique de ce lieux, c'est qu'il n'apparaissait pas de la même façon selon l'esprit de la personne qui s'y rendait. Si certains pouvaient voir une église, d'autres pouvaient y trouver un temple, un monastère, rien ou autres édifices leurs convenant.

La dernière fois que cette femme, aux cheveux d'un blond magnifique, voletant légérement sur son dos grâce à la légère brise et au mouvement de ses pas qu'elle voulait gracieux...la dernière fois qu'elle était entrée dans ce monument religieux, l'esprit de Jun qui la hantait et elle, s'étaient retrouvés dans deux corps différents...ils avaient pu se toucher, se voir, et ça lui avait donné une drôle d'impression...une impression qu'elle avait retrouvé dans le temps des esprits lorsqu'elle avait passé le test pour avoir sa nouvelle arme. Et elle pouvait le dire sans difficulté, elle n'avait pas envie que l'expérience se renouvelle pour le moment. Jun était bien là où il était et le voir en chaire et en os, lui donnait une étrange impression.

Donc, pourquoi cette femme retournait dans le monument religieux? Peut-être pour y trouver un pigeon qui pourrait lui apporter bien des choses pour plus tard. Car cette femme, sorcière de race, aimait manipuler les gens. Vous voyez, elle était de la pire espéce de personnes qui puisse exister...menteuse sur tous les sujets...son identitée de descendante de la reine déchue de toutes les races maléfiques restant secréte...sa race aussi...tout d'elle était que pur mensonge, enfin, tout ce que les gens qu'elle rencontrait avaient appris d'elle.
Une autre caractèristique qui lui était dûe était d'être une manipulatrice hors paire...elle contrôlait son corps comme peu de personnes savent le faire, allant jusqu'à maîtriser ses rougissements, ses sourires, ses étonnements...
Personne ne pouvait prétendre la connaitre vraiment sauf une...une qu'elle se donnerait un plaisir d'éliminer à la moindre occasion...pour réduire de nouveau le nombre à zéro. Enfin, elle ne s'inquiétait pas trop de cette personne pour l'instant qui était lié au secret...sauf si, bien sûr, un sommeil de 500 ans l'attirait.

Bref, la seule chose qui pouvait la maintenir près d'une personne assez longtemps sans qu'elle ne cherche à lui nuire à tout prix était la curiosité qu'elle pouvait éprouver parfois. Les yeux rosés de la sorcière regardèrent le monument religieux...aujourd'hui, elle se ferait passer pour une jeune veuve venue prier Dieu de lui ramener son amant...ou sa réincarnation...pourquoi pas. Après tout, Mitsuko ne doutait pas qu'un homme viendrait la consoler...elle semblerait si vulnérable.

Avançant dans l'allée sans vraiment regarder l'architecture du monument qui semblait figé pour quelques temps, la jeune femme prenait plaisir à porter la robe blanche qu'elle avait choisis le matin...une robe blanche serrée à la taille, retombant avec légéreté sur ses hanches jusqu'au sol...laissant juste appercevoir le bout de ses chaussures à talons hauts de la même couleur. Elle prit une mine vraiment triste...son teint devenait pâle et elle utilisait en plus de cela son pouvoir de modification de l'apparence pour amener son jeu à son apogée...elle réussit même à se faire pleurer elle même, sortant un mouchoir blanc d'entre sa poitrine, sans que personne ne voit rien. Elle entra et se dirigea vers les espaces pour prier, commençant une prière muette, remuant seulement les lèvres. Maintenant, elle n'avait plus qu'à attendre et quelqu'un viendrait...quelqu'un dont elle pourrait abuser, qu'elle pourrait prendre plaisir à manipuler puis à trahir pour obtenir ce qu'elle désirait...
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Jeu 08 Avr 2010, 01:02

Amen, ou le salut d'un ange, qui n'avait plus besoin de croire...

L'autel avait quelque chose d'envoutant, ce lieu de culte sur lequel des humains viennent prêcher la bonne parole sans pour autant savoir. Tout ce qu'ils savent, c'est les rumeurs qui ont couru, et qui aujourd'hui sont devenu des préceptes basiques. Le notre père, l'hostie, le vin, la croix, tant de symboles qui tendant à vous amener vers une seule image. On dit aussi dans ces terres, cette contée jonchée de magie, que le très haut avait délégué l'équilibre à deux êtres. Lui même restait obscur sur ce sujet, et les informations requises ne permettaient pas d'affirmer s'il s'agissait d'animaux, de similis humains, ou juste de légende. C'était l'une des raisons pour lesquels le déchu était venu terminer son pèlerinage sur les terres du Yin et du Yang, la genèse du bien et du mal.
Il entamait déjà sa nouvelle vie par la visite de ce lieu de recueille, à croire que Dieu surveillait le moindre de ses disciples. Les reflets qu'il voyait n'étaient que l'excuse que l'on pouvait trouver au comportement paradoxal d'Edward, un médecin assassin ne devrait pas exister, c'est ce qu'ils pensaient tous. Tout n'est qu'histoire de géométrie si l'on regarde bien. Dieu voit les gens comme des prismes, aux facettes redondantes, alors que le déchu y voit des boules, des mélanges savant de caractères. C'est ce qui fait de lui un médecin sans principe, soignant le condamné à mort, et laissant crever le valeureux père de famille, parfois. Son seul échec, sa porte pour les ailes noires...

Philosopher sur sa vie n'est pas une bonne chose, à trop en faire, la réalité devient superflu, et le retour y est difficile. A cet instant, c'est un bruit de claquements qui le ramena à lui. Il ne quitta pas les miroirs des yeux dans l'immédiat, il fixait ses images quelques secondes encore avant de se tourner. Ce qu'il vit n'était pas orthodoxe dans un endroit pareil, le blanc est la couleur de la vierge embaguée à l'annulaire, pas celle de la solitaire pleureuse. Il trouvait son image bien désolée pour porter une telle tenue, et c'est pourtant ce qui l'intriguait chez elle.
Il eut un sourire moqueur au coin des lèvres, et la fixait. Elle marchait, et se mit à genoux, avant de commencer ses prières. Une dame qui pensait sans doute qu'on allait l'entendre là haut, que Dieu allait prêter son attention sur elle l'espace d'un instant, le temps d'une prière. Il ne connaissait que trop l'univers paradisiaque pour savoir que ses paroles partiraient en l'aire si personne ne venait les écouter. Et c'est sa bonté qui le guida vers elle.
D'un pas aérien et silencieux il s'avança derrière elle, pour enfin se mettre à genoux à coté d'elle. Il retira la bandoulière de son sac qui posa négligemment par terre, tirant vers l'arrière le bout de tissu couvrant l'ouverture de son sac. Par mimétisme, il se mit dans la même position qu'elle, et voyait du coin de l'œil ses lèvres bouger. Lui ne disait rien, il restait bouche close et faisait grossièrement mine de prier. Un rire étouffé lui échappa, l'ironie de la situation sans doute. Et sans bouger, sans relâcher la jonction de ses mains, il souffla assez fort pour qu'elle entende :


« - Vous pensez qu'il vous entend ? Vous croyez qu'il écoute votre prière à cet instant ? »

Il poussa un long soupire, et avant qu'elle ne puisse répondre il se releva. Il tenait la bandoulière de son sac dans sa main droite, il tourna alors sa tête vers la statue. Dieu ne faisait pas de social, il avait délégué cette mission aux anges, il n'aurait que faire des doléances d'une croyante de plus. Il leva son sac afin de le raccrocher à son épaule, et dans l'élan brutal, son livre, seul bien précieux qu'il avait prit avec lui, passait par dessus bord. Avant qu'il ne touche le sol, il parvint à le rattraper avec vivacité.
Tenant son bouquin dans la main, il le releva afin d'en observer la couverture, et finit par dire à la dame blanche :


« - Pleurer ne fait pas changer les choses vous savez ? »

Il n'avait jamais aimé les lieux de cultes, on leur confie tout ce qui est inexplicable, et parfois même, on appelle ça des miracles, au lieu de parler de doigts de fées.
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Mitsu
♚ Fondatrice ♔

◈ Parchemins usagés : 36401
◈ YinYanisé(e) le : 07/07/2005
Mitsu
Ven 09 Avr 2010, 06:59

La jeune femme ne bougea pas, même si elle avait senti que quelqu'un venait de s'agenouiller à côté d'elle...mine de rien, elle continuait à bouger ses lèvres en articulant des incantations qui n'avaient absolument rien à voir avec une quelconque prière, ni avec un mari perdu. Mais ça, nul ne pouvait le savoir car la bouche de la sorcière bougeait tellement vite qu'il était impossible de lire sur ses lèvres.

En tout cas, elle sentait bien que la personne à ses côtés était un homme car à la façon dont-il s'était agenouillé et au peu que Mitsuko pouvait voir de ses mains, il n'y avait que très peu de doute sur la question. Bénéfique ou mauvais? hum...elle ne saurait le dire et de toute manière, elle savait pertinament, usant de cela elle-même, qu'il ne fallait pas se fier aux apparences car elles étaient parfois trompeuses.

Néanmoins, un détail n'échappa pas à la jeune femme, ou plutôt à Jun...c'était la faible odeur de désinfectant que l'homme sentait...car, si Mitsuko n'était pas experte en la matière, l'esprit en elle, lui, l'était et en tant que médecin, savait très bien reconnaitre un confrère quand il en voyait un. Il fit donc savoir cela à Mitsuko...cela pourrait être pratique d'avoir dans son entourage un médecin qui serve à quelque chose. Pas que Jun soit inutile pour les autres, non, mais la chose était complexe car quand le jeune homme, trois jours par semaine prenait un corps masculin et s'emparait de la place de l'esprit de Mitsuko, lui releguant à elle la place d'observatrice, il ne pouvait pas la soigner...deux corps pour deux esprits...c'était ça le challenge même si les deux esprits pouvaient toujours communiquer ensembles quoi qu'il arrive.

Jun aurait vraiment voulu prendre la place de Mitsuko à cet instant pour pouvoir discuter avec son colégue mais ce n'était pas le bon moment pour cela car il lui fallait encore attendre une journée entière avant de prendre le dessus sur la sorcière. Mais, après tout, même si les terres du yin et du yang étaient grandes, il recroiserait surement encore le médecin une ou deux fois par hasard.

Lorsque l'homme demanda à Mitsuko si elle croyait que Dieu l'entendait, celle-ci aurait bien rigolé...après tout, sa descendante était la reine des êtres maléfiques et elle ne voyait pas pourquoi Dieu se préoccuperait des prières d'une femme qui, un, ne croyait que très partiellement en lui et, deux, n'avait absolument pas besoin d'être entendue. Mais si l'homme avait dis cela, c'est que quelque part, il croyait rééllement qu'elle était triste...tant mieux.
Puis, il se leva en soupirant, lui disant que cela ne servait à rien de pleurer et que ça ne changerait pas les choses...ça aussi elle le savait, mais le personnage qu'elle incarnait, non...
Elle fut tout de même intriguée par le livre que l'homme aux cheveux d'acier avait fais tomber par terre...car en fait, c'était à partir de ce moment seulement qu'elle l'avait regardé, les yeux baignés par les larmes du chagrin. Il avait le visage plutôt creux et son teint révélait qu'il ne devait pas voir beaucoup le soleil...hum, peut-être était-il un vampire?...il n'était pas très gros non plus et ses cheveux était d'une teinte aciée qui ne lui donnait pas un air très rassurant. Mais ce n'était pas la sorcière qui allait trembler de peur devant l'apparition qui lui conseillait de ne point pleurer...

La jeune femme déclara alors comme étant au comble du chagrin et du désespoir, essayant en même temps de deviner ce qu'était le livre que l'homme s'était pressé de ramasser...

"Oui mais ça fait du bien vous voyez! Moi je vivais ma vie, il m'avait promis un amour éternel et...il est mort...et je ne comprend plus, je ne comprend plus pourquoi le soleil continue à se lever...pourquoi les gens paraissent heureux autour de moi...ils rient, comme pour se moquer de mon sort...du destin qui m'est destiné! J'ai toujours servi la bonne cause et je ne comprend pas...je ne comprend pas pourquoi les êtres bons doivent souffrir...pourquoi cela m'arrive à moi..."

C'était de l'art...elle hoquetait en essayant de parler, les larmes coulant sur ses joues mais tout en faisant croire qu'elle essayait de les maintenir à jeune femme bien élevée...et pourtant, elle venait de déballer sa vie à un inconnu...c'était vraiment pathétique et Mitsuko se félicitait de faire croire en de tels balivernes. Néanmoins, elle savait très bien que ce genre de femmes existait et elle ne voulait pour rien au monde devenir semblable...
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